Forum de FilmDeCulte

J'ai vu les 4 saisons d'Espigoule. (jsais plus qui en avait parlé).

Merci pour ce film. C'est beau, ça respire la fraîcheur, l'air de la campagne, l'alcoolisme, la douce débilité, l'innocence et la mauvaise foi.

Ca me rappelle le pays, quoi. (même si je suis du Sud Ouest, je peux clairement le proclamer : même combat).

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I am the constant. You were always a variable.

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Ce week-end je suis retourné après plusieurs années dans ma famille du sud-ouest justement, et même constat que toi : j'avais le film qui se deroulait en direct live devant moi. C'était génial.

Là, dans 3 semaines, j'ai le repas de coteau qui se fait chez moi.

Le principe : tous les voisins du coteau (ben ouais, c'est des fermes, les voisins sont loin) se rassemblent une fois par an pour une mégabouffe. Ce sont principalement des agriculteurs, à la retraite ou en activité, et quelques autres. Mais tout le monde est bien campagnard (moi y compris, quand t'es dans l'ambiance ça tue).

Le principe c'est de bouffer et de boire toute la nuit. Vers 1h du mat, la gnôle et l'accordéon sortent, c'est difficile.

J'attends ça avec une putain d'impatience (d'autant plus que c'est chez moi, ce sera pas trop loin pour ramper jusqu'à mon lit).

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J'en frémis.

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N'écoutez pas Film Freak

Sale bourgeois de parisien condescendant !

Et crois-moi, pourtant, je ne peux plus foutre les pieds dans une fête de village tellement c'est abrutissant.

Mais là, c'est différent. C'est orgiaque. C'est La Grande Bouffe. C'est le banquet de fin de tome d'Astérix sauf que nous on laisse le barde.

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I am the constant. You were always a variable.

Vu My Left Foot hier soir.

Un des premiers gros rôles de Daniel Day-Lewis ou il campe un handicapé dont le seul membre fonctionnel est son pied gauche.
C'est très bizarre et ça confirme le fait que camper avec succès un handicapé est un bon démarrage de carrière.

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Rio Sex Comedy (Jonathan Nossiter, 2011). Réalisateur de Mondovino
J'avais oublié que j'avais vu ça au boulot...



J'ai halluciné. Max Pecas, prends gare, y a de la concurrence, avec en bonus un package social en carton pour faire genre !

Dans la série "les surprises du boulot" : Rose et Noir, de Gérard Jugnot (2008)

Film totalement anachronique (quelque chose comme 20 ans de retard ?), tant dans la naïveté du tableau éducatif (le racisme, c'est mal) que dans la forme calme et pépère. Bizarrement, aussi ras-du-plancher que ce soit, c'est pas forcément complètement, pas entièrement académique : malgré l'ambition zéro (un petit exposé, vraiment), ça conserve quelque chose d'attendrissant, peut-être parce que complètement déphasé par rapport à l'époque - le côté gentil, quoi. Pour le reste, c'est cortège de comédie française (ça dit le niveau), s'appuyant sur l'interprétation façon folles (rien de scandaleux, juste du très facile et répétitif), et un petit parcours moral illustré qui, allant jusqu'au bout de sa logique, amène à une toute fin assez inattendue, qui en même temps qu'elle enfonce le clou final d'un moralisme plan-plan est assez étrange pour être signalé.

Non, c'est juste ignoble et honteux de bout en bout ce truc.

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N'écoutez pas Film Freak

Encore du qui fait mal pour Irène Jacob et Bill Pullman

Hier soir,Le Charme discret de la Bourgeoisie, de Luis Bunuel.

Premier Bunuel que je vois. C'est excellent.
Comédie pince sans rire, ou l'humour "de classe" alterne avec l'absurde le plus total, le film raconte l'histoire de notables qui essaient de dîner, mais n'y arrivent pas.
Le film est réalisé de manière cyclique, avec comme thème récurrent les rêves.
Distribution au poil, humour qui fait toujours mouche...

Faut que j'en voie plus.

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J'en ai vu trois ou quatre et ne suis jamais parvenu à entrer dedans... Parfois j'ai envie de persévérer.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Comme avec les actrices de cul.

Pourtant à mon avis dans ce genre d'actrices ça doit glisser tout seul...

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CroqAnimement votre