Forum de FilmDeCulte

Alors je prend la page wikipedia concernée comme "définition"

Années 1950[modifier]

1956

* Children Who Draw, Susumu Hani (documentaire)
* La Chambre des exécutions, Kon Ichikawa
* Passions juvéniles, Ko Nakahira
* Suzaki Paradise, Yuzo Kawashima

1957

* Kisses, Yasuzo Masumura
* Warm Current, Yasuzo Masumura
* The Sun's Legend, Yuzo Kawashima

1958

* Giants and Toys, Yasuzo Masumura

1959

* The Assignation, Ko Nakahira
* Une ville d'amour et d'espoir, Nagisa Oshima

Années 1960[modifier]

1960

* Contes cruels de la jeunesse , Nagisa Oshima
* L’Enterrement du soleil , Nagisa Oshima
* Nuit et brouillard du Japon, Nagisa Oshima
* L'Île nue, Kaneto Shindo

1961

* Bad Boys, Susumu Hani
* Cochons et cuirassés, Shohei Imamura
* Le Piège, Nagisa Oshima

1962

* Le Révolté, Nagisa Oshima
* Pitfall, Hiroshi Teshigahara

1963

* She and He, Susumu Hani
* La Femme insecte, Shohei Imamura

1964

* Désir meurtrier, Shohei Imamura
* Assassination, Masahiro Shinoda
* Pale Flower, Masahiro Shinoda
* La Barrière de chair, Seijun Suzuki
* La Vie d'un tatoué, Seijun Suzuki
* La Femme des sables, Hiroshi Teshigahara

1965

* The Song of Bwana Toshi, Susumu Hani
* Sea of Youth, Shinsuke Ogawa (documentaire)
* With Beauty and Sorrow, Masahiro Shinoda
* Histoire écrite par l’eau, Yoshishige Yoshida

1966

* Bride of the Andes, Susumu Hani
* Le Pornographe (Introduction à l'anthropologie), Shohei Imamura
* Violences en plein jour , Nagisa Oshima
* Élégie de la bagarre, Seijun Suzuki
* Le Vagabond de Tokyo, Seijun Suzuki
* Le Visage d'un autre, Hiroshi Teshigahara

1967

* L'Évaporation de l'homme, Shohei Imamura
* The Oppressed Students, Shinsuke Ogawa (documentaire)
* Carnets secrets des ninjas , Nagisa Oshima
* À propos des chansons paillardes japonaises, Nagisa Oshima
* La Marque du tueur, Seijun Suzuki

1968

* Inferno of First Love, Susumu Hani
* Profonds désirs des dieux, Shohei Imamura
* Summer in Narita, Shinsuke Ogawa (documentaire)
* La Pendaison, Nagisa Oshima
* Le Retour des trois soûlards , Nagisa Oshima
* Le Plan déchiquetté, Hiroshi Teshigahara

1969

* Aido, Susumu Hani
* Ryakushô Renzoku Shasatsuma, Adachi Masao
* Funeral Parade of Roses, Toshio Matsumoto
* Le Petit Garçon, Nagisa Oshima
* Journal d’un voleur de Shinjuku , Nagisa Oshima
* Double suicide à Amijima, Masahiro Shinoda
* Go, Go Second Time Virgin, Koji Wakamatsu

Années 1970[modifier]

1970

* L'Histoire du Japon d'après-guerre raconté par une hôtesse de bar, Shohei Imamura (documentaires)
* The Man Who Left His Will on Film, Nagisa Oshima
* Buraikan, Shuji Terayama
* Eros + Massacre, Yoshishige Yoshida

1971

* Red Army, Adachi Masao
* La Cérémonie, Nagisa Oshima
* Empereur Tomato Ketchup, Shuji Terayama
* Jetons les livres, sortons dans la rue, Shuji Terayama
* Summer Soldiers, Hiroshi Teshigahara

1972

* Une petite sœur pour l’été, Nagisa Oshima

1973

* Karayuki-san, ces dames qui vont au loin, Shohei Imamura (documentaire)
* Coup d'état, Yoshishige Yoshida

1974

* Muhomatsu revient au pays natal, Shohei Imamura (documentaire)
* Cache-cache pastoral, Shuji Terayama

1975

* La porte de la jeunesse, Kiriro Urayama

1976

* God Speed You! Black Emperor, Yanagimachi Mitsuo (documentaire)
* L'Empire des sens, Nagisa Oshima

1983

* La Chambre noire, Kiriro Urayama

J'ai vu
* Contes cruels de la jeunesse , Nagisa Oshima
* Nuit et brouillard du Japon, Nagisa Oshima
* L'Île nue, Kaneto Shindo
* Désir meurtrier, Shohei Imamura
* La Barrière de chair, Seijun Suzuki
* La Vie d'un tatoué, Seijun Suzuki
* La Femme des sables, Hiroshi Teshigahara
* La Marque du tueur, Seijun Suzuki
* L'Histoire du Japon d'après-guerre raconté par une hôtesse de bar, Shohei Imamura (documentaires)
* L'Empire des sens, Nagisa Oshima

Les Wakamatsu manquent d'ailleurs

Mes préférés sont sans conteste
L'ïle nue de Kaneto Shindo, La Marque du tueur de Seijun Suzuki et la Femme des sables. J'adore Imamura mais moins les films de cette période, Oshima m'a toujours un peu laissé en retrait sauf Furyo. Wakamatsu je connais mal cette période itou.

