Grosse attente pour son opus US, malgré mes craintes Nora Jones.
A noter également the Follow dans sa filmo, épisode de The Hire, produit pas Fincher (oué, la rencontre), qui est très très beau! après, c'est Wong qui fait du Wong, mais c'est classe.
Eros (2005)
6/6 pour son chapitre. Intensité érotique au top, Gong Li qui fait peu pour nous faire bander, puis parvient à nous toucher autrement (c'est n'importe quoi c'ke j'écris)...Wong est totalement dans son sujet. Les deux autres films sont
2046 (2004)
6/6 numéro 1 de l'année, un film qu'il faut que je revoie. Grand souvenir, mais je dois le revoir tout de même, j'ai sorti le dvd pour le mettre un soir. Souvenir d'un grand mélange d'émotions, de Zhang Ziyi, des ces courts passages avec Maggie, de ce métro, de cette chambre, de la musique, de m'être dit que c'était la fin de quelque chose pour le réalisateur.
In the Mood for Love (2000)
6/6 Vu 2 fois au ciné, 3-4 fois en dvd. Sublime, magnifique, et émouvant à s'en enfoncer les ongles dans la peau à la fin. Wong est décidément l'homme des grands huit émotionnel sur des instants furtifs.
Happy Together (1997)
5.5/6 La beautée esthétique et la violence des rapports sont toujours là, et le lieu confère à cette histoire une magie incroyable. Et les Turtles à la fin, c'est énorme.
Les Anges déchus (1997)
5.5/6 Bon, c'est juste une fausse suite, mais quelle maîtrise. Les premières minutes sont électriques de partout.
Les Cendres du temps (1996)
5/6 acheté en vidéo 159 francs sur un coup de tête, de frustration de pas l'avoir vu. Et vu immédiatement, et gros choc. Pas revu depuis, c'est comme un épisode de vie. Pleins de souvenirs.
Nos années sauvages (1996)
4.5/6 J'aime beaucoup certains moments, d'autres me laissent plus froid, mais c'est un avis à affiner.
Chungking Express (1995)
6/6 Mon préféré et un de mes films préférés. Enregistré au hasard sur canal jimmy quand j'avais 18 ans et gros choc, gros amour partagé avec pas mal de gens, encore récemment.
As Tears go by (1988)
Pas encore vu (un peu comme pushing hand de Ang Lee, je me les garde de côté)