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Altered Carbon, 2018



Dans un futur lointain, on peut changer de corps à volonté moyennant finances. Un soldat d'élite emprisonné 250 ans plus tôt (du moins, son esprit était emprisonné. Son corps est mort depuis longtemps) reçoit une nouvelle enveloppe charnelle pour les besoins d'une enquête criminelle. Il est chargé d'élucider une tentative de meurtre sur un des hommes les plus riches du monde.

J'ai vu les deux premiers épisodes. Ils couvrent grosso modo 50 pages du tome 1 (§ trilogie d'origine). Je ne regarderai pas la suite. Une ou deux scènes d'actions de qualité télévisuelle et ça se traîne le reste du temps entre dystopie bon marché (sex shops glauques, impasses sales) et flash backs soporifiques sur le trauma du héros. Je ne sauve que le décor de l'hôtel tenu par l'IA (même si c'est mal exploité) et le style du héros, qui est aussi le seul ingrédient commun avec les romans. Ne pas avoir lu les romans est sans doute préférable car si Joel Kinnaman campe de façon honorable un badass las de vivre, il fait un peu pitié par rapport au héros invincible du roman. J'aurais aimé voir le film que Joël Silver pensait en tirer.

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Tennis de Table Bordeaux

Juste vu le premier, les dialogues m'ont bien gonflé. C'est d'un formaté... Allez hop, poubelle!

J'ai lu le bouquin et c'est extrêmement fidèle. Au-delà de la fidélité, je trouve ça classe, je continue.

J'en suis au 3e et ça me plait assez. En tout cas c'est assez dense, le concept est cool, et le budget se voit à l'écran.
A voir si ça se tient jusqu'à la fin de saison.

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le budget et son insuffisance se voient à l'écran. Le budget ne suffit pas pour ce qu'ils essaient de faire : les scènes d'action mal réglées, les ambiances visuelles cheap. Ce qui ne m'a pas dérangé parce que je savais à quoi m'attendre (c'est le rythme qui m'a fait abandonner). Mais c'est fauché.

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Tennis de Table Bordeaux

Fauché non, tristoune oui, la faute à une direction artistique banale, mal ajustée aux ambitions financières.

Je ne pense pas. Quand tu veux faire des combats à mains nus, il faut une chorégraphie, beaucoup de répétitions etc. Seul le cinéma a l'argent pour faire ça. Partir sur un perso qui se bat souvent avec un budget de série TV, c'était aller droit dans le mur. Ça a toujours donné de la merde. Je ne connais pas d'exceptions. Pareil pour la dystopie urbaine. Ce n'est pas dans leurs moyens et ça se voit. Comme je l'ai dit, ça ne me dérange pas. Avec un budget netflix, je n'attend pas de miracle. J'adapte mes attentes.

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Tennis de Table Bordeaux

Il y avait dans Banshee des scènes d'action qui avaient plus de gueule que dans pas mal de films..............

Pareil pour ce pilote. les scènes d'action ont plus de gueule que le film pourri ghost in the shell avec Johannsson

D'ailleurs le ciné honk-kongais des années 80 était pété de thunes, c'est bien connu.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bien vu Et les tournages étaient très longs, c'est bien connu aussi

Spartacus, Banshee, 24, Arrow...

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Les superproductions netflix font toutes fauchées, et je crois qu'on n'a pas trop de mal à s'accorder sur ça, je pense en particulier à leurs films fanions. C'est amusant de voir comment l'esthétique télévisuelle fore de l'intérieur le gigantisme du blockbuster d'autrefois pour en faire un truc tout petit et miteux, où l'argent est passé on ne sait où.



ça paraît évident que les contraintes de production dans le cinéma hongkongais de l'époque n'étaient pas les mêmes que dans le cinéma hollywoodien, encore moins maintenant. Tournages à l'arrache qui n'auraient pas été possibles ailleurs et qui ont constitué une partie du charme du cinéma hongkongais de l'époque. Les cascades de Police Story tuent car Jackie Chan est un taré, etc. A ça s'y ajoute une culture des arts martiaux qui en font un cinéma à part. Si en plus tu y rajoutes l'exotisme de la mégalopole hongkongaise... On juge pas ces films di objectivement que ça. Leur système d est séduisant mais véritablement transposable ?
Ce que dit rotary est tout à fait juste en ce qui concerne la direction artistique. Le cinéma hongkongais de l'époque fait bien cheap, et même du Johnnie To des années 90, période où il devient branché, le style réside essentiellement dans le défi de cacher l'absence de moyens. Il y a peu de cinéastes qui arrivent à le faire car il y a peu de cinéastes créatifs. Se passer de moyens financiers dans des genres qui en réclament, c'est pas facile, et les exemples sont légion de films d'actions ou de sf handicapés par leur manque d'argent.
Pour revenir aux films hong kongais, je n'ai d'ailleurs pas à l'esprit de films de sf hk qui constituent une véritable réussite, à part 2046. C'est symptomatique des contraintes liées au genre, à moins de faire des films d'auteur prétexte à une méditation poétique dans le futur, comme le WKW précité, New Rose Hotel ou le récent Marjorie Prime, il est difficile de ne pas faire dans le fauché et le peu convaincant niveau direction artistique.

Terminé, j'ai trouvé ça très bien (en particulier les 3 deniers épisodes). Les flash-back sont un peu relous et arrive un peu tard dans la saison je trouve mais dans l'ensemble l'histoire se tient plutôt bien.

Martha Higareda je te donne mon 06 en PM qd tu veux

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge