1945 : Two O'Clock Courage: 3/6
1945 : La Cible vivante: 3/6
1947 : La Brigade du suicide (T-Men) : 4/6
1947 : Desperate: 3/6
1948 : Marché de brutes (Raw Deal) : 4,5/6
1948 : Il marche dans la nuit (He Walked by Night): 3,5/6
1949 : Incident de frontière (Border Incident): 4/6
1949 : Le Livre noir: 4,5/6
1950 : La Rue de la mort (Side Street): 4/6
1950 : Les Furies (The Furies): 3/6
1950 : La Porte du diable: 3/6
1950 : Les Furies (The Furies): 3,5/6
1951 : Le Grand Attentat : 4/6
1951 : Winchester '73 : 5/6
1952 : Les Affameurs (Bend of the River) : 4,5/6
1953 : L'Appât (The Naked Spur) : 5/6
1953 : Le Port des passions (Thunder Bay): 3/6
1954 : Je suis un aventurier (The Far Country) : 3,5/6
1955 : L'Homme de la plaine (The Man from Laramie) : 4/6
1957 : Cote 465 (Men in War) : 5/6
1957 : Du sang dans le désert (The Tin Star) : 5/6
1958 : Le Petit Arpent du bon Dieu (God's Little Acre): 2/6
1958 : L'Homme de l'Ouest (Man of the West): 4/6
1960 : Spartacus : 4/6
1964 : La Chute de l'empire romain (The Fall of the Roman Empire): 3,5/6
1965 : Les Héros de Télémark: 2/6
1968 : Maldonne pour un espion (A Dandy in Aspic): 4,5/6
Pas un réalisateur naphta que je citerais parmi mes préférés au premier abord mais un monsieur pour qui j'ai beaucoup d'affection, qui formellement soigne toujours ses films et qui livre des produits qui ne prends pas son spectateur pour un con, quand on matte un Anthony Mann les 3/4 du temps sans être devant un chef d'oeuvre on sait qu'on passera un bon moment.
Il est surtout connu pour sa fameuse fournées de western avec James Stewart dont ressortira deux chefs d'oeuvres pour moi, l’appât, western psychologique remarquable et Winchester 73. A noter également Tin Star avec le duo Perkings/Fonda qui est moins cité quand on parle de ses westerns mais qui reste une oeuvre remarquable dans la mouvance du cinéma de Ford (on pense notamment à Liberty Valance devant ce film). Et dans une moindre mesure citons l'homme de l'ouest avec Gary Cooper, œuvre que j'apprécie un peu moins mais qui a le mérite de présenter un western aux antipodes de ceux qui se faisaient à l'époque par son côté austère.
Pour finir je mentionnerais Côté 465 un petit bijoux du film de guerre dans la vaine de ce qu'a pu faire Fuller par son économie de moyen au profit d'une psychologie travaillé de ses personnages et de situations toute somme intimiste mais qui fonctionnent par leur suspense. Et enfin le livre noir sorte de film hybride entre le film noir et le film d'époque ou se mêlent fiction et figure historique pendant l'époque de Robespierre. Sans oublier bien sur son dernier film assez peu connu et décrié, maldonne pour un espion que je trouve vraiment réussi par son côté cynique qui dénote complétement avec ce qui se faisait à l'époque.