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 Sujet du message: Mikio Naruse
MessagePosté: 10 Juil 2016, 21:35 
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MUETS

longs-métrages :
Un pur amour (1930)
La Force de l'amour (1930)
Chronique des jeunes mariés sans vergogne (1930)
Pleurs sous l'azur (1932)
Un printemps mité (1932)
La Fille aux chocolats (1932)
Sans liens de parenté (1932)
Après notre séparation (1933)
Rêves de chaque nuit (1933)
Mon épouse coiffée (1933)
Deux prunelles (1933)
La Rue sans fin (1934)

courts-métrages :
Un couple de Chanbara (1930)
Une époque difficile (1930)
Ne sois pas si excité! (1931)
Les Cris du second étage (1931)
Bon courage, larbin! (1931)
Un caprice saute dans le train (1931)
La Force d'une moustache (1931)
Sous le toit des voisins (1931)
Mesdames, prenez garde à vos manches! (1932)
Sois un grand homme! (1932)
Kashi no aru Tôkyô fûkei (1932)
Kinga shinnen (1933)

PARLANTS

longs-métrages :
Trois soeurs au coeur pur (1935)
L'Actrice et le poète (1935)
Ma femme, sois comme une rose (1935)
Cinq types au cirque (1935)
La Fille dont on parle (1935)
Tôchûken Kumoemon (1936)
Le Chemin parcouru ensemble (1936)
Une avenue au matin (1936)
Les Larmes d'une femme (1937)
Avalanche (1937)
Les vicissitudes de la vie I (1937)
Les vicissitudes de la vie II (1937)
Tsuruhachi et Tsurujiro (1938)
Toute la famille travaille (1939)
Le Coeur sincère (1939)
Acteurs ambulants (1940)
La Lune de Shanghai (1941)
Hideko, receveuse d'autobus (1941)
Ma mère ne mourra jamais (1942)
La Chanson de la lanterne (1943)
Cette belle vie (1944)
Le Chemin du drame (1944)
Histoire de l'arc au temple de Sanjusangendo (1945)
Les Descendants de Taro Urashima (1946)
Et toi et moi (1946)
Quatre histoires d'amour (segment "Wakare mo tanoshi", 1947)
L'Éveil du printemps (1947)
La Mauvaise Fille (1949)
Rapport sur la conduite du professeur Ishinaka (1950)
La Rue en colère (1950)
La Bête blanche (1950)
La Bataille de roses (1950)
Le Fard de Ginza (1951)
La Danseuse (1951)
Le Repas (1951)
Okuni et Gohei (1952)
La Mère (1952)
L'Éclair (1952)
Un couple (1953)
Épouse (1953)
Frère aîné, soeur cadette (1953)
Le Grondement de la montagne (1954)
Chrysanthèmes tardifs (1954)
Nuages flottants (1955)
Les Baisers ("segment 3", 1955)
Pluie soudaine (1956)
Coeur d'épouse (1956)
Au gré du courant (1956)
Une femme indomptée (1957)
Anzukko (1958)
Nuages d'été (1958)
Le Sifflement de Kotan (1959)
Quand une femme monte l'escalier (1960)
Fille, épouse et mère (1960)
Courant du soir (1960)
À l'approche de l'automne (1960)
Comme épouse et comme femme (1961)
La Place de la femme (1962)
Chronique de mon vagabondage (1962)
L'Histoire d'une femme (1963)
Une femme dans la tourmente (1964)
L'Étranger à l'intérieur d'une femme (1966)
Délit de fuite (1966)
Nuages épars (1967)

courts-métrages :
Un visage inoubliable (1941)
Jusqu'au jour de la victoire (1945)
Wakare mo tanoshi (1947)
Chez les femmes (1955)


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 Sujet du message: Re: Mikio Naruse
MessagePosté: 10 Juil 2016, 22:08 
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Schtroumpf sodomite
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Inscription: 22 Mar 2006, 22:43
Messages: 24601
Localisation: Arkham Asylum
Ma femme, sois comme une rose (1935)
6/6

