Forum de FilmDeCulte

Pas aimé The Last of Us : ni le jeu parce que je n'y ai pas accroché (gameplay comme histoire), encore moins la série que j'ai vite fini par trouver médiocre (lâché au 4ème ou 5ème ep). Ma hantise c'est une adaptation de Bioshock...

Maté les 2 premiers de Fallout et oui c'était looooooong. Mal rythmé. Une écriture aussi souvent générique, y compris dans l'humour. Mais il y a deux ou trois élément de quête qui se mettent en place, donc pourquoi pas. Par contre la meuf ressemble à la RH de ma boîte et ça me crispe.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

Fini Fallout, donc.

C'est mal rythmé tout du long, bien des plans durent trop longtemps pour ne déboucher sur rien qui justifiait un tel étirement. Je ne sais pas si 6 épisodes suffisaient plutôt que 8, en tout cas on pouvait certainement retrancher au moins 5 minutes par épisode à chaque fois.

Le worldbuilding post-apo des années 50 est vraiment bien, tantôt poussé, tantôt gratos, et je suis d'accord avec Puck, c'est cet enrobage qui rattrape beaucoup de choses, qui soutient l'intrigue. Intrigues parallèles et à mystères très post-Lost, moins aride et pompeux que Westworld, mais qui laissent ce goût familier d'inabouti. Leur thème principal semble être la trahison des élites : celle de la Confrèrie et ses apparats hypocrites, celle des abris et leur progressisme qui sert d'alibi à quelque chose de plus sinistre... Progressisme ouvertement dépeint dans les flashbacks comme le présent (enfin le futur) sous les deux formes que l'on connaît actuellement : celui qui sert de façade au capitalisme (Vault-Tec et son inclusivité affichée) comme celui des révolutionnaires qui n'hésitent pas non plus à massacrer des innocents. Ca change un peu du tout venant.

L'écriture manque de punch cela-dit, même si l'humour se fait moins lourd au fur et à mesure. Comme dit Fingerscrossed, ça reste très postmoderne, très ironique. Le perso de Walton Goggins est le seul à permettre des moments d'écriture "sincère", ou en tout cas sans ce détachement goguenard. Il est vraiment bon.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

Maté le premier épisode, y'a des trucs sympa mais dans l'ensemble c'est un peu chiant et pas très attachant je trouve. Ça décolle ensuite ou ça reste tout le temps comme ça ?
C'est pour un ami.

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Netflix les gars, Netflix.

Tout le temps comme ça

OK je vais pas m'infliger plus alors.
Merci !!

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Netflix les gars, Netflix.

Fiasco
Quand la cringe comédie est gênante de nullité. J'ai tenu trois épisodes dans l'espoir que François Civil entre finalement en scène et vienne peut-être sauver l'affaire mais j'abandonne de guerre lasse.
Que les gags soient nuls, ok je m'y attendais et y'en a bien quelques uns qui m'ont fait rire malgré tout mais quelle lourdeur de l'exécution... Un perso qui fait "Hé j'suis pas con, j'avais compris hein." Cut interview face caméra : "J'avais pas compris." C'est tout le temps surligné comme ça. On est tellement à 10 000 lieues de The Office.
Vincent Cassel en mode autodérision connard qui pourrit le tournage on l'a pas déjà vu trois fois? Une fois sûr chez Eric Judor et ma main à couper que c'est dans 10%.
A aucun moment tu crois au documentaire, trop de caméras, trop propre et en plus ça veut en mettre plein la vue avec un tournage qui n'a aucun sens, scènes de guerres, de vikings, de costumes à la Barry Lyndon, cascades en motocross, un truc un peu formaté tout public alors que tu sens que l'humour aurait pu être plus sale.
Niney reste le MVP, vraiment dommage que tout soit écrit et mis en scène à la truelle car lui est à deux doigts d'empêcher le fiasco.

Il a aussi écrit tout ça.

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I think we're gonna need a helmet.

Vu la moitié de Baby Reindeer, la sensation Netflix du moment. L'histoire est assez dingue mais je suis pas soufflé par la série en elle-même.

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CroqAnimement votre

une série qui mérite quand même largement un topic que je me ferai un plaisir de créér si personne ne l'a fait avant moi quand je l'aurai finie........!

Dans la famille des séries-où-t'en-a-pour-ton-pognon-mais-pas-sûr-que-ça-méritait-une-série : Shogun (visuellement graou mais en matière d'intérêt scénaristique, c'est un peu comme si Game of Thrones s'était arrêté au milieu de la première saison), A man in full (Jeff Daniels parfait, mais je ne sais pas trop ce que ça raconte en fait, à part surfer comme Succession sur la fascination/répulsion à l'encontre des gros bâtards), Constellation (qui n'ose pas complètement partir dans l'onirique, dommage).
Un vrai ratage : Bodkin, son trio mal dégrossi (la lesbienne qui a forcément une mine patibulaire, des fringues de mec et un mauvais caractère, au secours)(et comment sous-utiliser Will Forte à ce point ?) et son intrigue inutilement compliquée dont on se fout assez rapidement.
Pour les faibles comme moi : One day, romcom anglaise au classicisme assumé dans la lignée de Lovesick par exemple.

Je lis beaucoup de bien de Sugar sinon, je suis à deux doigts de la tenter.

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CroqAnimement votre

Pareil. J'étais conquis à "détective privé cinéphile".

Et je me demandais justement il y a peu ce que devenait Mark Protosevich.

Et j'apprends aujourd'hui que c'est Fernando Meirelles qui réalise.

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Gaffe à ne pas vous la faire spoiler comme moi (je n’avais rien demandé, un tweet le faisant exprès est remonté dans mon fil).

Oui j'ai vu qu'il fallait éviter un truc.

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J'ai regardé la série Sugar, sur les deux premiers épisodes j'étais à bloc avec l'ambiance polar et montage d'extraits de vieux films noirs dans une réal soignée, et puis j'ai trouvé que le twist était grossier et diminuait la série qui rame franchement jusqu'à sa conclusion avec un twist final encore plus bateau. Tout ça pour ça.... Je ne vais rien spoiler, mais relever que le genre thriller se prête peu au mélange des genres, il tient surtout quand il fait des portraits socio-politiques, même si fantasmés. Finalement c'est une série moyenne voire quelconque...