-Le Dernier mouvement de l'été (1989)
Premier court, qui ne choisi pas la facilité en filmant un mec entrain de se branler. Mais c'est assez touchant, un peu mélancolique, ça tente des choses visuellement, ça cherche quoi. 4/6
-Versailles rive gauche (1991)
Début de la trilogie, apparition du personnage de Denis qui galère en amour. Il est touchant ce film, plein d'idées. Pas encore la dimension à venir mais bien. 4,5/6
-Vertiges (1992)
Je l'ai, faudrait que je le vois.
-Voilà (1994)
Magnifique, la présentation du monde au bébé Podalydès. Sorte de baptême païen un peu inquiet des hommes et apaisé par la nature, la fin est extraordinaire, douceur cosmique. 6/6
-Dieu seul me voit (1998)
Bon ce film je m'en remets pas. 6/6
Même note pour la version interminable.
-Liberté-Oléron (2001)
Un peu mal aimé je trouve. Pourtant le portrait du père est très fort, sorte de Tati bourru qui fini en ogre affreux. Et le film qui passe de la comédie acide au drame froid, la scène finale du bateau m'impressionne dans sa manière de saborder la comédie, de creuser l'horreur du père (et formidable travail sur la voix de Denis Podalydès). 5/6
-Le Mystère de la chambre jaune (2003)
Un film hyper élégant, ligne claire qui tend vers du Tardi, amour des petites mécaniques, scène de l'horloge qui m'a mis par terre dans l'allée du cinéma à rigoler. Sauvetage du cinéma populaire français. 6/6
-Le Parfum de la dame en noir (2005)
Suite du précédent et antithèse en même temps, le scénar est foutraque, la mécanique part en vrille et la ligne claire se brise. Mais on appuie la comédie et le plaisir de troupe des acteurs (les acteurs sont tous parfaits dans les films de Podalydès, même Bruno est bien), ça respire le bonheur d'être ensemble, d'être au soleil, de faire des nuit américaines splendides, et puis aussi on creuse un peu le côté sombre de Rouletabille, le côté dépressif. Y'a des gros défauts mais en fait on s'en fout. 5/6
Pas vu le reste.
_________________ Pré Carré
Dernière édition par jiko le 22 Jan 2009, 12:37, édité 1 fois.
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