Forum de FilmDeCulte

A travers une galerie d’instants volés, passés ou présents, le film raconte l’histoire d’un amour que l’on pensait avoir trouvé, et qui pourtant s’échappe…

Ca m'a fendu le coeur. Un premier film miraculeux, d'une rare force, où les signes d'une love story post-ado se répercutent quelques années plus tard sur un mariage qui sombre à vau-leau via une chanson soul fétiche, un geste de colère, un cunnilingus, dans un montage alterné qui fait sens au point de chatouiller la splendeur de Two lovers... C'est peu dire que le film ne serait rien sans les performances à vif de Michelle (poire) Williams et de Ry(cantonais)an Gosling, qui méritent tous deux tous les éloges.
5/6

(lol......)

Tu donnes envie en tout cas.

Belle affiche, aussi!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ryan Gosling au ukulélé donne aussi envie de se replonger dans l'excellent album de Dead Man's bones.

J'aime ce nouveau running gag.

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Tu te touches là, et on pourrait croire que le Gray est en montage alterné.


Ce n'est d'ailleurs pas un plan du film.

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"Je suis prêt à accepter une tonne de qualité chez Spielberg" Lohmann

Téléchargé ou voyage à l'étranger?

Si première option, je veux les liens en MP, merci (idem pour "Rare exports")

Apprends à utiliser google:
titre du film + dvdrip

Unbeliebubble!

okay okay

Gros coup de cœur pour ce petit film indé criant de vérité où l'écran se fait crevé par un duo de comédiens prodigieux. La simplicité de l'affaire rend tout ça encore plus touchant et attachant... C'est joliment filmé, bien écrit, la BO tue, et puis voilà, encore une fois, Gosling et Willians déchirent...

J'ai adoré.

5/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Qui est très beau!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Challenge Mickey Willis de la solitude, liste Karloff



C'est vachement bien.
J'aime beaucoup l'idée du film : raconter la construction d'un couple, la beauté cristalline des premiers émois, l'enchantement des premiers regards, et d'y opposer sa dissolution, avec les petites manies qu'on ne supporte plus, les attentes qui ne se rencontrent plus...

Cianfrance réussit aussi très bien un pari de mise en scène assez osé, celui de filmer la romance et son effondrement en laissant sans cesse traîner un poids sur l'image, comme une menace qui promet le basculement vers le thriller (avec cette photo un peu sale, jamais franchement nette, dans cette ville anonyme et sans grâce), mais de ne jamais faire l'erreur de franchir le pas : on est dans la tension permanente, entrecoupée de moments de poésie pure (Gosling qui redécore la chambre d'un retraité que tout le monde a oublié, le cunni), et si l'on y réfléchit, c'est une façon belle et logique de filmer le couple, comme une succession de vagues, du sommet jusqu'au creux, avec un mouvement incessant qui va de l'un à l'autre.

Gosling est formidable, et malheureusement, Williams paraît un peu fade à côté de lui.

5/6

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Tom Willis

lol mais j'ai rien fait moi...

J'en fait deux cette semaine normalement