Forum de FilmDeCulte

C'est surtout un poncif plus vague que ceux qu'on a l'habitude de rapporter ici.

C'est plus un archétype (le mec brillant mais en proie) et un stéréotype (l'irruption d'un nouvel élément).

Ça reviendrait à dire que "le héros qui comes of age" et "ils cherchent un McGuffin" sont des poncifs (which they are mais bon, ce sont pas des poncifs de scènes).

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STOP les hommages, parodies et autres déclinaisons de la fin de la Planète des Singes (1968) avec la Statue de la Liberté.

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T'as vu ça dans quoi ? (je ne me rappelle que d'un épisode des simpsons)

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

J'y ai pensé en voyant ça qui sort bientôt:



C'était dans Spaceballs aussi, et je vois ce truc réapparaître un peu partout dans la culture pop sous une forme ou une autre, pas d'autres exemples sous la main là de suite.

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Je l'ai vu récemment dans la série Archer.


Après c'est pas une parodie qui me dérange, ça me fait toujours rire si c'est pertinent.

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"L'élément de contexte" (une date comme "1945 Chute de Berlin", "1961 assassinat de Lumumba",...) qui s'affiche au début d'un film sur l'écran avec un bruit de machine à écrire ou de clavier électronique, comme une tagline ou un tweet, sur fond images d'archives complètement illustratives et redondantes par rapport au texte affiché: l'éternel drapeau soviétique qui flotte sur le Reichtag, Lumumba qui dit effectivement "I'm Patrice Lumumba" et avec la musique du générique de plus en plus forte et un mixage sonore qui assourdit le son d'origine. Insupportable gimick destiné à décontextualiser l'image (il s'agît d'iconologie plutôt que de mise en scène), non pas à apprendre quelque chose au spectateur, mais à indiquer d'emblée la limite de ce qu'il lui faut savoir par avance pour regarder le film et que ce dernier ne franchira jmais, auxquel des documentaires "sérieux" ont souvent pour donner la patine sonore d'un polar, d'un film de science fiction cheap ou d'un récit de grand reporter mégalomane façon années 30 à ce qui est en fait une soupe à cheval entre le reportage d'investigation et la publicité touristique (récemment vu sur le documentaire Netflix "Virunga")

J'avais été moyennement convaincu par le procédé dans Forrest Gump. C'est du même ordre que le name-dropping.

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Tennis de Table Bordeaux

Jamais vu autant de fois le mot "Lumumba" dans un message.

Sinon je suis d'accord, surtout le procédé machine à écrire pour donner le côté froid/procédurier/l'histoire en train de s'écrire.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Le protagoniste à l'esprit perturbé qui brise brutalement un miroir et se contemple ensuite dedans Une bonne compilation à faire.



Pour Good Kill récemment (avec imagerie "subliminales" à base de crucifix en prime)

Au concours fausse photo de famille la plus pourrie de la terre, je pense pas qu'on puisse faire mieux que celle-ci :



Left Behind, 2014

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Je n'ai jamais compris qu'on puisse foirer des trucs comme ça. Un photomontage est par définition un effet fixe, qui ne bouge pas et donc beaucoup plus facile à faire que n'importe quel autre effet special. L'impression que c'est la partie la plus ignorée des VFX alors que c'est généralement celle qui véhicule le plus d'histoire.
Je pense que c'est toujours fait en 5 minutes avant le tournage aussi, sans préparation (la photo de Nicolas Cage originale qui a servi au photomontage n'a visiblement pas été prise dans les mêmes conditions que l'image finale).

C'est quand même ridicule. Un vrai mystère.

Tiiens c'est ce que j'aime beaucoup dans The Girl with the Dragon Tattoo, toutes les photos d'archives ont l'air vrai, sans trucage et au final c'est assez rare. Je me rappelle m'être fait la reflection devant le film

C'est comme les vidéos tirées de caméras de surveillance : pas mal de films font zéro effort là dessus, en utilisant directement des rushs de la scène. Les 3 Hunger Games m'ont choqué là dessus.

C'est un truc qui me rend fou. Ca vaut aussi pour les images de journal télé relatant les évènements du film.

Dans LE BUREAU DES LEGENDES j'ai même l'impression que l'avatar Facebook d'un gars c'est le même que la photo "secret défense" qu'ils exhibent en réunion...

L'autre truc qui me rend dingo c'est les séances de visioconférence où les mecs regardent directement dans l'objectif de la caméra (et non pas l'écran montrant l'interlocuteur, comme quand t'es sur Skype).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Dans un registre un poil différent, mais toujours en parlant de photo. J'ai vu Avatar cinq fois au ciné en 3D, et il y a un moment où ils ouvrent un espèce de frigo avec une vitre transparente couvert de photos du perso de Sigourney en d'enfants Navi. Et le contenu de ces photos, on le voit en 3D (avec de la profondeur de champ, etc) alors que ce ne sont que des photos. Et ça m'a perturbé à chaque vision, un oubli gigantesque. Film en 3D ok, mais faut rester cohérent

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"PACIFIC RIM" Massinfect

C'est voulu, Cameron s'en est expliqué. Pour lui tous les écrans/images du futur seront en 3D (interview AICN y a 1000 ans).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste