Forum de FilmDeCulte

Pas pour les fans de Renaud

Un matin, Diane découvre que l'homme qu'elle aime, Hermann, l'éditeur bien connu, va publier un livre de Worms, l'écrivain bien connu dont elle a autrefois partagé la vie, - et que ce livre parle d'elle...


BOBOLAND

Ancien critique des Cahiers du Cinéma, scénariste émérite (de Jacques Rivette notamment), Pascal Bonitzer poursuit sa carrière de réalisateur avec une variation parisienne de ses précédents films, Rien sur Robert et Petites Coupures, dont il reprend les thèmes et l'atmosphère. Amoureux de Jacques Tourneur et de Woody Allen, Pascal Bonitzer a un don exquis pour trouver un certain romantisme fantastique, écrire des dialogues ciselés avec un vrai sens de l'absurde. Mais si la mise en place est prometteuse, très vite le récit s'essouffle. Le mystère des premières minutes se transforme en simple drame de boulevard avec quiproquos sentimentaux et tromperies par erreur. Il y avait pourtant matière à un grand film, Bonitzer aurait pu davantage explorer le vampirisme sous-jacent d’Anne, hélas si vite abandonné, ou donner plus d'ampleur diabolique au personnage de l'écrivain, Worms, par qui tout arrive. Je pense à vous reste malgré tout plaisant, principalement grâce aux acteurs, Edouard Baer en tête et son attitude bobo volontairement outrancière et assumée.

Bon, quelque part c'était écrit PAS POUR TOI en énorme sur la porte de la salle mais j'ai détesté d'un bout à l'autre. J'étais curieux de voir ce que Marina de Van allait apporter là-dedans, en tant qu'actrice et co-scénariste...en tant qu'actrice, son étrangeté est toujours fascinante (ça fait un peu cliché réducteur de dire ça mais elle dégage quelque chose qui imprime bien la pellicule - surtout à côté d'un torchon de cuisine tout terne comme Géraldine Pailhas), niveau scénario...j'ai plus l'impression de voir du Bonitzer que du De Van. Celui, totalement vain, qui me disait "et maintenant, fermez les yeux" à Petites coupures par exemple.

Je n'ai pris du plaisir que quand on voit quelqu'un tenter de noyer l'horrible Pailhas ou à la paire de baffes envoyées à Berling.

1/6 à peine

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Doll, it's a heartbreaking affair

la pire affiche de tous les temps

oulah, oui, on en tiens une bonne, là...

je comprends pas ce qu'on trouve à Bonitzer...

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Très à l'image du film, l'impression que tout le monde se fout d'être là, même les mecs qui bossent sur l'affiche. Dans le Resnais, même si le scénario est indigent et crispant à mes yeux, je peux au moins reconnaitre une jolie forme et une photo de gala. Là putain, y'a aucune envie de rien, c'est vertigineux comme tu peux te demander la raison d'être d'un tel truc qui ne creuse rien de son postulat, et pose juste quelques culs à droite à gauche histoire de meubler.

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Doll, it's a heartbreaking affair

elle joue pas (un peu) sur la récupe de l'effet Carvate Club? (codes couleurs, etc)

Genre: on a bien compris que le film est tout terne, alors vu qu'on a Baer (et Berling!), on va essayer de pomper un autre film de Baer et p-ê que certains n'y verront que du feu... nan?

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ebn fait, il voulait faire un peu affiche de films à l'ancienne

Bah je trouve ça complètement raté là alors si c'était l'idée... l'affiche de Petites coupures etait sympas pourtant.

ça fait un peu modèle de carte postale sur Publisher.

Mon dieu cet avatar

JE VEUX VOIR CE FILM

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J'imagine Lambert en Wolfverine là...

C'est une faute de frappe j'espère...

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ou un rapport avec Beowulf