Eros + Massacre, une torture dans mon souvenir que je n'ai pas tenu en entier, et je ne suis pas du tout entré dans les premiers Oshima que j'ai vu. Suzuki, j'adore La barrière de chair et La marque du tueur, mais d'autres m'ont moins emballé. J'aurai aimé voir les Imamura type "L'évaporation de l'homme" qui étaient repassés l'an dernier au reflet...

Mon top nouvelle vague :

C'est pas du japonais, cistra.

_________________

C'est fait exprès.

J'ai vu 15 films de la liste :

6/6 voire plus :

Nuit et brouillard du Japon (Oshima)
Violences en plein jour (ressorti sous le nom l'obsédé en plein jour -Oshima)
Le journal d'un voleur de Shinjuku (Oshima)
Funeral Parade of Roses (Matsumoto)
le vagabond de Tokyo (Suzuki)
Va va vierge une seconde fois (Wakamatsu)
L'élégie de la bagarre (Suzuki)
La femme des sables (Teshigahara)
L'Empire des sens (Oshima)
l'île nue (Shindoo)
5,5/6 le petit Garçon (Oshima)
jetons es lives sortons dans la rue (Terayama)

5/6 La cérémonie (Oshima)

4/6 l'Histoire du japon d'après guerre racontée par une hotesse de bar (Imamura)

3/6
Coup d'etat (Yoshida)


Vus aussi quelques films de la même période, étrangement hors liste, de réalisateurs mentionnés dans la liste :
6/6 l'Ange Rouge (Masumura un peu à part)
5.5/6 La bête aveugle (Masumura)
5,5/6 La source thermale d'Akitsu (bon celui là c'est un peu à part, c'est dans la période mélodramatique de Yoshida)
5,5/ Sex Jack (Wakamatsu mon image de signature)
5/6 Les femmes du lac (Yoshida)
5/6 Samourai Espion (Shinoda)



4.5/6 Tatouage (Masumura)

4/6 Purgatoire Eroica (Yoshida -pourtant l'un des plus audacieux visuellement)


Sinon, à titre de définition, on a l'habitude d'identifier dans cette "nouvelle vague" un certain nombre de réalisateurs entrés à la Sochiku à la fin des années 50 et qui ont fait leur valises dans les années 60 vers la Sochoza d'Oshima puis l'Art Theater Guild, pour des raisons politiques ou stylistiques mais cherchant de l'ndépendance par rapport aux studios. C'est pour ça d'ailleurs que la filmographie de Suzuki n'y entre que partiellement -il faisait aussi des films pour la thune avec la Nikkatsu.


Voilà c'était pas pour revenir c'était pour aider karloff seul dans son top, et puis pour la ramener sur des questions de définition)

_________________
C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Oh c'est gentil. J'ai trois cent films à voir avant, mais je note tes 6/6 pour plus tard.

Bah. je crois que mes 6/6 ne seront pas les tiens, tu trouves Oshima froid, je crois que t'as un peu plus de goût pour Ishikawa et des films où le cachet formel se fait plus "contemplatif", en quelque sorte. Le style nerveux de Terayama, voire Suzuki, ce sera pas ça (Edit: ah je ne te voyais pas aimer la marque du tueur. je te conseille le vagabond alors) . La source thermale d'Akitsu pourrait te plaire, aussi, et peut-être aussi les femmes du lac, mais les autres Yoshida, dans le genre froid et virtuose qui tourne à vide, on fait pas mieux.

Tiens je viens de voir un Kuroki qui devrait te plaire, juste avant qu'il n'entre dans l'art Theater guild : Silence has no wings.

Ah, et Funeral parade of roses de Matsumoto surtout. C'est un peu un film qui réunit tous les autres : l'audace du cadrage, du montage et de l'expérimentation à la Oshima-Imamura-Yoshida voire Shinoda ou Masumura, la nervosité, et la subversion et l'ironie d'un Terayama, wakamatsu, suzuki, ou Hani, et l'aspect plus comtemplatif d'un Ichikawa, ou même d'un Yoshida d'avant Eros.

_________________
C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs