Honey, I Shrunk the Kids (Chérie, j'ai rétréci les gosses, 1989) Film semi-culte de mon enfance avec un pitch parfait de film d'aventures original pour gamin quoi...mémorables insectes, cookie et Lego géants. 4,5/6
The Rocketeer (Rocketeer, 1991) Découvert un chouille trop tard pour être à donf mais au demeurant, j'adore l'esprit rétro, le look art déco, l'aspect comic book...et la musique. C'est aussi le film qui annonce le goût de Johnston pour un cinéma nostalgique. 4,5/6
Jumanji (1995) On se rappelle du film surtout pour effets spéciaux, disséqués à l'époque dans SFX et même Première, mais moi je retiens surtout le côté très "production Amblin des années 80" qui se dégage du postulat de départ et de l'exécution. Comme ses autres films, ça mange pas de pain mais c'est fort sympatoche. 4,5/6
October Sky (Ciel d'octobre, 1999) Nostalgie, le retour, avec ce petit drame '50s inspiré d'une histoire vraie qui témoigne de ce même sens du merveilleux et de la découverte avec à nouveau un pionnier, un inventeur en protagoniste. Touchant. 4,5/6
Jurassic Park III (2001) Suite décomplexée qui n'a pas la magie du premier ou LE morceau de bravoure comme le second, mais qui demeure diablement efficace et fun, avec un esprit beaucoup plus comic book et même jeu vidéo. Entertainment carré avec quelques hommages au genre du film de monstres. 4,5/6
Hidalgo (2004) Désir du film d'aventures vraiment à l'ancienne pour le coup, où Johnston s'est juste gavé visuellement et signe sans doute son film le plus beau même si le récit demeure peut-être un poil trop linéaire et basique. Mais ça fait son taf. 4,5/6
The Wolfman (Wolfman, 2010) Improbable réussite au vu d'un genre peu glorieux et d'une production maudite qui aurait gagné à être plus longue afin d'approfondir les thématiques hamletiennes de transferts et de doubles, au demeurant c'est une série B gore au classicisme efficace. 4,5/6
The First Avenger : Captain America (2011) Il y a tout d'abord cette intro qui donne le ton, situant clairement le film dans le serial type Raiders of the Lost Ark matiné de SF, genre pour lequel Joe Johnston est sans conteste des plus adéquats, traitant le récit au premier degré sans tomber dans l'image d'Epinal factice à la Pearl Harbor, malgré le risque lié au milieu militaire et aux motivations du personnage. Un défi remporté haut la main grâce aux précieuses minutes que le film passe sur Steve Rogers dans son premier tiers, prenant soigneusement le temps de dresser le portrait d'un héros en devenir, mû par les meilleures intentions, et profondément touchant. 5/6
Joe la constance.
Moyenne : 4.6/6
1. Captain America 2. Chérie, j'ai rétréci les gosses 3. Jumanji 4. Jurassic Park III 5. The Rocketeer 6. The Wolf-Man 7. October Sky 8. Hidalgo
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