Forum de FilmDeCulte

J'aurais vu qu'elle faisait 1h23.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

C'est bien une réflexion de jeune actif ça.

Match le plus cruel de ces huitièmes...

Akira, malgré ses défauts tandis que BTTF est parfait, mais manga culte et une telle claque, pure folie d'un projet pareil et cette animation comme on n'en verra sans doute jamais plus.

Mouaaaaiiiiffffff... à quel moment y'a du sarcasme là-dedans, surtout au vu du 2? J'adore Zemeckis hein, mais c'est quand même un cinéaste assez 1er degré, "naïf", "pur" dans ses émotions quand même, non ?

Akira, qui a été un vrai gros choc

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"PACIFIC RIM" Massinfect

Le 2 où le méchant est 100% inspiré du Trump de l'époque ?


Ça dépend. Regarde Forrest Gump, l'émotion est premier degré mais le portrait fait des figures historiques et de l'Histoire est plutôt à la dérision.

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Je me suis effectivement posé la question tellement la scène me parait caricaturale/cauchemardesque mais cela n'a pas de sens dans ce que le film veut faire passer...y'a aucune distance ou volonté de créer un malaise. Enfin bref

Mais en quoi c'est mal, la représentation d'une famille reaganienne parfaite ? Est-ce que le film en profite pour exclure qui que ce soit ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ah commence pas toi !

Ben si, j'aimerais bien savoir pourquoi représenter un cliché de l'époque de la famille heureuse, mais qui ne fait de mal à personne, ça déprécierait la qualité du film.

J'aimerais bien voir ta tronche devant Little Women de Louisa May Alcott.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

J'ai pas dit qu'il y avait dénonciation, je dis juste qu'il en fait une pirouette amusante. Comle tu dis, c'est caricatural et c'est assumé, pour appuyer le coup du "un rébellion contre son bully et ça y est le mec est un winner".

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Voilà, c'est un cliché, c'est un moment Colgate, c'est dans le ton de l'époque, et faut arrêter de chercher des brûlots de gauche dans chaque film que l'on voit.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Akira - Katsuhiro Otomo - 1988

L'autre est super sympa mais il ne révolutionne rien du tout au cinéma.

Et c'est dans le ton comique d'un film avec un savant fou qu'a l'illumination dans ses toilettes.

Je pensais surtout au fait d'adopter le même schéma qui est de sauver ses géniteurs / sa descendance / soi-même d'être des losers... Ca reste principalement un artifice scénaristique, mais je ne vois pas vraiment de pas de côté, encore moins de sarcasme là-dedans. J'en fait pas un élément disqualifiant, ça reste suffisamment au second plan pour que je passe outre, mais ça reste une facilité pas très fine au final (Biff qui finit dominateur ou humilié comme une sous-merde).



Ouais comme tu dis, le méchant du 2 porte une critique du modèle dominant de l'époque, ça me semble assez lucide là-dessus (comme pour compenser la fin du 1 d'ailleurs...). Mais Zemeckis a toujours un regard bienveillant pour ses héros, inadaptés à un monde extérieur agressif (bon c'est un peu le trait de caractère que l'on retrouve dans pleins de scénar), et je ne crois pas que l'ironie ou le sarcasme passe par le biais de ses persos principaux.