Forum de FilmDeCulte

Pourquoi le titre est orthographié "Polisse" ? C'est expliqué ?

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sûrement parce que c'est sur la brigade des mineurs non ? Polisse, polisson ...

C'est surtout, je crois une faute d'orthographe faite par un enfant (ou un illettré).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Fait chier il va falloir attendre octobre pour le voir... Beaucoup le voient déjà au palmarès le film.

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CroqAnimement votre

Ce sera probablement en juillet à Paris Cinema.
Tiens Marlo, tu tombes bien, envoie-moi une de tes casquettes en collissimo avant que je carbonise dans la file d attente du miramar.

Coucou les amis c est Maïween! Je viens de réaliser un film sur le quotidien de la brigade de protection des mineurs et mon réalisateur préféré c'est Maurice Pialat.

Ce que je capte pas, c'est que le pitch mentionne la BM du 19ème... sauf qu'il n'y a qu'une seule brigade pour tout Paris, et qu'ils manquent grave de moyen (pour avoir bossé étroitement avec eux). Et pourquoi spécifiquement le 19ème ? Ils interviennent sur quel genre d'affaires dans le film ? Les afghans ?

Le film me botte énormément en tous cas, le sujet me plaît, et je n'ai rien contre Maïween (pas vu ses deux premiers).

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I think we're gonna need a helmet.

Le film va cartonner. Je le trouve blindé d'immenses qualités (son coté organique, la direction d'acteur évidemment, même du parfois y'a quelques caisses en trop) mais avec des problèmes scenaristiques qui passent mal chez moi. Je ne ne peux m'empêcher de voir la un pilote (très réussi) de série tv, avec bien des pistes proposées et jamais explorées a fond ( je reste super frustre sur les payoffs des histoires de duvauchelle et de viard par exemple).

Il n'en reste pas moins une vivacité incroyable et un Joey Starr qui peut préparer de la place sur sa cheminée.

C'est le seul film que j'ai vu !

T'es rentré? t'as eu les résultats du prix qualité?

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Non. Oui.

Eldjfall
Un gros chauve sexagénaire patibulaire dans des intérieurs islandais à se flinguer bouffe les seins de mémère, se fout à poil après aboir manqué de couler dans un long plan interminable... Fredo Boyer est en pleine forme. Parti au milieu

ah merde on l'a pas eu non plus, bon...

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Arirang de Kim Ki-duk (Un Certain Regard)

Après un grave accident sur le tournage de son dernier long métrage, «Dream», en 2008, le grand cinéaste Kim Ki-duk ("Printemps, été, automne et hiver") s’est retiré du monde du cinéma pour vivre en ermite dans les montagnes d’Arirang, en Corée du Sud. Trois ans sont passés. Trois années d’une terrible introspection artistique – et d’une vraie dépression – dont le film témoigne à la première personne du singulier. Parfois déchirant, ce cinéma-vérité a aussi ses limites, qui touche tant à la répétition des situations et des scènes qu’à l’épuisement autodestructeur de l’acteur-réalisateur. «Arirang» et la présence de Kim Ki-duk à Cannes marquent néanmoins la première étape de la renaissance artistique d’un cinéaste qui a failli tomber définitivement dans l'oubli. Parviendra-t-il à retrouver désormais la sérénité, son exorciste mené à terme ? De sa santé mentale dépend la réponse de la question.

3/6

Habemus Papam de Nanni Moretti (compétition)

De retour sur la Croisette cinq ans après "Le Caïman", Nanni Moretti signe un film tragi-comique sur la solitude du pouvoir et des hautes fonctions. Elu Pape malgré lui, le Cardinal Melville sombre dans la dépression et se rêve acteur de théâtre, alors que tout le Vatican attend sa présence au célèbre balcon. Impérial dans le rôle principal, Michel Piccoli donne au Saint-Homme accablé une vraie dimension humaine, alors que Nanni Moretti, en psychanalyste irascible et sûr de lui, s’improvise entraîneur de volley-ball. Plus moqueur que critique, le cinéaste italien s’amuse des vieilles traditions de l’Eglise catholique à l’heure des portables et de Twitter et dresse un beau portrait d’homme écrasé par les responsabilités. On attendait néanmoins une charge plus féroce de la part de l’auteur de "La Messe est finie".

4/6

Footnote de Joseph Cedar (compétition)

Récit d'une rivalité père-fils sur fond de palme académique, "Footnote" de Joseph Cedar ("Beaufort") est une comédie kafkaïenne que ne renieraient pas les frères Coen. La mise en scène inventive à l'excès peut écœurer le cinéphile gourmet, mais ce jeu de massacre familial comporte quelques scènes jubilatoires, d’une réunion secrète dans une minuscule pièce de l’Université aux réflexions sur l’importance des notes en bas de page dans le milieu des chercheurs hébraïques.

4/6 (mais solitude inouïe dans la salle)

Jeanne Captive de Philippe Ramos

Une première demi-heure calvaire, la suite est meilleure mais je comprends pas trop le sens et l'intérêt de la chose.
2/6

Mon palmarès après cinq films

Palme d'or: We Need to Talk about Kevin
Gd prix: Habemus Papam
Prix jury: Polisse
Mise en scène: We Need to Talk about Kevin
Actrice: Tilda Swinton (We Need to Talk about Kevin)
Acteur: Joeystarr (Polisse)
Scénario: Footnote

Le Point note

5/6 La Guerre est déclarée
4/6 We Need to Talk About Kevin, Habemus Papam, Polisse, Footnote
3/6 Minuit à Paris, Arirang
2/6 Sleeping Beauty, Jeanne Captive

je suis content, j'ai trouvé un carnet grognon

http://independencia.fr/FESTIVALS/CANNE ... arnet.html

ça fait du bien.

j'ai l'impression que la sélection de l'année est vraiment nullissime en tout cas, quelles que soient les sélections, ça ressemble pas mal aux sorties de l'année, d'ailleurs, ça devient dur d'aimer l'actualité cinématographique.

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Patience, à la fin de festival on aura encore ça:

http://www.youtube.com/watch?v=lrGmaZi0hgE