Forum de FilmDeCulte

[quote="The Scythe-Meister"]Non. C'est juste qu'il a voulu jouer, alors on va jouer./quote]
C'est plus le déferlement d'insultes qui me surprend de ta part, ça fait un peu compulsif, là...

Tu crois quoi, que tu peux écrire ce que tu as écrit et t'en tirer à bon compte ? C'est toi qui débloque.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Oh, pour les insultes, c'est juste qu'il a prétendu que je l'avais insulté alors que ce n'était pas le cas. Je lui donne raison, c'est tout.

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1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Je fais avec le matériel que j'ai. J'attends les messages suivants de Caribou.

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1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

son dernier 6/6

Après c'est personnel. Je trouve le film intéressant mais pour moi ça reste un petit Cronenberg. Je lui préfère tellement Chromosome 3, Vidéodrome, La mouche, Faux-semblants, Existenz, A history of violence, Les promesses de l'ombre, Map to the stars... bah en fait la moitié de sa filmo. Et j'aime beaucoup ses séries B du début, mais là je comprends qu'on puisse discuter.

Bah non, c'est pas vrai.

C'est par souci de cohérence avec ton pseudo ? T'es dans cette période de l'adolescence où dire non, c'est exister ? Tu as donné comme fondement téléologique à ton retour la contradiction de tous et de tout le monde ? J'aimerais comprendre.

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2. Die.
3. Rot.

Y'a rien à comprendre, Starman n'est pas comparable à n'importe quel Carpenter c'est tout.

Il ne faut pas prendre tout au pied de la lettre. J'en aime beaucoup de lui.
Ouais Faux-Semblants pourquoi pas? En plus, il y a Geneviève Bujold dedans;

Pas d'accord, je trouve que c'est un film assez beau, touchant, bien plus investi que le travail de fonctionnaire que Carpenter a parfois fourni dans les 90's (Le Village des Damnés, l'Homme invisible etc...).

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N'écoutez pas Film Freak

C'est le meilleur des Carpenter de commande (ou de fonctionnaire comme tu dis) et d'ailleurs il l'a toujours défendu. Mais pour moi il n'est pas indistinctement assimilable a ses autres films, enfin ceux pour lequels on l'aime tant

Tout le monde s'en fout mais comme El Topo avait évoqué la possibilité d'une compet sur les top 100, j'avais préparé le mien. Histoire que je ne perde pas ma liste en route je la pose là. Dans l'ordre chronologique, en rouge les films vus ou revus depuis 2015, les autres ont été vus il y a bien longtemps, certains mériteraient une nouvelle vision mais en l'espèce c'est déjà pas si mal.

