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MessagePosté: 02 Juin 2024, 21:58 
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Robot in Disguise
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Axel Foley, lieutenant de police de Detroit, débarque à Beverly Hills pour enquêter sur la mort d'un de ses amis truands. Ses investigations l’amènent bientôt à faire la lumière sur un vaste réseau de trafic de drogue dirigé par un puissant homme d’affaires.

J'en suis au stade où les films ne sont même plus des films, juste des portes d'entrée vers un monde nostalgique, une manière de "re-capturer" un passé que je n'ai même pas forcément vécu.

Car de la saga Axel Foley, je n'avais vu que le troisième volet en salles en août 1994. De la même manière que j'avais récemment rattrapé 48 HEURES, j'ai voulu donc regarder ce 1 apprécié mais sans plus avant de pouvoir un jour regarder le 2 (qu'on pourrait peut-être mettre dans le topic "Les sagas dont l'imaginaire provient davantage du 2 que du 1" ?).

Bref c'était trop bien d'encore découvrir un film que je n'avais pas vu mais c'était comme si je l'avais déjà vu. Le bon vieux logo au début, cette patine d'image 80s pas encore tonyscottifiée, cette débauche de cascade gratuite au début à la BLUES BROTHERS qui doit faire kiffer Nolan, et puis ce cast: Jonathan Banks, Ronny Cox, Paul Reiser, Bronson Pinchot, ils sont tous là, y a même le chef du SWAT de ROBOCOP.

Le film est sympa, rondement mené, avec un savoir-faire carré. J'ai apprécié notamment les interactions avec les personnages secondaires, y a pas de conflit trop forcé, ça reste bon enfant. Sympathique.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:03 
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Tiens j’ai vu un peu Weekend at Bernie’s récemment un peu dans la même vibe : sympa mais le côté After Hours version sitcom aurait pu être tellement mieux.


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MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:18 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
De la même manière que j'avais récemment rattrapé 48 HEURES, j'ai voulu donc regarder ce 1 apprécié mais sans plus avant de pouvoir un jour regarder le 2 (qu'on pourrait peut-être mettre dans le topic "Les sagas dont l'imaginaire provient davantage du 2 que du 1" ?).


Ah, je sais pas.

J'ai lu aucun article sur le sujet, je n'ai jamais pris le pouls de la question à l'échelle de ce qu'en dit La Culture™, mais à mon échelle je n'ai jamais eu le sentiment que ce premier était "apprécié mais sans plus". Il est la substantifique moëlle du personnage et de la persona de Murphy au ciné, ce mélange d'agilité verbale et physique, de tension permanente, d'amour de la digression et du sketch dans le sketch qu'est son enquête.

Le 2 laisse plus la part belle à la manière dont Tony Scott prend la barre visuellement. Rien que les scènes d'ouverture pendant le jogging de Bogomil, tu t'en prends plein la gueule : finis les bas-fonds gritty "à la Hill", bienvenue dans le contraste et la saturation in your face. Foley passe limite au second plan au profit de la mise en scène. Je peux citer des répliques ou des situations du 1er sans même réfléchir, alors que du 2 je retiens surtout des images fortes.

Un des films que j'ai le plus vus de ma vie, de l'enfance jusqu'à maintenant. J'adore. Il faudrait que je me les refasse tous d'ici à ce que le 4 arrive.

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MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:57 
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MessagePosté: 02 Juin 2024, 23:15 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Car de la saga Axel Foley, je n'avais vu que le troisième volet en salles en août 1994.

C’était bien la peine de tourmenter Arnotte avec Die Hard.


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MessagePosté: 03 Juin 2024, 08:04 
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Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)

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MessagePosté: 03 Juin 2024, 08:08 
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Tu loupes pas grand chose.

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MessagePosté: 03 Juin 2024, 09:05 
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Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)

Le flic 2 c'est extraordinaire, il faut que tu le voies (même pas besoin de voir le 1).

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 04 Juin 2024, 17:35 
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Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)


Trading Places est un très bon film et se tient toujours dans son propos tout en étant hyper drôle. Évidemment que ma nostalgie doit jouer un peu, mais le consensus va dans mon sens.

Sinon Un Prince à New York c'est de la romcom sociale un peu grossière et plutôt cool. Vrai héritier de la blaxploitation. J'essaie de pas le survendre car c'est un des films que j'ai le plus vu dans ma vie (facile plus de 70 fois), mais ouais, hyper sympa.

