Forum de FilmDeCulte

En compétition.






"Une nuit, Maloin, aguilleur d'une gare portuaire est témoin d'un crime... Au lieu de quitter le quai après le passage en douane, un homme se cache dans le noir, comme pour attendre quelqu'un. Par dessus la proue du bateau apparaît un autre homme qui jette une valise en direction du premier. Une dispute éclate entre eux. Un des hommes tombe à l'eau avec la valise, l'autre s'enfuit. Maloin descend de son poste de contrôle. Il ne peut sauver la victime mais récupère la valise et y découvre une forte somme d'argent. Il n'appelle pas la police et ne court pas derrière le meutrier... Sa vie ordonnée, le train-train quotidien, ses habitudes répétées des centaines de milliers de fois, habitudes dont il est las mais auxquelles il s'est soumis, tout s'effondre."

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Yuddirladada part en rando

Fan de l'univers de Simenon, j'attend beaucoup de cette deuxième adaptation.

yarglaaaaaaaaa

bon faut que d'ici là j'ai fini de tout voir

Enfin des sifflets et des bravo, enfin de la fight à Cannes ! Bon, ça tombe sur un film d'un de mes chouchous, une adaptation de Simenon absolument invendable, radical, à mi-chemin entre l'hypnose, Element of Crime de Lars Von Trier et le théatre Nô. J'ai moins aimé que les Harmonies Weckmeister mais ce fut assez extrême comme expérience...

Enfin un film qui divise. Accueilli sous les sifflets et les applaudissement, <b>L'Homme de Londres</b> du metteur en scène Béla Tarr crée la sensation. Dès le premier et somptueux plan-séquence inaugurale, le réalisateur hongrois tente de placer le spectateur sous hypnose. Noyé par un noir et blanc somptueux, le port de Bastia est une ville-fantôme seulement troublée par quelques hommes hagards dont Maloin, simple aiguilleur d'une gare portuaire, oiseau de nuit un peu trop curieux... Et Béla Tarr de jouer avec le cinéma, étirant les séquences à l'infini, multipliant les scènes attendues en hors champ, filmant la beauté du néant du doute. Une véritable expérience qui pourrait bien figurer au palmarès...

Il ne sera pas au palmarès... Seul Piccoli et Sissako sont restés jusqu'au bout du générique de fin. Et la séance fut un peu gâchée par de trop nombreux départs de spectateurs qui quitaient la séance, ça aide pas du tout à être hypnotisé...

Enfin bref... Je souhaiterais revoir ce très beau film dans de meilleures conditions, mais pour l'instant, c'est un gros 5/6.

ça promet pour le palmarès avec des lourdingues comme Piccoli, Sissako et Bellochio

ben voyons...
t'es pas à une couille près, toi...

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il faut vraiment être une couille pour apprécier leur derniers films

rhétorique de la couille... y'a de quoi faire....



Bamako est un film sublime, soit dit en passant.

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surtout ds le Diable au corps

En passant vite, alors...

Crois-tu vraiment connaître leurs goûts ciné? Tu es si présomptueux...

D'autant plus qu'ils sont tous les trois très sympathiques (alors que Maggie Cheung fait la gueule à tout le monde, même aux autres membres du jury)

L'homme de Londres est visuellement très beau mais je n'ai pas été très impliqué émotionnellement, c'était peut-être trop froid, trop austère, ou j'ai eu un peu de mal à rentrer... J'attends une deuxième vision au calme pour me faire un vrai avis.

En tout cas, le sublime film d'Akin l'a carrément éclipsé aujourd'hui... Grosse grosse ovation et peut-être même la Palme.

Crois-tu vraiment connaître ses problèmes personnels? Tu es si présomptueux...

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Lol.