Forum de FilmDeCulte

Le vol 209 à destination de Chicago n'est pas vraiment un vol ordinaire. Tous les membres de l'équipage étant victimes d'un empoisonnement alimentaire, il faut vite trouver un pilote de dépannage parmi les passagers.

Vu quand j'étais petit. J'ai récupéré le Blu-ray car Mister Zob me l'avait filé pour que je le donne au Pingouin Susceptible mais ce dernier n'était jamais venu le chercher donc maintenant il est à moi. Bref c'était l'occase de le revoir et le montrer à mon fils.

Au début je craignais le proto-ZAZ mou en mode film vieux de 44 ans. Que nenni: si le film n'a pas la cadence effrénée de certaines comédies qui viendront par la suite, ça s'enchaîne quand même pas mal, voir ça fuse par moments. Et la diversité des blagues fait plaisir, entre non-sens pris littéralement, comique visuel, comique de répétition, comique méta. Brillant.

Brillant aussi comment ils exploitent à merveille les visages fermés d'acteurs à la base aussi dreadfully serious que Peter Graves, Leslie Nielsen ou Robert Stack pour en faire des clowns blancs légendaires.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Le cinéma français un peu debilou n'a jamais compris ce principe : prendre des acteurs de films "sérieux" et les faire jouer sérieusement des situations absurdes. Toutes les parodies ou comédies debridees font appel à des comiques, et du coup y'a forcément un truc en moins.

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Netflix les gars, Netflix.

Il y a des dialogues cultes, quelques situation cocasses, mais je lui ai toujours largement préféré Top Secret.

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There is no such thing in life as normal

On a tous reçu un MP pour moins que ça.

Pas pour une faute de frappe.

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There is no such thing in life as normal

Sauf si tu fais jouer des trisos.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Cela reste intolérable.

Redécouvert sur le tard aussi y a quelques années et j'avais halluciné sur le nombre de blagues à la minute et la proportion de blagues qui m'ont fait rire. J'adore que le film ne s'embarasse de rien d'autre que son but premier: faire rire.

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En même temps, à part dans les grosses grosses parodies genre ZAZ (dont l’équivalent n’existe pas en France, à deux ou trois exceptions près), les comédies américaines emploient souvent des comiques aussi. Hier encore, je regardais (le très moyen et ultra mou) Bonjour les vacances, et Chevy Chase en était le perso principal.

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