Forum de FilmDeCulte

Bon je suppose que ça mérite pas davantage.



Vu Piranha hier sur Cine FX, dans ce grand flot que les multichaines t'offrent vers le monde de la lie du cinéma. Bon en l'occurrence c'était un téléfilm, sorte de remake télé du Dante (qui en reprend des plans, 17 ans après, pas en tant que flash-back, en tant que tel *!!!*), avec Soleil Moon Frye dans un des rôles principaux. Je suppose que ça faisait asez d'arguments pour rester, mais faut vraiment trouver autre chose à faire en même temps hein.

La veille, ils passaient un film d'horreur avec David Hasselhoff et une vieille qui crame dans la cheminée.

glou/6

*et je note à l'instant que c'est pas la bonne jaquette, bon on s'en fout*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Mais tu mates beaucoup de daubes en ce moment, toi !

Allez, fais-toi des classiques pour te laver les yeux.

C'est par cycle, j'ai mis trop de 6 ces derniers temps, ça va revenir vite.

Là c'est vraiment des séances accessoires.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Fanboys



Pour mémoire, voici le pitch: Halloween 1998, un groupe de potes décide de traverser les Etats-Unis pour aller voler une version de travail de l'épisode I pour que l'un d'eux puisse le voir, son cancer en phase terminal ne lui laissant pas assez à vivre pour le voir à la sortie en mai 1999.. Et on retrouve Jay Baruchel (Barushel?), excellent dans Tropic Thunder et ma hottie préférée Kristen Bell.
Donc je sais pas si les deux versions sont dispos, mais j'ai vu celle avec le cancer en tout cas... C'est pas trop mal... Ca commencer très mou et bien convenu et puis à partir de Las Vegas, ça s'emporte un peu plus et c'est plus vivant Le film tient surtout pour son amour, son respect et ses références à l'univers Star Wars (et ses multiples guest, Billy Dee Williams, Ray Park, Carrie Fisher...) et risque donc de faire totalement chier quiconque n'est pas un minimum à donf sur les films de Lucas. Le film se plante malheureusement un peu sur l'aspect émotion et au rapport au cancer, ça aurait mérité d'être plus développé. Toutefois reste une comédie sympathique, avec ses guests geek classes (Seth Rogen et Shatner), l'impression que chacun a envie de bien faire sans avoir le talent, mais ça sent la sincérité et l'admiration pour Star Wars et ses fans et rien que pour ça, je dis respect.

3/6

Ocean's Eleven & Twelve

Le premier, c'est un petit bijou pour moi.
En soi, y a évidemment ZERO révolution ou quoi mais le tout est tellement - en l'absence d'un meilleur mot - cool...que c'est le panard tout le long. Du bon film d'arnaque/de casse avec le nouveau Rat Pack et une mise en scène super ludique.
Et la suite, même si on y perd en simplicité efficace dans le scénario, je le trouve tellement riche et tellement fun...le côté "entre potes" (tu sens encore plus les mecs qui s'amusent), tout le trip sur le langage (les codes, les noms, les blagues, l'absurde), l'auto-réflexivité (cahier des charges de la suite qui se doit d'être plus énorme avec soulevage de maison et hologrammes de ouf, Hollywood, célébrité, les héros mis à mal, leurs échecs, Tess/Julia Roberts).
En fait, le meilleur truc issu de l'expérience Full Frontal, c'est le gros délire qu'est Ocean's Twelve, même au niveau de la mise en scène, Soderbergh se fait plaisir et amplifie le ludisme du précédent.

Ca m'a même donné envie de redonner une chance au 3e, apprécié sur le coup mais oublié en sortant de la salle.

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Très fan aussi des 2 premiers, mais le 3 malgré Pacino, c'est l'oubli total...

Hey... Pas mal ton Avatar Freak!

Ocena's Twelve, le film que j'ai adore a la revision. La premiere vision etait deconcertante pour le moins, mais a la revision quel putain de pied, c'est vraiment de l'auto ludisme, le film qui fait du fun avec son propre fun... Alors ce serait injuste par rapport a la simplicite et la classe du premier de dire que je prefere le second, mais y'a malgre tout un truc dans son cote inclassable et iconoclaste qui me satisfait un poil plus. En tout cas le film vaut vraiment bcp plus que ce qu'on en disait a la sortie.

Il est super sympa, le 2. Une belle tentative de changement d'orientation de la série, l'envie de faire quelque chose de différent. Je regrette vraiment un scénario super faiblard (l'échange dans le train, c'est niet), mais dans l'ensemble, j'en garde un super souvenir et la revoyure ne l'a pas du tout entaché. Néanmoins, le 1 est tellement haut pour moi que le 2 n'est pas prêt de le dépasser. Je me demande même si le 1 n'est pas mon Soderbergh préféré (allez, avec Hors d'atteinte).

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
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Mais justement, je pense que c'est super volontaire...t'as une intrigue alambiquée avec machin qui engage machin pour aller dbéusquer machin pour voler tel truc puis tel truc avec des casses plus élaborés les uns que les autres et en fait, plouf...le vrai vol était un bon vieux truc de pickpocket tout basique qu'on t'avait même pas montré.
Ca participe à fond dans le délire moqueur auto-réflexif du film par rapport au genre et au premier film.


Tout pareil.

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Hehehe.


Mais grave.

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Oui je sais bien, mais malgré tout je trouve ça un peu faible et inutilement compliqué. Enfin, j'aime beaucoup le film (disons un bon 4.5/6) mais ce n'est pas la partie que je préfère.

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perso, pour moi c'est se foutre de la gueule du spectateur, je trouve ça d'une facilité scénaristique... et le côté réflectif sur le genre, franchement qu'est-ce-qu'on en a à foutre ? c'est un film de casse, pas une réflexion sur l'état du monde.

2/6 comme le suivant, alors que j'adore la modestie et la classe du premier.

Moi j'adore l'humour du film, l'univers créé (qui n'existait pas, ou très peu, dans le précédent, avec ces gangsters qui ont des surnoms, un vocabulaire, une mythologie, un monde à eux...), les acteurs, et jusqu'à un certain point la mise en scène. Ce qui fait déjà beaucoup. Le scénario est très loin d'être "facile". C'est le pitch principal, celui qui tourne réellement autour du casse, que je trouve faible.

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Ca doit être la phrase la plus utilisée n'importe comment ici décidément...


Ca porte l'intérêt ailleurs, et ça sait se faire tout aussi fun mais dans un autre délire...je trouve pas ça facile justement, je trouve ça assez couillu de la part de Soderbergh de pas faire exactement ce qu'on attend qu'il fasse (le 3 essaie de refaire le 1 et bof).


Ohlala...la caricature!
Déjà on a jamais dit ça. Ensuite, quel mal y a-t-il pour un réalisateur de la trempe de Soderbergh, toujours cherchant à se renouveler, d'essayer d'offrir quelque chose d'autre qu'une simple redite?

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