Forum de FilmDeCulte

Sympa elmomo

J'ai encore fait un rêve ou je conduis une voiture sans en avoir le contrôle total, ça m'est arrivé plusieurs fois. Cette nuit j'étais sur la banquette arrière, donc j'avais du mal à apprécier les distances et les virages correctement, mais j'avais quand même les mains sur le volant et les pieds sur les pédales.
Y'avait mon oncle et mon frère dans la voiture, on roulait de nuit dans un village pas éclairé. Un moment, au coin d'une maison, apparait une lumière rouge avec un visage super effrayant de 3-4m de haut. Panique, je me met à conduire super vite pour le distancer (et je zigzague et galère comme pas permis), mais à chaque croisement l'horrible visage réapparait. Je finis par arrêter la voiture et hurle à mon oncle de conduire pour moi.
Réveil.

C'est pas vraiment nimps mais j'ai vraiment eu très peur.

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De ce WE :

J'étais le réal désigné pour l'adaptation française de Terre Natale (RA Salvatore), et le mec casté pour Drizzt était Frédéric Diefenthal et veronique genest devait jouer matrone malice. J'ai tenté d'expliquer plusieurs fois à un mec qui ressemblait à à philippe lucas (en costard) que je ne comprenais pas pourquoi ces choix. On était dans la tour de TF1, et le mec m'a emmené dans un sous-sol (via un ascenseur secret) dans une autre salle de réunion où j'ai finalement appris que Diefenthal était le fils caché d'hortefeux et qu'on avait pas le choix c'était comme ça. Le cahier des charges tenait sur un recto de feuille A4, j'apprenais donc que le film ne devait pas avoir d'interdiction et devait pouvoir passé à 20h50 sur TF1. Je me souviens ensuite avoir parlé de ça dans la nuit sur la shoutbox en disant que je n'y arriverai jamais, y avait que marlo qui m'expliquait qu'en fait c'était pas si mal comme casting et qu'on pourrait peut être demander à des foruméens d'être figurants.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Je pleure de rire.

Je suis dans un rêve de Karlito, la classe.

Dreamworks qui avait réfléchi un temps à l'adaptation avec Snipes devait en trembler d'avance

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

lol...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je vous confie mon rêve super glauque d'il y a quelques nuits.

J'ai rêvé que j'étais dans une espèce de remake d'Hostel. J'allais avec d'autres dans un restau louche façon station balnéaire méditerranéenne en décrépitude, en sachant ce qui allait se passer. Sous couvert d'un restaurant gastronomique, c'était un restau où on allait nous droguer, pour nous bouffer alors qu'on était encore conscients (façon Ray Liotta). Et tout en sachant qu'on allait y passer, on restait là, on commandait, en trouvant ses vieilles serveuses japonaises très louches. Dehors par la fenêtre, on devinait que d'autres personnes "déjeunaient", mais cachées par une tenture, pour ne pas faire fuir les clients pas encore piégés. Et grosse grosse angoisse, celle que tu as quand tu sais que tu dois agir, mais que tu es paralysé par la peur, alors que rien ne s'est encore passé. Bref, on met les voiles, en lâchant une excuse bidon du genre "On a changé d'avis", on court à travers le parking, et l'un des nôtres se fait buter alors qu'il court pour rejoindre la voiture. Évidemment, c'était l'homme fort de service.

Je me suis réveillé sidéré par ce rêve bien angoissant, et avec l'envie de revoir Hostel 1 et 2.

Ça m'arrive souvent ce truc; ou comme qd tu dois prévenir qqun et que tu n'arrives pas à crier non plus même en te forçant.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

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ça envoyait grave du bois cette nuit

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

J'ai rêvé que je participais à Top Chef et qu'il fallait faire des crêpes et un gâteau au chocolat en un temps donné. Et bien sûr j'avais aucune idée de comment faire. Le gâteau que j'ai fait ressemblait à un biscuit et ma pâte à crêpe était beaucoup trop épaisse. Je voyais la fin de l'épreuve arriver et j'étais en gros stress, j'essayais d'appeler des gens pour qu'ils me conseillent. Et c'est là que je réalise en fait que je me suis jamais inscrit à Top Chef mais qu'on m'a forcé à y participer. Finalement l'épreuve se termine mais les gens continuent de cuisiner, il n'y a pas de jury, tout le monde semble s'en foutre. Mais moi je suis toujours là en panique avec ma pâte à crêpe inutilisable et mon gâteau dur comme du pain rassis. Rêve hyper stressant et hyper réaliste c'était horrible.

