Forum de FilmDeCulte

J'ai l'impression que tu es assez doué pour ça toi aussi, non ?

J'ai pas pu m'empêcher de réagir à cette critique de merde. Vous aurez la mienne ce soir, et ce sera pas la même limonade.

Bein vas y balance un truc interessant toi pour voir. Balances un truc sans aucune faute je sais pas moi. Prouves nous que t'as une utilité ou un intérêt. Parce que là le lien que j'ai mis c'est interessant. Mais je comprends c'est bien mieux deu parlé kom sa pcq c cool é c djeun kwa.

débile.

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Une pure honte ce truc,c'est dingue.

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Je parlais pas de ton lien (j'ai pas lu), mais juste de tes jolies interventions et de tes insultes gratuites, sans parler de ton "langUage" où "t'as qu'a enlever les voyelles" arf, je m'en lasse pas.. désolé... bonne journée

ta gueule.

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Jack Mosley, flic fatigué, doit escorter Eddie Bunker, témoin à comparaître. Il y a seize pâtés de maison entre le commissariat et le tribunal, et des dizaines de policiers corrompus sur la route.


I'M STILL, I'M STILL DONNER FROM THE BLOCK

Richard Donner a l'âge de Quick et Flupke, des hôtesses de l'air, de Pluton et d'Istanbul. 76 ans, vingt films, des dizaines de production télévisées, et plusieurs succès mondiaux, de La Malédiction à L'arme fatale en passant par Superman. Il y a deux ans, l'affligeant Prisonniers du temps avait détrompé notre secret espoir de revoir un jour un bon film du réalisateur, ce qui n'était pas arrivé depuis 1998 avec L'arme fatale 4. A vue de nez, 16 blocs avait un parfum de buddy movie et l'allure d'un remake de L'épreuve de force, un mélange curieux qui ne signifiait pas grand chose. Vendu à tort comme un film d'action, il s'avère être un véritable film caractériel, sorte de patchwork inter-genres doué d'une personnalité et de personnages. Faux temps réel à la mode 24h, l'enjeu « arrivée au tribunal » cède la place à l'évolution de Jack (Bruce Willis en bedaine de plume) et Eddie (Mos Def en débit rappeur), sujets du scénario. Derrière quelques scènes d'action délicieusement nerveuses (Donner, 76 quoi ?), 16 blocs prend justement le temps. Celui d'un autre film, d'une autre fin, et non celui d'une énième resucée de tout ce qu'a déjà fait Richard Donner. Certes, nous ne sommes pas chez Michael Mann, mais le produit fini a un vrai goût de cinéma, derrière les apparats des genres. Et puis, avouons-le, la panoplie Donner sied au tandem Willis/Mos Def, et la course à travers Chinatown permet au réalisateur, comme à son habitude, de s'immerger dans les minorités, sans jamais les singer. Sincère et fiable, 16 blocs est un authentique film du réalisateur de Superman. Sans orgueil, sans prétention, bourré de charme et de savoir-faire, il a la sagesse d'un réalisateur de 76 ans. Peu de produits semblables peuvent aujourd'hui s'en vanter.

Décidément...je te nomme digne successeur du maître Bob au niveau des meilleurs titres FDC.

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Avec cette phrase, ta critique perd sa crédibilité. Non seulement parce que L'Arme fatale 4, c'est juste avant Timeline (ce qui fait que la phrase cloche un peu), mais en plus parce que bon... le 4, c'est sympa, j'aime bien, mais comme "dernier bon film du cinéaste", ça reste lég'.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Je ne trouve pas que ça cloche. Et je trouve que c'est vrai, aussi.

J'y allais pour juger de la capacité d'une telle équipe de bras cassé (entendons acteurs et réalisateur plus trop hype) à faire un vrai film nouveau, frais.

Ce n'est pas frais, ni nouveau, c'est même à sa manière comme le Pollack de l'an dernier, un film vieille école, vieux moule, vieux modèle. Mais c'est moulé sur le meilleur, alors ça ne peux que donner des choses de bon gout.

Willis est bon, Morse assure son truc (même si parfois il a pas l'air d'y croire), Mos Def colle à son personnage, à la fois agaçant et attachant.

Et mister Donner à la caméra assure bien le relais et offre de la matière à ce film qui sentait de loin le sapin (d'ailleurs, c'est en salle 12 aux halles, petit).

4/6, film de la journée.

tout pareil

4,5 / 6

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any man's finest hour, his greatest fulfillment of all he holds dear, is the moment when he has worked his heart out in a good cause and lies exhausted on the field of battle - victorious.
- Vince Lombardi
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Petit divertissement sans prétention dans la lignée d'un negociator avec un homme seul contre tous, le contrat est rempli mais ça casse pas des briques... c'est caricatural, prévisible, et ça tire en longueur (16 blocks en plus d'une heure...).

16 Blocs
Humble et efficace. Ca paraît presque anachronique mais ça lui confère finalement sa petite singularité en plus. Le film traine juste un peu la patte par moments...

3-4/6

L'Arme fatale 4
C'est celui-là qui était offert avec tous les lecteurs dvd à un moment? Ou le 3 j'hésite. Ca m'a dégoûté de voir les autres en tout cas.

1/6

Complot
Je sais pas si j'aurais le même regard aujourd'hui mais le film je crois tiens bien sur ses bases: mise en scène efficace, bon duo d'acteurs, avec musique qui gonfle le tout et quelques bonnes scènes.

4/6

Assassins
Totalement à chier avec un Banderas catastrophique.

1/6

Maverick
Ben je me souviens pas m'être amusé comme un ptit fou.

3/6

Les Goonies
Mon film d'enfance aussi avec Willow comme quoi on était tous formatés. Transfert total vers le gamin asthmatique. Découverte de Cyndi Lauper choc esthétique et musical.

6/6

Superman
Jamais vu!

La Malediction
Et celui-là on en a parlé dans un topic exprès il y a peu, très sympa.

4/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

mou du genou, scénar plein de trous, de nawak et de facilités, mos def insupportable.

willis est bien.

ça reste vaguement plaisant, mais clairement pas impérissable.

2/6

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