Dr. Mabuse (Fritz Lang, 1922)
Sherlock Jr. (Buster Keaton, 1924)
L'Aurore (F.W. Murnau, 1927)
L'Opérateur (Buster Keaton, 1928)
City Girl (F.W. Murnau, 1930)
M le Maudit (Fritz Lang, 1931)
Zéro de conduite (Jean Vigo, 1933)
La Femme et le pantin (Josef von Sternberg, 1935)
Les Temps modernes (Charles Chaplin, 1936)
Le Roman d'un tricheur (Sacha Guitry, 1936)
Ange (Ernst Lubitsch, 1937)
Aleksandre Nevskiy (Sergei M. Eisenstein, 1938)
L'Homme de la rue (Frank Capra, 1941)
La Charge fantastique (Raoul Walsh, 1941)
La Splendeur des Amberson (Orson Welles, 1942)
Le Ciel peut attendre (Ernst Lubitsch, 1943)
La Femme au portrait (Fritz Lang, 1944)
Le Massacre de Fort-Apache (John Ford, 1948)
Lettre d'une inconnue (Max Ophüls, 1948)
Le Convoi des braves (John Ford, 1950)
Journal d'un curé de campagne (Robert Bresson, 1951)
La Vie d'O'Haru femme galante (Kenji Mizoguchi, 1952)
Umberto D. (Vittorio De Sica, 1952)
Le Soleil brille pour tout le monde (John Ford, 1953)
Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock,1954)
La Vie criminelle d'Archibald de la Cruz (Luis Buñuel, 1955)
Mr. Arkadin (Orson Welles, 1955)
En quatrième vitesse (Robert Aldrich, 1955)
Un condamné à mort s'est échappé (Robert Bresson, 1956)
Le Château de l'araignée (Akira Kurosawa, 1957)
Ariane (Billy Wilder, 1957)
Sueurs froides (Alfred Hitchcock, 1958)
Mirage de la vie (Douglas Sirk, 1959)
Hiroshima mon amour (Alain Resnais, 1959)
Pickpocket (Robert Bresson, 1959)
Celui par qui le scandale arrive (Vincente Minnelli, 1960)
La Jetée (Chris Marker, 1962)
Le Goût du saké (Yasujirô Ozu, 1962)
8½ (Federico Fellini, 1963)
Le Mépris (Jean-Luc Godard, 1963)
Cléopâtre (Joseph L. Mankiewicz, 1963)
L'Évangile selon saint Matthieu (Pier Paolo Pasolini, 1964)
Charulata (Satyajit Ray, 1964)
Embrasse-moi, idiot! (Billy Wilder, 1964)
Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution (Jean-Luc Godard, 1965)
Blow-Up (Michelangelo Antonioni, 1966)
Belle de jour (Luis Buñuel, 1967)
Les Demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1967)
Oedipe Roi (Pier Paolo Pasolini, 1967)
Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)
2001 : L'Odyssée de l'espace (Stanley Kubrick, 1968)
Le Chagrin et la pitié (Marcel Ophüls, 1969)
Fellini - Satyricon (Federico Fellini, 1969)
L'Armée des ombres (Jean-Pierre Melville, 1969)
La Stratégie de l'araignée (Bernardo Bertolucci, 1970)
Deep End (Jerzy Skolimowski, 1970)
Le Messager (Joseph Losey, 1971)
Mort à Venise (Luchino Visconti, 1971)
Les Visiteurs (Elia Kazan, 1972)
Le Dernier Tango à Paris (Bernardo Bertolucci, 1972)
Le Privé (Robert Altman, 1973)
La Maman et la putain (Jean Eustache, 1973)
Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper, 1974)
Une femme sous influence (John Cassavetes, 1974)
Phantom of the Paradise (Brian De Palma, 1974)
Tous les autres s'appellent Ali (Rainer Werner Fassbinder, 1974)
Violence et passion (Luchino Visconti, 1974)
Taxi Driver (Martin Scorsese, 1976)
Opening Night (John Cassavetes, 1977)
La Ballade de Bruno (Werner Herzog, 1977)
Apocalypse Now (Francis Ford Coppola, 1979)
Meurtre dans un jardin anglais (Peter Greenaway, 1982)
Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman, 1982)
Sous le soleil de Satan (Maurice Pialat, 1987)
Où est la maison de mon ami? (Abbas Kiarostami, 1987)
Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant (Peter Greenaway, 1989)
Palombella rossa (Nanni Moretti ,1989)
Close-Up (Abbas Kiarostami, 1990)
La Double vie de Véronique (Krzysztof Kieslowski, 1991)
Short Cuts (Robert Altman, 1993)
Naked (Mike Leigh, 1993)
Chungking Express (Kar-Wai Wong, 1994)
Pulp Fiction (Quentin Tarantino, 1994)
Kids (Larry Clark, 1995)
Ghost in the Shell (Mamoru Oshii, 1995)
Crash (David Cronenberg, 1996)
Khroustaliov, ma voiture! (Aleksey German, 1998)
Eyes Wide Shut (Stanley Kubrick, 1999)
Fight Club (David Fincher, 1999)
Gerry (Gus Van Sant, 2002)
Elephant (Gus Van Sant, 2003)
Le Village (M. Night Shyamalan, 2004)
Conte de cinéma (Sang-soo Hong, 2005)
A Serious Man (Ethan Coen, Joel Coen, 2009)
La Vie d'Adèle (Abdellatif Kechiche, 2013)
Norte, la fin de l'Histoire (Lav Diaz, 2013)
Nymphomaniac (Lars von Trier, 2013)
Les Mille et Une Nuits (Miguel Gomes, 2015)
Senses (Ryûsuke Hamaguchi, 2015)
Un jour avec, un jour sans (Sang-soo Hong, 2015)

Se retenir, se retenir...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est pourtant pour te faire plaisir que je l'ai mis