Forum de FilmDeCulte

j'avais oublié ceux-là, le cercle des poètes disparu, c'est imparable pour moi, le passage "oh captain my captain !" et hop je monte sur ma table.

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On a frôlé la fissure anale...

Oui oui mais c'est pas tout à fait le même et c'est pas le plan d'ouverture.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

la musique fait tout à chaque fois, je pense que n'importe quelle scène de ce type sans musique, ce n'est pas le même effet

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On a frôlé la fissure anale...

ouh la oui, grosse crise de larmes devant... je pourrai pas le revoir je pense, idem pour Million dollar baby, je suis incapable de le revoir

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Janet

ah non là vu la durée j'avais trop envie de faire pipi pour être triste

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Janet

pour moi c'est la fin du combat avec Obi-Wan dans le 3, "You were my brother, I loved you", ça m'a achevée ça

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Janet

- quand les choses comment à tourner au vinaigre pour Edward Scissorhands, grosses larmes à base de "mais pourquoi sont-ils (enfin, elles surtout) aussi méchants ?"

- Moulin Rouge : 1e vision, , à partir de la 2e,

- Titanic bien sûr, même juste entendre la musique sans le film, pur réflexe pavlovien

- la fin de Spider-Man et le 2 à plusieurs reprises

Mais en général je pleure pour tout et n'importe quoi, une séparation, une mort dès qu'elle est appuyée un minimum (musique & co, donc d'Amadeus aux Doors là c'est big larmes), une injustice, quelqu'un qui pleurt même...

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Janet

Oui mais ya aussi des scènes qui marchent sans musique, ou justement parce que ya pas de musique.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

exact

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On a frôlé la fissure anale...

La scène finale de L'Enfant est un exemple qui me vient en tête, mais il y en a pléthore d'autres.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Purée à vous lire je me sens coeur de pierre...

J'ai la gorge qui se serre pour les histoires filiales, les injustices et les sacrifices, les pertes, les amours impossibles et depuis quelques années les morts mais toujours dans des conditions particulières... En fait c'est surtout la perte, quel(le, ortho ?)qu'elle soit, qui me touche le plus

Pour résumer, je pleure devant Thelma et Louise et à la fin de chaque épisode de Cold Case.

Je pleure beaucoup beaucoup donc autant les morts, les déclarations d'amour, les groupes qui s'unissent vont me faire réagir.

Un de mes pires fous rires au cinéma c'est devant Mar Adentro parce qu'à force de pleurer très fort je me trouvais tellement pathétique que ça m'a fait rire nerveusement. Et ce n'est pas la mort du personnage qui me faisait pleureur mais le combat de sa famille... Ah la famille, un grand ressort pour pleurer chez moi!

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www.unavissurtout.com

Excellente thématique ! Je souscris. Dans le même genre d'idée, y les allers-retours dans le temps avec de beaux flashbacks (pas les flashbacks pourris avec une image cheloue pour bien signifier que c'est du passé, ceux qui sont racontés au présent avec des méga couilles). Comme Le Parrain II (ou ce somptueux flashback de repas de famille où tout le monde attend l'arrivée de Marlon Brando... que l'on ne verra pas). Ou l'enfance en ouverture de Né un quatre juillet, vu que le film est ensuite bourré de réminiscences, non explicites d'ailleurs.

Les extraterrestres à la fin de RENCONTRES DU TROISIEME TYPE.
Rien de triste, hein, juste de l'émotion pure. Un mélange d'effroi, de fascination, d'"envie d'être là"...... Quand le plus grand déploie ses bras avec ce putain de John Williams qui s'enflamme derrière, eh ben BAM.

Dans un autre genre, la fin du GEANT DE FER, pareil, dans l'émotion pure du moment...

BOOM. Craquage immédiat.

Et y'en a plein d'autres.........

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Netflix les gars, Netflix.

La majorité des séquences du Roi et l'oiseau me faisait chialer, notamment l'accordéoniste et la toute fin, la cage qu'ouvre le robot. Magnifique.