FingersCrossed a écrit:
les gens ne savent pas trop ce qu'ils veulent avec les politiques.
"ils n'ont jamais travaillé et sont juste des parasites de l'argent public !!"
==> après ça donne juste les trump ou les macronistes qui se barrent en plein mandat pour juste aller faire du fric, vraiment un bel engagement au service de la collectivité.
"ils n'ont aucune sincérité, ils s'engagent juste pour avoir du pouvoir !!"
==> hollande qui après avoir eu le pouvoir redevient député d'opposition à la sensibilité minoritaire dans son propre groupe entre deux conférences sur la démocratie - non pas pour des banques etrangères moyennant d'énormes finances mais pour des lycééns, c'est pas bien non plus, c'est pas assez "classe".
Ouaisw enfin ce genre de critiques où on ne ne s'y retrouve plus dans la démagogie critique du populisme, c'est absurde.
Moi je savais très bien que je ne voulais pas d'un Hollande, de par son profil d'énarque haut-fonctionnaire, balancé en Corrèze, où il n'avait peut-être jamais foutu les pieds, parce que Delors ne voulait pas se viander contre Chirac, et qui passera des années à jouer le petit jeu des motions de congrès.
Et quand tu fais président et te fais humilier au point de ne même pas pouvoir te représenter et bien tu prends acte et prends ta retraite politique.
J'ai des griefs contre Jospin mais pas celui de ne pas reconnaître sa grande élégance.
Maintenant, le problème n'est pas tant les hommes qui sont ce qu'ils sont mais un certain système institutionnel français. Qui permet donc des Hollande, qui finira dans les poubelles de l'Histoire et avec qui je n'echangerais ma vie pour rien au monde (j'ai toujours trouvé Julie Gayet nulle).
Et donc pour commencer le principe du haut-fonctionnariat que j'estime bien plus responsable de la situation du pays que les politiques en CDD.
Macron aurait supprimé l'ENA. En mode, "on passe de Pôle Emploi à France Travail".
Reste que si je devais m'arrêter au personnage et bien j'en appellerais à son ex. Pas celle qui saute sur l'occasion de faire un best-seller mais celle qui me crachait à la gueule du haut de mes 11-12 ans avec ses sorties quasi-racistes sur les animes japonais.
C'est con, hein ? À la base. Reste que la suite aura démontré que c'était un élément tout à fait valable à prendre en compte pour juger la bonne femme.
Malgré tout, j'ai voté pour elle (enfin contre l'autre). Ça m'avait bien fait assez mal.
Et j'ai donc la vulgaire faiblesse d'estimer que ça en disait long sur le bonhomme.
Mais le discours des gens, "les gens sont jamais content", pitié quoi.