Forum de FilmDeCulte

69 ans. Cancer.

Pardon, 87 ans, vieillesse. Option cancer.

Je viens de vérifier, jamais vu un de ses films.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Je le pensais mort depuis deux ou trois ans. Moi j'ai vu JEANNE LA PUCELLE que j'avais vachement aimé, et j'ai peut-être vu HISTOIRE DE MARIE ET JULIEN, mais je suis même pas sûr. C'est dire combien ça m'a marqué...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Godard's next.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Grand cinéaste que je conseille vivement de découvrir.
Vu La belle noiseuse, Jeanne la Pucelle, Secret défense, Va savoir, 36 vues du pic Saint-Loup et c'est vachement bien.

Vu L'amour Fou, Céline et Julie vont en bâteau, Paris nous appartient et j'ai squatté le reflet médicis pour la ressortie d'Out 1 en décembre.
Un grand monsieur qui nous quitte là...

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Rien vu sauf La Belle Noiseuse en accélérant les parties où Béart était pas à poil - oui j'avais genre 12 ans et c'était une des VHS à la maison dont je connaissais bien l'emplacement. Hum.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'était en tous points le message que je voulais poster en hommage au monsieur. Merci d'avoir si bien dénudée la Béart. Piccoli doit aussi agréablement se souvenir de ce film

Cinéaste engage et toujours au fait de l'actualité politique et sociale, il suivait de près les récentes manifestations, Jacqueries, VTC, Taxis et compagnie.

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Faudrait que je le mate un jour pour de vrai.. Mais Béart n'a jamais été aussi belle que dans ce film, je crois. (et dans Manon des Sources)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ah putain...Je mate OUT 1 que j'ai acheté la semaine dernière.

Cinéaste que j'adore, critique qui ne prenait pas de gants

Oui il avait une manière très singulière et forte de se placer à intersection des questions politiques et du récit fantastique, les nouant dans une problématique commune du regard, qui chez lui n'est jamais "donné" d'emblée aux personnages mais fait l'objet d'une lutte. Je n'en ai pas vu tant que cela (ni "Jeanne" ni "la Belle Noiseuse") mais j'aime beaucoup "Paris nous appartient" et un de ses derniers films "Ne Touchez pas à la Hache", "la Bande des Quatres", et Céline et Julie. Il avait aussi une manière très belle de filmer Paris et sa banlieue.

Ses films coécrits par Bonitzer souffrent de dialogues pseudo-intellos insupportables.
Bon, il y a toujours un publique pour ça. Rivette, c'est pas mal quand tu le découvres, avec ses films super longs et étirés, c'est respiratoire.
C'est quand même très faible quand on y repense, à part Céline et Julie qui peut avoir un certain charme ou La Bande des Quatre, qui a un truc dans mon souvenir.

...si tu le dis...merci de nous déciller sur un artiste surévalué.
(tu as l'air très sur de ton jugement mais dans "public" je crois que tu confonds le substantif avec l'adjectif).

PS: Il y a beaucoup de choses qui sont plus faibles "quand on y repense" qu'au moment de leur manifestation, et pas qu'au cinéma, par exemple la confiture de ma grand-mère, le communisme, la vallée du Doubs. On connaissait la critique du goût, celle du jugement, voire celle de l'authenticité, voici venu maintenant le temps de celle du souvenir.

Merci pour la correction orthographique.