Forum de FilmDeCulte

Lol énorme Mickey. La conso d'alcool
le coup de reboire à donf juste après avoir vomi, ouais clairement à l'époque tu cherchais à te faire du mal...

Opé de FOU.

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Avez-vous déjà consommé de la drogue ?
Drogues "dures", non. Je n'ai même jamais tiré sur un joint.
De l'alcool, évidément. Que je digère très mal.
J'aimerais bien tester le LSD, ce genre de choses.

En consommez-vous encore ?
Du vin ou du whisky de temps en temps... Un verre par mois, peut-être.

Qu'est-ce que ça vous apporte/vous a apporté/a endommagé ?

Une anecdote, marrante ou non ?
Je ne compte plus les soirées durant lesquelles j'ai vomi comme un porc à cause de l'alcool.
J'ai saccagé les chiottes de l'école des Mines tellement y en avait partout (après plusieurs litres de bière cerise offerts par les étudiants - j'étais venu pour une représentation du Rocky Horror Picture Show et ils m'avaient accueilli royalement). Au moment de sortir des chiottes, je dis à un gars de pas y aller car un gars a tout dégueulassé. Avant d'aller revomir dehors entre deux voitures.
J'ai vomi sur les pompes d'un collègue lors d'un afterwork (où j'ai traité de pute à peu près toutes les nanas présentes - "mais pas une pute qu'on paye, une pute normale, quoi... gratuite", j'ajoutais en référence à Bacri, référence que personne n'a compris), bouché le lavabo d'un cinéma (parce que j'ai pas eu le temps d'aller jusqu'aux chiottes)
J'ai vomi en pleine interview d'un acteur x (après m'être à moitié éfondré sur lui) qui m'avait invité à son anniversaire.
J'ai même vomi le soir de mon mariage (ma femme qui me demande pourquoi il y a un bout de feuille de salade collé dans les chiottes de notre chambre)...
Bref, l'alcool et moi, c'est une longue histoire d'amour / haine. Cela dit, je bois très rarement.

Selon votre expérience directe ou indirecte, s'agit-il d'un fléau ou bien la menace vous semble émaner d'un phénomène de panique avant tout morale ?
C'est quand même un sacré merdier. Le fils de mes voisins qui meurt d'une overdose, la fille d'une amie qui s'en sort de justesse, aujourd'hui à moitié ravagée quand même par tout ce qu'elle a ingurgité dans sa jeunesse... On a tous ce genre d'anecdotes.

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Que lire cet hiver ?
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La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Et on prend tous une feuille et un stylo pour une séance d'écriture.

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Avez-vous déjà consommé de la drogue ?

Adolescent, j'ai essayé la cigarette et j'ai trouvé cela dégueulasse, comme tout le monde la première fois j'imagine. Comme c'était en plus déjà hors de prix, je n'ai jamais reessayé, mais il peut m'arriver de fumer un petit cigare une fou deux fois par an.

Vers 16 ans, à l'occasion d'un voyage en Angleterre, j'ai titré sur un joint de cannabis et j'ai trouvé cela sans intérêt ; j'étais le seul du groupe à ne pas avoir recommencé.

A la même époque, mais en France, un papy m'a proposé de sniffer dans un petit flacon, mais j'ai trouvé l'odeur nauséabonde avant même qu'il ne soit proche de mes narines et ai détourné la tête ; j'ai appris quelques années plus tard qu'il s'agissait de nitrate d'amyle (ou poppers).

Depuis mes 20 ans, je bois régulièrement du vin, mais jamais seul ; pas d'alcools forts/digestifs. N'ai jamais été ivre au point de vomir ou de ne plus me souvenir de rien.

Vers 22 ans, on m'a proposé de l'herbe, "super skunk" si je me souviens bien, et j'ai trouvé cela plutôt agréable, léger sentiment d'ivresse, mais je n'ai pas apprécié au point de réessayer. Moins d'un plus tard, la même connaissance m'a proposé "de la coke pure à seulement 600 francs le gramme" et a été très étonnée que je ne sois pas intéressé.

Je crois que je suis trop "control freak" pour la drogue.


En consommez-vous encore ?

Exclusivement du bon vin.


Qu'est-ce que ça vous apporte/vous a apporté/a endommagé ?

