rotary a écrit:
Moi je les remarque, je les compte et je vois bien qu'ils sont moins nombreux que sur le forum dvdrama, par exemple.
Sur le forum dvdrama, aucun rédacteur n'intervient, ne discute avec toi, et 90 % des topics portent sur des films à venir dont personne ne sait rien. Ici, on a un forum incomparablement meilleur, mais FDC ne profite pas de cet avantage qualitatif. Mes suggestions sur l'accueil des nouveaux ne coûteraient pas un gros effort. Et si on cesse de leur taper dessus à l'entrée, le forum pourrait attirer des recrues intéressantes.
L'idée de base n'était pas d'ouvrir un forum pour accueillir le plus grand nombre et tous se tenir la main en dansant la farandole autour de la jolie planète Terre. L'idée était plus pragmatique, c'était surtout de sauvegarder cet endroit menacé de disparaître qu'était le forum Première (et ainsi de suite), et où on se sentait comme à la maison - où les échanges débiles étaient aussi drôles que les écrits sur le cinéma étaient intéressants. On a prolongé ainsi sur différents supports, et malgré le départ de beaucoup d'anciens, un certain esprit qui fait aujourd'hui l'identité de ce forum. Or je suis persuadé qu'on ne peut pas tout avoir... Moi ton idée d'un forum open bar avec des nouveaux intouchables, avec immunité et permis d'écrire des conneries pour ne pas leur gâcher leur délire, ça ne me fait pas rêver du tout. L'important pour moi sur le forum, et contrairement à la vie en général ou à une classe d'école en particulier, c'est ce que l'on écrit et pas ceux qui écrivent. Sinon je serais méga pote avec tous les foruméens que j'aime bien. Bien sûr ça n'exclut pas les affinités, encore moins les échanges enrichissants, ni mêmes les rencontres... mais c'est la garantie d'une ambiance singulière, d'une réelle atmosphère, d'une certaine philosophie même, beaucoup plus difficile à obtenir qu'un gros casting quantitatif de participants. Je suis persuadé que le sel de ce forum dépasse largement nos petites identités, et nous sommes tous interchangeables. Mais il y a quelque chose qui perdure et qui risquerait de disparaître si le ton se poliçait, dans l'unique but d'ouvrir les bras aux premiers venus.