La Fille dont on parle (1935)
6/6

Frère aîné, soeur cadette (1953)
5/6

Le Grondement de la montagne (1954)
6/6

Chrysanthèmes tardifs (1954)
6/6

Nuages flottants (1955)
6/6

Au gré du courant (1956)
5/6

Nuages d'été (1958)
5/6

Le Sifflement de Kotan (1959)
6/6

Quand une femme monte l'escalier (1960)
5/6

Fille, épouse et mère (1960)
6/6

Comme épouse et comme femme (1961)
6/6

Une femme dans la tourmente (1964)
6/6

L'Étranger à l'intérieur d'une femme (1966)
6/6

Nuages épars (1967)
6/6

Pour moi le plus grand cinéaste japonais après Ozu. Ca fait un moment que je n'ai pas regardé un de ses films d'ailleurs, j'aimerais bien m'y remettre.

_________________
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 Sujet du message: Re: Mikio Naruse
MessagePosté: 19 Avr 2021, 22:14 
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Bon allez je vais faire honneur à ce topic injustement désert après la vision du dernier des cinq films de ce superbe coffret Blu-ray Carlotta. J'ai en tête de m'en faire beaucoup d'autres grâce au méga fichier de La Loupe. En attendant:

Le Grondement de la montagne (1954)
Choc de la découverte du cinéaste mais le film est en soi absolument sublime, c'est peut-être le film dont la fin m'a le plus ému depuis le début de ma cinéphilie, c'est pour dire. Naruse construit patiemment ses climax émotionnels et c'est le torrent qui emporte tout sur son passage. Mais dans la classe la plus totale: tout en pudeur, en finesse, en suggestion.

Au gré du courant (1956)
Un sujet qui m'intéresse moins, celui d'une maison close, et pourtant je l'ai bien plus apprécié que le Mizoguchi auquel on peut le comparer, La Rue de la honte, qui m'avait somme toute un poil ennuyé. Car Naruse a une science du rythme admirable, je ne m'ennuie pas devant ses films, les durées de ses plans, de ses scènes, sont en totale correspondance avec mon rythme à moi, bref cette sensation d'être chez soi, ça n'arrive pas souvent.

Quand une femme monte l'escalier (1960)
Variation étonnante sur ce même thème, et film supérieur à mon avis. Le scénario est déroutant jusqu'au bout, on ne sait pas comment tout ça va se dénouer. On peut bien sûr dire que Naruse est un grand cinéaste des femmes, mais il n'est pas du tout déférent avec elles, il les montre sous tous les angles y compris les plus difficiles, c'est à ce prix qu'elles gagnent leur dignité, dans la conquête de leur indépendance, au prix de leur bonheur dans cette société patriarcale, bien souvent.

Une Femme dans la tourmente (1964)
Grand film sur l'impossible amour, pourtant si proche. Avec en fond le temps qui passe, une marchandisation de la vie qui s'intensifie et met en difficulté ceux qui aspirent à vivre simplement. Là aussi, une fin incroyable, un dernier plan d'une intensité folle.

Nuages épars (1967)
Je n'avais pas conscience que c'était son dernier. Et ben le bougre, son "testament" (je sais que le terme est débile en l'espèce) n'est pas bien joyeux! Encore un amour impossible, peut-être plus troublant encore parce que c'est le malheur qui le donne, puis le reprend. Les personnages se débattent mais ne peuvent lutter contre une forme de fatalité, un sens moral qui est tout aussi bloquant que moteur, mais aussi une pression sociale toute shakespearienne. Ah et c'est le seul film en couleur de lui que j'ai vu, c'est sublime, décidément les grands cinéastes des années 40, 50, se sont ensuite gavés avec l'apparition de la couleur qu'ils magnifient. Ca et les nappes de cordes tremblantes en fond sonore, rappellent presque le Hitchcock de Vertigo.

Pour l'instant:
1- Le Grondement de la montagne
2- Une Femme dans la tourmente
3- Nuages épars
4- Quand une femme monte l'escalier
5- Au gré du courant


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