Mission: Impossible III (2006)Sympa mais j'avais pas hyper accroché. J'aimerais toutefois le revoir. 3,5/6
Star Trek (2009)Mon dépucelage trekkien. Jamais je n’aurais cru que je m’amuserais comme un enfant devant ce blockbuster d’une classe folle, décomplexé et débordant d’énergie et de générosité. Bon, j’avoue que j’étais un peu largué mais c’était quand même vachement cool. 4/6
Super 8 (2011)J'avais adoré. 5/6
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Tout le film est là, dans ce regard, ce visage, cette lumière. Comment ne pas penser au regard d’Elliott, à la fin de
E.T.? Avec
Super 8, son film le plus personnel, J. J. Abrams rend un merveilleux hommage au cinéma des premiers « blockbusters » de la fin des ’70 et début ’80, et signe une véritable déclaration d’amour aux premiers films de Steven Spielberg. A l’heure où Hollywood s’obstine dans le recyclage à tout-va, on nous offre là un inoubliable bain de nostalgie – au sens noble du terme. Dieu merci, Abrams a eu l’intelligence de ne jamais tomber, en revenant 30 ans en arrière, dans le pastiche de pacotille. A défaut de pouvoir crier au chef-d’œuvre (le script est sans doute un brin trop dispersé),
Super 8 s’impose pourtant comme un classique instantané, et pas seulement par sa réussite intrinsèque (casting parfait, production fabuleuse). Si on en sort enchanté, c’est parce que le film a un cœur gros comme ça. Ce n’est pas étonnant que cette histoire du monstre (petit cousin de celui de Cloverfield) intéresse moins le réalisateur que cette bande de gamins au seuil de l’adolescence (qui rappelle celle des
Goonies). Bien que le spectacle soit au rendez-vous, Abrams ne nous cache jamais que c’est à travers eux que passe le film. On vit
Super 8 avec leurs angoisses, leurs douleurs, leur passion, leur innocence. Voilà, au cœur de l’été, l’un des plus beaux films de l’année.
Star Trek Into Darkness (2013)Je n'ai pas pris la peine d'aller le voir.