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MessagePosté: 04 Juin 2024, 18:06 
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Son hommage blaxpoitation pour Netflix récemment était sympa (Dolemite is my name)


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MessagePosté: 04 Juin 2024, 18:54 
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Puck a écrit:
Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)


Trading Places est un très bon film et se tient toujours dans son propos tout en étant hyper drôle. Évidemment que ma nostalgie doit jouer un peu, mais le consensus va dans mon sens.

Sinon Un Prince à New York c'est de la romcom sociale un peu grossière et plutôt cool. Vrai héritier de la blaxploitation. J'essaie de pas le survendre car c'est un des films que j'ai le plus vu dans ma vie (facile plus de 70 fois), mais ouais, hyper sympa.


Revu les deux récemment. Faut aimer les gags et situations ultra faciles des films américains de cette époque. Le deuxième a au moins un excellent postulat de départ.

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MessagePosté: 04 Juin 2024, 20:13 
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Vu aussi récemment Trading Places (comme vous j'ai du mal à regarder autre chose que des comédies, sans doute par flippe politique totale) : film bizarre, avec un faux rythme étrange qui se refuse au climax. La scène du train est foirée (une si longue mis en place et des cadrages super-sophistiqués, dignes de Kubrick, pour finalement aboutir à un sketch de Michel Leeb), par contre celle (qui lui succède immédiatement) depuis l'intérieur de la bourse du WTC en quasi-reportage à la Wiseman est remarquable, et constitue une trace historique.

De même on sent qu'Eddie Murphy est bon (la scène où il feint le miracle et le ton d'un prédicateur born again devant les flics qui démasquent le faux cul de jatte : l'autorité n'est pas contestée, elle force le personnage à mimer un salut auquel il ne croit pas, à le performer, de manière finalement efficace : elle fixe involontairement une finalité qui serait la santé à la fois physique et sociale, c'est un peu le même moment que celui où Foucault valorise les bio-pouvoirs l'ordolibéralisme etc... et on sent ce climat dans ce film) mais Landis n'utilise ce talent que pour ellipser et dépsychologiser/dépolitiser son propos (la vitesse avec laquelle Murphy devient un spéculateur de haut vol sans qu'il n'y ait la moindre ironie sur son personnage - à travers lui Landis condamne le conservatisme culturel dépassé et le manichéisme moral de la vieille finance, mais non les valeurs et les fins capitalistes).
Film aussi ambigu : on sent qu'il s'agit surtout de sauver et d'adapter au libéralisme du présent non le personnage mais une idée du cinéma issue de Frank Capra, le film lui-même finalement (peut-être le sens de la scène où vire avec un sérieux de pasteur luthérien de chez lui les putes qu'il avait lui-même invitées, il se convertit à la forme classique, à la fois combative et prude, du film et l'assume, il comprend que son énergie est un capital qu'il ne doit pas dépenser entièrement - il devient le metteur en scène qui dose et termine - par ailleurs dans ce film la sexualité n'appartient qu'aux perdants).

En effet veine de film US de ces années-là (fin du premier mandat Reagan) qui a complètement disparu (quelques années après Rain Man accentuera l'aspect Buddy Movie initiant moralement un adulte riche et enfantin au détriment de la fable , et par ailleurs Lynch va dépouiller le baroque du Road Movie de son aspect comique, annulant ainsi une forme d'historicité du genre), mettant en scène des cadres économiques mis à l'épreuve par une forme de Tentation de Saint Antoine ou de défi à la Job, condamnés à errer dans un territoire US onirique mais aussi complètement désinvesti et dépeuplé, on peut penser aussi à Planes, Trains & Automobiles (moins cynique car il y a une conversion réelle à l'altérité, mais le film est entièrement clôt sur lui-même, il édifie ses persnnages plutôt que le spectateur) d'un côté, et à After Hours de l'autre (où la dérision du capitalisme devient une hallucination diabolique et métaphysique, ce qui finit par détruire son point de départ social, c'est une expérience de damnation masculine et solitaire que le foisonnement visuel parvient à résorber et neutraliser entièrement)

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.


Jean-Paul Sartre


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MessagePosté: 06 Juil 2024, 22:47 
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J’adore ce film depuis aussi longtemps que je me souvienne.

