Forum de FilmDeCulte

Vas-y Greg, t'as cassé ma joli règle du 1 sur 2.

Peur Primale (Primal Fear, 1996)
4/6

Le Témoin du Mal (Fallen, 1998)
3/6

Fréquence Interdite (Frequency, 2000)
5/6

Mission Evasion (Hart's War, 2002)
3/6

La Faille (Fracture, 2007)
3/6

Pas grand chose à se mettre sous la dent à part le face à face des gros malins Hopkins et Gosling, qu'ona quand même connu meilleurs, pas si malins que ça (scénario pépère, final twist inconséquent).
Jolie photo à base de floods de lumière poussièreuse à travers les fenêtres.

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Pas terrible, ca vaut pas plus qu'un colombo moyen.
Décu, je trouvais la BA alléchante elle promettait un petit film sympa et puis au final vraiment bof.

2/6 pour hopkins

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Fracture porte bien son titre. Dans sa première moitié, c'est une comédie noire plutôt sympathique, avec Hopkins et Gosling qui s'amusent à cabotiner au duel du plus malin... On pourrait même penser à une version (très) light de Intolerable Cruelty. Et puis, cette légèreté un peu fantaisiste s'évapore petit à petit pour donner place à un banal thriller qui se voudrait diabolique. L'enquête laborieuse de Gosling s'avère aussi passionnante qu'un épisode de Derrick et le pauvre (mais alors très pauvre) twist final renforce l'impression d'avoir vu un film reposant sur une fausse bonne idée mal exploitée... Et pourtant, sur le thème de la justice non-infaillible, Fritz Lang avait fait un pur chef-d'oeuvre avec Beyond a Reasonable Doubt.

2/6

Bon tout le monde parle de Hopkins mais je trouve qu'il fait vraiment Hannibal Lecter anorexique.
En face, on a le festival Gosling, qui est filmé comme l'était Brad Pitt il y a 10 ans, avec défilé de tenue, petit air boudeur, petit air dragueur, aventure sexuelle en ellipse, puis le chamboulement intérieur.
L'évolution de son personnage est super mal écrite. Et pourtant, on y croit. Pas complètement mais quand même. Grâce à des petits détails, des petits trucs qu'il invente, des petites choses avec lesquelles il s'amuse.
En bref, je suis une grosse vendue mais je trouve l'envergure de jeu de ce mec impressionnante.
Le reste est anodin au possible, c'est sûr...

On attend Half Nelson.

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Bon, ben voilà, c'est un sous "Columbo" basique, avec un léger abus de grand angle, histoire de montrer que quand même on est au cinéma quoi.
Gosling se débrouille très bien avec le peu qu'il à et porte très bien le costard. Et le jean. Et le pull-over. Et même le T-shirt.
Hopkins lui, porte très biens les tics, notamment celui de la paupière qui se fait d'un coup un peu plus lourde. Et c'est à peu près tout. Il nous a habitué à beaucoup mieux, mais là, monsieur fait vraiment sa grosse feignasse.
Et sinon, ben c'est tout.
Pas déplaisant à regarder, mais ça ne mérite pas franchement le déplacement.

Vous êtes tous assez dur. Le film fait un "Pschit" dans sa seconde partie mais vous trouvez pas tout le face à face Hopkins/Gosling, même si déjà vu, redite, tout ce que vous voulez, assez savoureux ?

J'ai pas été époustouflé comme je l'espérais (ouais trop d'attente) mais je me suis bien amusé et je trouve l'ensemble honnête.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Bah, je dis un peu la même chose.

Ah et j'oubliais de préciser que Zoe Kazan, j'adore. Et je m'en fous que vous me tombiez dessus.



(elle joue l'assistante de Gosling)

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ah oui, ses apparitions ne passent pas inaperçus en effet. C'est pas la petite-fille d'Elia ?

Un truc comme ça.

(vérification: oui et fille de Nicholas et Robin Swicord, la scénariste des ENSORCELEUSES et de MEMOIRES D'UNE GEISHA).

Ma nouvelle mission: lui faire le cul.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Tu pourras lécher l'écran quand tu la reverras dans "Revolutionary Road".

Oui il faudrait qu'il y ait un peu de gouinage Winslet/Kazan et ce serait le top du top.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Vu dans l'avion... (et je me dis que j'ai bien fait de pas aller le voir en salles)

Petit suspense sympathique, assez banal, au dénouement qui fait plouf... Mais j'ai bien aimé le duel Hopkins-Gosling, tous deux forts convaincants, et cette espèce de retenue, comme si on avait voulu éviter le spectaculaire à tout prix. Je m'attendais à plus lourdingue (Hopkins ne cabotine pas, alors qu'il y avait de quoi). Bref cette légèreté m'a plu. Mais voilà, le film est plaisant à regarder, mais oubliable...

3/6 ça suffit.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Idem. Plutôt raté mais 2,5 à 3 / 6 quand même, pour les bonnes intentions du film (nous servir un duel d'intelligence).

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Tennis de Table Bordeaux

Bah...

J'aime bien comment Hoblit filme Hopkins, avec ses filtres de couleur, la lumière surlignant son visage vieillissant, au début...J'aime bien le générique (j'aime bien les billes).

Le reste est un peu l'équivalent d'un épisode de Shark moyen (ou une autre série du genre), avec un petit bonus comédien (et encore...)

La fin est plutôt honteuse (rhooo, le truc qui sort du tiroir à chaussette du scénariste...). Je retiens la scène de l'hôpital, la musique, le ralenti sur Hopkins, qui est bien orchestré, sans excès musical ou virvoltance anormale.

Ah si, déçu qu'on voit à peine Xander Berkeley...Je le vois, je suis content genre "tiens!", comme un vieux pote qu'on croiserait dans la rue. Et puis il disparait, et c'est nul...

3/6 gentil