J'aime cela; j'imagine que ce n'est pas idéal, mais j'ai la faiblesse de croire que je n'en consomme pas tant que cela.


Une anecdote, marrante ou non ?

Il faudrait que je viole mes obligations déontologiques pour cela.


Selon votre expérience directe ou indirecte, s'agit-il d'un fléau ou bien la menace vous semble émaner d'un phénomène de panique avant tout morale ?

Lorsque je vois certaines images de Baltimore ou Philadelphie, je me dis qu'il s'agit d'un fléau.


Un avis sur la dépénnalisation/légalisation ? Les salles de conso ?

Je suis a priori pour la légalisation, mais je me dis que cela va engendrer un tel manque à gagner pour tellement de monde que cela aboutirait à une guerre civile.

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There is no such thing in life as normal

C'était le prix à payer pour avoir la meilleure série du monde.

Ah oui poppers essayé également. C'est rigolo mais bien trop court.

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Poppers génial car sans addiction ni rien. Mais faut se réfréner car il parait que ça peut niquer les yeux.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sans addiction ? Le nombre de mecs incapables d'éjaculer s'ils n'en prennent pas ...

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There is no such thing in life as normal

Avez-vous déjà consommé de la drogue ?
Non. Enfin, juste de l'alcool quoi (je me prends un petit apéro maison genre 2 fois par semaine, soit un verre de vin, soit une demi-bière, soit un fond de whisky). Mais je peux m'en passer évidemment. Et j'ai rarement été bourré (j'ai bien dû gerber 3 ou 4 fois après de grosses soirées mais c'est tout).

Sinon à part ça je n'ai jamais essayé quoi que ce soit, ne serait-ce qu'une clope. Ja-mais. Je pense que comme tous les membres de ma famille fumaient beaucoup quand j'étais gamin, j'ai toujours trouvé ça absolument dégueulasse et donc j'ai une aversion totale à la clope, à la fumée, etc. D'ailleurs la seule personne que je connais qui n'a jamais essayé non plus est... mon frère.

Sinon je pense aussi avoir un rejet total pour toutes les formes d'addiction en général. A la fois une sorte de peur et une manière de me dire "je suis plus fort que ça, donc dans le doute je n'essaie pas". Et sinon - traitez-moi de vieux con ou de réac ou que sais-je - je n'ai jamais (même gamin) compris le principe de s'infliger un truc comme la clope, dont tu sais d'emblée que ça va te ruiner la santé ET que tu dois PAYER pour ça. Encore aujourd'hui, ya un truc que je ne pige pas, c'est peut-être simpliste mais je trouve ça complètement con.
Autre truc qui m'avait gavé quand j'avais 16/17 ans : que la moitié de mes potes se mette à fumer en soirée jusqu'à ce ça devienne le seul intérêt de la soirée. Quand le mec qui apportait de la beuh était acclamé lors de son arrivée et voir mes potes complètement stone à 21h30, je trouvais ça ridicule. Ça a vraiment scindé en deux un gros groupe de potes, entre ceux qui se sont mis à fumer et les autres, avec lesquels on a continué à délirer sans avoir besoin de ce truc.

Du coup je n'ai pas trop de légitimité à répondre aux autres questions.

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Netflix les gars, Netflix.

Sans déconner ??

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Netflix les gars, Netflix.

J'en connais, oui.

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There is no such thing in life as normal

Je suis fumeur occasionnel depuis une vingtaine d'années (après avoir été fumeur régulier) mais je ne peux pas m'imaginer vivre sans la clope.

Pareil, ça me dépasse qu'on puisse même ne fut-ce que commencer. Surtout aujourd'hui.

Autant le joint je comprend car y a un côté trippant/relaxant/marrant, mais la clope quand tu débutes c'est juste un truc qui pues et que personne n'aime en soi. Donc faire le premier pas me paraît inconcevable.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

C'est difficile à justifier, mais la clope est ma plus chère amie. Depuis des années, je me tiens à deux par jour, à la suite que j'apprécie beaucoup, et c'est ma béatitude du jour, le soir après manger et coucher de la gosse. Une journée ne peut être complète sans ça.
Comme ça reste peu, je me dis que c'est pas la peine de s'en faire pour ça, mais je n'imagine pas lui dire adieu.