Déjà c’est vraiment la quintessence du polar comique eighties à tous les niveaux, du grain de l’image jusqu’aux poncifs, en passant par la musique.

Mais ce que j’admire tout particulièrement, c’est sa fluidité. Pas seulement celle d’Axel Foley, pour lequel Murphy donne tout, aussi bien physiquement que verbalement, mais quand même : je le comparais dans le topic du 4 à l’anti-héros du Roman de Renart médiéval, avatar non pas le plus ancien (presque 1000 ans tout de même !) mais un des plus parlants, pour notre culture, du trickster si cher aux anthropologues. Et c’est fascinant à quel point Foley coche toutes les cases relevées par les études comparatives (que Campbell éclipse, sa réputation boursouflée par la soupe de Lucas) : goût pour l’action par la ruse, le trouble, le mensonge, la désacralisation et la disruption, la mise à mal des conventions, la dérision utilisée contre les puissants… Bien qu’ici, pour des raisons évidentes, le personnage est défait des tous les éléments foncièrement inquiétants qui accompagnent le frisson de l’interdit suscité par cet archétype. Ses ruses se jouent toujours des angles-morts et rigidités des individus (y compris ses alliés) comme de celles des structures, retournant contre elles leurs protocoles et procédures, mais dans le seul but ici d’accéder à la vérité et la justice.

Fluidité du personnage donc, doté d’une solide dimension mythologique qui parle à l’inconscient collectif, mais du film aussi au cours duquel tout s’enchaîne constamment : retrouvailles, drame, obstacles, nouvelles rencontres, tensions (comiques ou non), résolutions, le tout entrecoupé de petites digressions (la plus fameuse étant Serge) qui servent de liant. On est constamment sollicité par de la nouveauté, de la surprise, et ce malgré les poncifs bien connus : commissariats en open space, supérieur noir nerveux, saxophone, pop explosive, le synthé désormais légendaire de Harold Faltermeyer, résistances initiales (et jouissives) des alliés pourtant naturels (Rosewood et Taggart, mais aussi Bogomil, qui ont eux aussi leur propre parcours avec obstacles et compagnie), méchants odieux etc. C’est un mille-feuille de conversations pleines de détails, qu’elles fassent avancer ou non l’intrigue, et qui contiennent, au même titre que les innombrables situations qu’elles génèrent ou dans lesquelles elles s’inscrivent, leurs propres enjeux et éléments de suspens. Et quelles situations ! Il y a au moins un conflit, majeur ou mineur, par scène et par échange. La scène au club de striptease en est un bon exemple parmi tant d’autres. C’est jamais chiant. Généreux. Accompli. Plein de bonhommie. Et même passé le plaisir désormais lointain de la découverte, ça reste excitant à suivre.

Polar 80’s oblige, il y a aussi du sale : le personnage de Jonathan Banks, d’une cruauté abyssale (l’exécution et son build-up, woah), qui nous fait vraiment vivre le truc avec sa sale gueule et ses sales maniérismes ; son patron, joué par Steven Berkoff (le méchant Russe dans Octopussy si ma mémoire est bonne) et sa tronche de sénateur Romain, dont le masque déjà abject de courtoisie glaciale et affectée s’effrite à mesure que les assauts de Foley persistent, révélant une pourriture totale ; le final showdown, bien cash, pur vestige d’une époque où les coups de feu au cinéma faisaient mal et éclaboussaient les murs, avec des acteurs qui devaient vraiment incarner la punition par là où leurs personnages avaient pêché, loin de l’aseptisation actuelle avec les mecs qui font juste une poker face en attendant la post-prod pour ajouter un trou rouge bien rond avec une larme de sang lui aussi en CGI.

Excellent. Quintessentiel.

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MessagePosté: 07 Juil 2024, 15:58 
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Je crois que je préfère Midnight Run du même Brest tout compte fait (quand bien même Grodin ne fait pas le show comme Eddie "SNL" Murphy).


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MessagePosté: 07 Juil 2024, 16:58 
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Walt a écrit:
Je crois que je préfère Midnight Run du même Brest
Aucune comparaison possible. J'ai été charmé par ma découverte du FLIC... récemment, mais MIDNIGHT RUN est génial et a davantage d'émotion.

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