Forum de FilmDeCulte
https://forum.plan-sequence.com/

John Carter (Andrew Stanton, 2012)
https://forum.plan-sequence.com/john-carter-andrew-stanton-2012-t15252-15.html
Page 2 sur 4

Auteur:  Art Core [ 09 Mar 2012, 09:38 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Au fait pourquoi cette dédicace à Steve Jobs à la fin ?

Auteur:  karateced [ 09 Mar 2012, 09:40 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Art Core a écrit:
Au fait pourquoi cette dédicace à Steve Jobs à la fin ?


bah il était au conseil d'administration depuis des années chez Disney? je sais pas.

Auteur:  Arnotte [ 09 Mar 2012, 09:47 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Et Steve Jobs est mort. Et c'était un pote à Stanton.

Auteur:  Ozymandias [ 09 Mar 2012, 09:50 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Et il était propriétaire de Pixar pendant des années, quand même.

Auteur:  karateced [ 09 Mar 2012, 09:57 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

et il était aux guignols.

Auteur:  Art Core [ 09 Mar 2012, 10:07 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Oui oui je vois bien tout ça mais bon, pourquoi ce film là en particulier et justement pas le prochain Pixar ?
Après s'il était pote avec Stanton c'est autre chose.

Auteur:  deudtens [ 11 Mar 2012, 20:11 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Image

Image

Image

Et le film, c'est 2.5/6.

Auteur:  Le Cow-boy [ 11 Mar 2012, 21:04 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

lol

Auteur:  karateced [ 11 Mar 2012, 21:12 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Elle putain. Elle!

Auteur:  Marlo [ 13 Mar 2012, 11:32 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Il y a un running-gag dans les toutes premières minutes qui représente bien le reste du film : John Carter est interrogé, puis s'évade, est rattrapé, est à nouveau interrogé, et ainsi de suite. Ca dure trois ou quatre fois, sans jamais fonctionner. Bide dans la salle.
Dans le reste du film, John Carter court dans le désert. Il se fait capturer. Il s'évade. Il se fait capturer. Il s'évade. Il se fait capturer. Il s'évade. Il se fait capturer. Il s'évade. Etc.
Aucune tension, aucune incarnation ; cet enchaînement de captures et d'évasions ne semble avoir aucune importance. Il faut tuer le méchant intermédiaire, sauver la princesse, puis tuer le grand méchant. Au milieu, il y a des affrontements militaires (comme dans les péplums), des intrigues politiques (comme dans les péplums), des jeux du cirque (comme dans les péplums). Tous les passages obligés arrivent à un moment ou un autre. On pourrait presque croire que c'est un blockbuster post-moderne qui joue sur les spécificités du serial, sur cette tendance au cliffhanger et au twist.
Malheureusement, Andrew Stanton ne parvient jamais à développer cet aspect à l'aide de la mise en scène. Il aurait pu verser dans le grandiose, ou dans le grotesque assumé, mais non, son cinéma est sans substance et sans personnalité. Que des plans moyens. Parfois, une idée ridicule (le montage alterné au milieu du film) qui en devient encore plus saugrenue, isolée au milieu du reste : c'est en effet la seule idée de montage du film. Stanton vient du cinéma d'animation, et ça se sent : les bons moments (c'est relatif) sont du cinéma d'animateur, ou du cinéma d'équipe d'animateurs plutôt. Les moments où l'action se tasse sont eux systématiquement mauvais car Stanton ne semble jamais s'intéresser à ce qui pourrait se passer dans le coeur de ses personnages. Tous sont des archétypes morts depuis 50 ans déjà (on semble clairement dans le pré-Star Wars parfois, tant le film ne semble jamais chercher à construire quelque chose - un monde, une dramaturgie). Taylor Kitsch n'est finalement pas trop mal mais le pauvre ne peut pas grand chose pour faire de son personnage un personnage en qui on a envie de croire. On ne croit en rien, ni aux grands méchants, ni au neuvième rayon, ni à la princesse (bien sale), ni au gros chien providentiel, ni à ce peuple primitif, ni à cette histoire de guerre planétaire. Même Michael Giacchino n'y croit plus : sa musique "à la manière de" est plate et sans saveur. On s'ennuie, on trouve le temps long.
Je ne sais même pas comment on a pu investir 250 millions de dollars dans un film aussi foireux et mal écrit.

1/6

Auteur:  deudtens [ 14 Mar 2012, 09:11 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Citation:
Il y a un running-gag dans les toutes premières minutes qui représente bien le reste du film : John Carter est interrogé, puis s'évade, est rattrapé, est à nouveau interrogé, et ainsi de suite. Ca dure trois ou quatre fois, sans jamais fonctionner. Bide dans la salle.


Moi j'ai ri.

Auteur:  Film Freak [ 14 Mar 2012, 10:20 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Oui c'est génial ça.

Auteur:  Tetsuo [ 14 Mar 2012, 17:23 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

J'aime bien l'idée mais je suis d'accord avec Marlo, c'est mal foutu.

Auteur:  Marlo [ 14 Mar 2012, 17:28 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

Problème de timing comique pour moi. Le film dans l'ensemble manque de précision.

Auteur:  Le Cow-boy [ 14 Mar 2012, 20:32 ]
Sujet du message:  Re: John Carter (Andrew Stanton, 2012)

J'ai ri aussi.

Page 2 sur 4 Heures au format UTC + 1 heure
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
http://www.phpbb.com/