Mercredi dernier, je suis parti pour le Week-end rejoindre ma compagne à Athènes. Récit d'un séjour dominé par la GUIGNE.
J'arrive à Athènes dans la nuit de mercredi à jeudi. J'attends ma valise, qui n'arrivera jamais. Signe de malédiction numéro 1. Il y en aura 3 ou 4 autres durant le reste du séjour. Je vais me déclarer au comptoir de la compagnie. On me dit que l'on me livrera ma valise le lendemain à 15 heures. Une magnifique après midi de gâchée en perspective ! Sans parler de la trousse de toilette de secours que me donne l'hôtesse, à l'intérieur de laquelle une crème visqueuse a coulé et a totalement repeint tout ce qui s'y trouvait. Signe de malédiction numéro 2.
Mais peu importe, pour le moment, je rejoins ma furie avec joie et nous partons en direction de son appartement, à dos d'autocar. Je me rends compte à cet occasion que la route à Athènes et une zone de non-droit : on roule à 80 km/h en ville, les feux rouges sont là à titre indicatif, et les motards ne connaissent pas le casque. Oubliez aussi les passages pour piétons.
Le bus nous dépose sur une place dominée par le parlement grec. Ce n'est pas l'heure de la relève de la garde, nous ne nous attardons donc pas. Nous verrons ça un autre jour.
Nous marchons tranquillement jusqu'à l'appartement, dans la nuit. Nous passons devant les bâtiments administratifs de l'université. C'est pas trop moche.
Nous regagnons l'appartement. Je découvre la vue depuis la chambre de ma douce :
Première (courte) journée terminée. J'ai mal au dos. La visite commence vraiment demain, j'y crois.