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CroqAnimement votre

ça fait deux semaines que je rêve de chute libre : de la tour eiffel, du toit de l'élysée et aussi de cubes façon mario... j'ai tjrs le début avant la chute et une partie de la chute mais jamais la fin.
Pour la chute des cubes, j'étais poursuivi par des gens sans visage façon lode runner avec des fouets qui faisaient des bip-bip-bip.

Flippant.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

J'ai rêvé que "j'entrais" (façon Rose pourpre du Caire), avec Rebecca Hall, dans The Awakening. Sauf qu'une fois à l'intérieur, ça ressemblait plus à Resident Evil (le jeu). Du coup je me retrouvais à dégommer du zombie à grands coups de jambes en plastique. Et pendant ce temps, Rebecca restait là, à rien faire. Alors comme ils étaient en surnombre, ces enculés, y en a un qui a fini par me désarmer en m'enlevant une jambe. Et là, comme l'autre cruche réagissait toujours pas, j'ai pensé : "Putain, pourquoi je suis pas avec Milla ?". Et je me suis réveillé.

Il ne me semble pas en avoir déjà parlé ici, mais j'avais fait un cauchemar il y a des années (j'avais 15 ou 16 ans, probablement) qui m'avait fortement marqué. Ca doit être le seul, d'ailleurs. Ca vient seulement de me revenir.

Dans un futur proche, je visite un espèce de salon (si je me souviens bien, c'était une sorte de foire à bestiaux mais où étaient surtout présentés des freaks). Au milieu, il y a un mec, sans jambe, dans un enclos, avec un monde fou autour de lui qui le regarde. Ses jambes sont découpées au milieu des cuises, ça pisse le sang et on voit même l'os dépasser.

Je ne sais plus ce qui s'est passé à ce moment mais je me suis réveillé au milieu de la nuit.

A ce moment, dans mon lit, je me tourne en direction de la porte de ma chambre... et je vois la silhouette du même mec, debout, dans l'ombre, appuyé contre le mur. Il a des jambes, il me regarde, et SOUDAINEMENT fonce vers moi à toute allure.

Je me suis grave réveillé en sursaut. Pour de bon, cette fois. C'est pas tant le mec qui m'a effrayé, que le fait de me réveiller, de me croire en sécurité dans ma chambre, et de me rendre compte que non, que j'étais encore dans le rêve. Genre Freddy Krueger, quoi.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ah putain le bad...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est le pire ça, quand tu te réveilles dans ton rêve.

Il m'était arrivé un truc similaire.
Quand j'étais encore au collège, à Créteil, il m'arrivait de dormir parfois chez mon oncle et ma tante qui habitaient l'immeuble en face.
Donc je dormais là, dans le salon, et j'ai été réveillé vers 6-7h par mon mon oncle qui partait au taf. Je me rendors.
Je me réveille, je me lève pour aller pisser et là je vois mon oncle.

- T'es pas parti travailler?
- Non finalement j'avais pas envie.

Là je remarque un truc bizarre. C'est bien mon oncle mais y a un truc presque imperceptible qui cloche.
Je regarde attentivement son visage et je remarque alors que les proportions ne sont pas exactement les mêmes, il a comme un menton un peu plus long.
Et c'est alors qu'il tourne la tête vers moi et que son visage se métamorphose en une figure diabolique, la mâchoire s'ouvrant grand et il rigole d'un rire maléfique.
Je crie mais aucun son ne sort. Il m'agrippe.
Je me réveille. Pour de vrai cette fois-ci.

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