Forum de FilmDeCulte

Holly et Jerry sont un couple amoureux menant une vie parfaite. A la suite de la mort soudaine de Jerry, Holly sombre dans une dépression. C'est alors qu'elle reçoit une lettre, la première d'une série de dix, rédigées par Jerry avant sa mort. Ces lettres, agencées tel un jeu de piste, lui donnent des instructions de choses à faire pour, à terme, tourner la page et enfin réapprendre à vivre.

Ca débute très mal avec une scène de ménage parfaitement bidon entre Swank et Butler. Tu te dis que c'est juste le début qui foire, en fait non, ça annonce juste le reste. C'est donc le mec qui a écrit la scène du feu rouge dans Sur la route de Madison qui a fait ce film?

Le problème c'est ce sentiment permanent d'apnée qui étouffe, tellement tout est marketé et calibré pour toi, jeune femme blanche hétéro lectrice de Glamour d'entre 27 et 38 ans. Les mecs d'abord. A ma gauche Gerard Butler, tête de cul intégrale sans son costard de Spartiate, et de toute façon totalement incrédible parce qu'emprisonné dans le rôle de la caricature de fantasme de la jeune femme blanche hétéro lectrice de Glamour donc, en plus l'entièreté de son jeu réside dans sa mâchoire... c'est horrible. A ma droite un pouilleux anonyme tout aussi caricatural: le large trentenaire beefy mal rasé à accent irlandais et qui doit probablement puer un peu de la gueule mais qui est tellement mâle d'ailleurs il cause avec une voix de cowboy. J'ai l'impression de voir des personnages fictifs échappés d'un sujet psycho bidon. Le rêve de l'héroïne ensuite qui se voit... designeuse de chaussures de luxe. Je suppose que dans la version mec il devient concepteur de jeux vidéos. Et ça tire jusqu'au générique avec du James Blunt (que j'ai reconnu au bout de 3 notes avant de fuir, ma mémoire musicale me fait parfois peur).

Tout ça pris individuellement pourquoi pas mais l'accumulation annihile toute idée de spontanéité, y'a encore la cellophane autour. Hilary Swank, qui peut être aussi bonne (bon ben on le sait) que très mauvaise (son truc du collier là), est ici très mauvaise, une énorme erreur de casting dans une comédie romantique. A part si l'idée était d'avoir envie de puncher ses grosses dents mais je suppose que non. Son perso est antipathique et chiant au possible.

Il reste les seconds rôles: Lisa Kudrow a 2 bonnes répliques (alors que moi, c'est ELLE que je veux voir dans une comédie romantique), Kathy Bates a un rôle de mémé digne (putain) et Gina Gershon fait figuration (hey salut Gina comment ça va?).

Je sauve le générique de début avec une personne qui a eu la bonne idée de proposer Camera Obscura pour la musique. Bien bien. Je suppose que c'est pas la même qui a mis James Cunt à la fin.

C'est pas drôle, c'est pas touchant, c'est que dalle, à la limite c'est un spot pour le Center Park de Dublin.

1/6

Sinon le film est sorti pour Noël aux Etats-Unis, mais pour la Saint Valentin chez nous. Une histoire de veuvage, je trouve ça bien pensé.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Critique très marrante ! Pas vu le film et je le verrais certainement pas mais déjà c'est clair qu'à la base Hilary Swank et Gerard Butler dans une comédie romantique j'y crois pas le quart d'une demi-seconde.

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CroqAnimement votre

"Je suis gugusse, voilà ma gloire". Micheline Dax.



Oui tu te dis que ça peut jouer le contre emploi et puis Meg et Sandra n'ont plus l'âge, mais finalement c'est juste de la sale erreur de casting qui tache et plombe.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Merde moi aussi. Y me faut une parade.

Vous pouvez pas dire à vos meufs "ça te dit pas d'aller voir un bon film et de me faire confiance BORDEL ?"

Ou alors de changer pour des meufs qui ont du goût......

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Netflix les gars, Netflix.

Offrez-lui le livre, le résultat a l'air beaucoup plus réussi (comme toujours...).

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www.unavissurtout.com

Le scénar de Fisher King c'est LaGravanese aussi et c'est sublime ça.

Moi j'avais bien aimé son D'Une Vie à l'Autre, un tout petit film porté par Une Holly Hunter à qui la vie ne sourit pas. Même qu'à un moment, elle imagine qu'elle saute de la fenêtre de son Loft, mais en fait c'est même pas vrai, c'est pour du faux.





C'est quoi ce bras.

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C'est quoi cette gueule aussi.
On dirait un trav.

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Nan "Sacré" c'est "Holy".
"Holly", c'est "Houx" si je ne m'abuse.

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Hollywood.

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A l'époque je voulais le voir mais je l'ai loupé puis il n'était pas au vidéoclub de Gagny puis je me suis contenté de voir sur le net la vidéo de l'extrait où son masseur canon (à qui manifestement la vie doit sourire même si ensuite il a tourné dans La Crypte) se déssape juste un peu. Pouf.

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Doll, it's a heartbreaking affair

La bande annonce m'a déjà paru interminable, alros je passe mon tour pour cette mièvrerie.

Bonjour la comédie romantique qui sonne atrocement faux du début à la fin... Bliss a déjà tout dit... Hilary est très belle mais pas à sa place, et Butler (wouah le mec trop cool, trop marrant, trop sensible) est à baffer.

1/6

Mention spéciale à une réplique où Hilary cite "Pulp Fiction" de manière particulièrement saugrenue...

Ca pousse à reévaluer en hausse "Juno".

Raconte, j'irai pas (malgré mon pote Gerard Butler).

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