Forum de FilmDeCulte

Absolument personne ne commence pour des bonnes raisons et la grande majorité commence à l'âge bête.

Après, c'est de l'addiction.

Moi ce qui me fume, ce sont les gens qui ont commencé adulte. Là on est sur du débile de compétition.

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Ce qui est fou, c'est qu'il y a encore 25% de fumeurs environ.
Faut aussi voir d'où on vient, à mon adolescence, y'a quasi 1 homme sur 2 qui fume. Pas étonnant que tu t'y mettes quand t'as ça comme modèle.
Et c'est une putain de tannée pour arrêter ; sans la vapote, j’étais foutu.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Pareil

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La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Dans mon enfance, il y avait des paquets de clopes offerts sur les tables dans les mariages, piques par les gosses. L'époque aussi où tu pouvais demander à ton père de te faire essayer sans que ça pose de problème à personne. On revient de loin.

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En soirée la cigarette matche bien avec l'alcool, ça donne un léger tournis agréable et permet d'accompagner les gens au balcon, c'est le seul truc qui "justifie" certains débuts à l'âge adulte. Moi ça m'arrive de temps en temps de taxer une clope à un pote en soirée.

D'ailleurs j'ai toujours trouvé savoureuse cette légère contradiction entre être un gauchiste et avoir la clope au bec: pourfendre l'aliénation et l'avilissement des masses par le grand capital, tout en tombant pile dedans.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Mais grave.
Il y a quelques années, à la rigueur je comprends, mais quand tu vois le budget qu'il te faut maintenant pour fumer un paquet par jour...

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Netflix les gars, Netflix.

Pitié les discussions rebattues

La cigarette c'est quelque chose d'agréable, le goût, le "hit" dans la gorge quand tu avales la fumée, la détente que ça t'apporte (que ce soit la nicotine ou tout simplement le geste). Pour faire une comparaison débile c'est comme mâcher un chewing-gum.
Le problème c'est qu'il y a très rapidement le phénomène de la ritualisation de la clope qui mène à l'addiction. La clope de la pause café, la clope d'après repas, la clope du soir etc... Je vois mon beau-père est un gros fumeur depuis son adolescence et c'est assez pathétique de le voir parfois organiser sa vie autour de la clope (genre le choix d'un restaurant ou le fait de ne pas aller dans des endroits où c'est interdit de fumer). Et le plus pathétique c'est évidemment de voir que ce sont les classes les plus pauvres qui fument le plus, qui dépensent 10€ pour un paquet qui leur fera même pas la journée. C'est surréaliste, l'argent gâché là-dedans.

Moi je suis un fumeur occasionnel et j'assume totalement, c'est comme boire un bon verre. Tant qu'il n'y a pas d'addiction il n'y a pas de problème mais c'est clair que la frontière est fine et que j'ai eu la chance de jamais abuser et de jamais me sentir en dépendance.

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CroqAnimement votre

Ta gueule. Mais mets un avatar.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

T'es pas sur Twitter.

J'essaie pas de faire le buzz.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Sorti des considérations bateau du style pourquoi les gens font un truc absurde, mauvais pour leur santé, les contradictions des opinions du gauchistes et de certains de ses modes de consommation, c'est un sujet intéressant.
Rien de plus lourd dans la conversation qu'un expert ès drogues, au cerveau à moitié grillé, qui cultive par exemple ses propres champignons et va se faire passer pour une encyclopédie sur le sujet et sur les niveaux de conscience auxquels telle ou telle substance, tel champignon hallucinogène va te faire accéder. A l'inverse, la position individuelle, je touche pas à ces conneries, je suis trop un control freak, soit parce que j'ai peur de ce que ça va me coûter pécuniairement, soit parce qu'il faut que je sois bon dans mon boulot, que ce soit traduire les sous-titres d'une série télé, d'un webinar ou constituer mon dossier pour mon client, témoigne d'un certain déni et d'un manque d'empathie. Si je dois distribuer les bons et les mauvais points, Cosmo qui évoque les ravages qu'il a pu constater parmi des proches ou des personnes familières, fait preuve d'un peu plus de largesse d'esprit.
Pour la clope, les français continuent de fumer beaucoup par rapport à d'autres, mais ce monde n'a déjà plus rien à voir à celui pré-2008, où il était permis de fumer à l'intérieur (ce qui est toléré encore juste... à Marseille dans certains endroits dans mon expérience). Pour le reste, je vieillis donc je sais pas ce que font les post-ados de nos jours, j'étais surpris que le tabac à sucer, à en croire une salve d'articles récente dans la presse, apparemment y fasse des "ravages".

Comme je vois que vous êtes nombreux et prompts à inclure l’alcool et la cigarette dans les drogues, une question se pose : quel est votre rapport au café ?

Gros buveur à une époque (1 bonne cafetière par jour), je n'en bois plus quau petit déjeuner et j'ai remplacé le reste par du thé (en moins grande quantité).

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