Et hop, une rétro spéciale cinéma japonais
Nuage épars de Mikio Naruse Crépuscule à Tokyo de Yasujiro Ozu Les Gens de Gion de Kenji Mizoguchi La Condition humaine de Masaki Kobayashi Les Plaisirs de la chair de Nagisa Oshima Without memory de Hirokazu Kore-Eda Cold Fish de Sono Sion La Jeunesse de la bête de Seijun Suzuki Vivre dans la peur Akira Kurosawa Licence to Live de Kiyoshi Kurosawa
4/6 La femme insecte de Shohei Imamura Shohei Imamura est l'un des mes réalisateurs préférés, surtout pour L'Anguille, Pluie noire et Eijanaika. La Femme insecte pose les bases de sa grande oeuvre à venir : mélange des genres, ambition folle (le film raconte aussi 50 ans du Japon), personnages ambivalents mais jamais jugé sur le plan de la moral - à part que tous les hommes sont des cochons libidineux mais est-ce faux ? La première heure est remarquable, la suite un peu plus confuse mais c'est à voir (en reprise au Reflet Médicis).
Kids return de Takeshi Kitano United Red Army de Koji Wakamatsu Hotaru de Naomi Kawase
5/6 Heaven is Still Far Away de Ryusuke Hamaguchi Bien sûr le pitch fait penser à une version féminine de Vers l'autre rive de Kiyoshi Kurosawa et aussi à Lumières d'été de Jean-Gabriel Périot, mais Ryûsuke Hamaguchi a vraiment un don pour l'écoulement de la parole, le tempo des champs/contrechamps... Et l'épilogue est beau et simple. Une belle découverte, j'ai envie de voir les autres.
Miss Hokusai de Keiichi Hara Le Visage d'un autre de Hiroshi Teshigahara Okita le pourfendeur de Kinji Fukasaku Yakuza Apocalypse Takashi Miike La vengeance d’un acteur de Ron Ichikawa
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