LOUIS DE FUNES La traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956) Est-ce vraiment une comédie ? Et de Funès n’y a qu’un rôle secondaire, même si c’est pour la meilleure scène du film. Gabin énorme. 4/6
Le gendarme de St-Tropez (Jean Girault, 1964) C’est de plus en plus faible mais ça se laisse voir, à part le dernier qui met trop mal à l’aise. 3/6
Fantômas (André Hunebelle, 1964) Contre Scotland Yard est le meilleur (avec la partie de chasse filmée dans le sable de la forêt landaise alors que c’est censé se passer en Ecosse) 3/6 pour les deux premiers, 5/6 du cœur pour le dernier.
Le Corniaud (Gérard Oury, 1965) Un peu mou, je l’ai toujours trouvé moins bon que la réputation qu’il a. Du bon boulot quand même 4/6
La grande vadrouille (Gérard Oury, 1966) Top of the pop. 6/6
Le grand restaurant (Jacques Besnard, 1966) Toute la première partie dans le resto est excellente. La suite est plus bof. 4/6 pour le début.
Les grandes vacances (Jean Girault, 1967) Très bon souvenir, mais en fait c’est quand même bien nawak une fois revu. 3/6 gentil.
Oscar (Edouard Molinaro, 1967) Pas mal. Dans le genre je préfère Pouic-Pouic. 4/6
Le petit baigneur (Robert Dhéry, 1968) Totalement improbable comme histoire. 3/6
Hibernatus (Edouard Molinaro, 1969) Pas très joyeux en fait. Ca m’avait foutu les jetons petit. 2/6
Jo (Jean Girault, 1971) Ah ! J’adore ! La gloriette, la statue, Blier énorme ! 5/6
La folie des grandeurs (Gérard Oury, 1971) Les aventures de Rabbi Jacob (Gérard Oury, 1973) De Funès best all-time worlwide actor (without inflation). L’âge d’or d’Oury. 6/6 aux deux.
L'Aile ou la Cuisse (Claude Zidi, 1976) Pour la visite de l’usine et pour le cynisme de Guiomar. 3/6
La zizanie (Claude Zidi, 1978) Assez cruel cui-là aussi. Le générique tue. Le film beaucoup moins. 1/6
L'avare (Jean Giraud et Louis de Funès, 1980) Tendresse pour ce film dont de Funès voulait faire son chef-d’œuvre en hommage à Molière mais qui est au final un peu boursouflé. 4/6 du cœur.
La soupe aux choux (Jean Girault, 1981) Super triste et déprimant. Et pas super drôle. 1/6
LE SPLENDID ET Cie Les bronzés (Patrice Leconte, 1978) Pas mal. En tout cas ça change des Gendarmes. 3,5/6
Les bronzés font du ski (Patrice Leconte, 1979) Enorme. Y’a pas de scénario mais les sketches sont juste tous brillants. 6/6
Viens chez moi, j'habite chez une copine (Patrice Leconte, 1981) Plus trop de souvenirs, hormis celui de m’être un poil ennuyé.
Le Père Noël est une ordure (Jean-Marie Poiré, 1982) Comment ne pas aimer ? 6/6
Le Quart d'heure américain (Philippe Galland, 1982) pv
Papy fait de la résistance (Jean-Marie Poiré, 1983) Pour le craquage final avec Villeret qui chante : 5/6. Mais 3/6 pour le reste du film.
Pinot simple flic (Gérard Jugnot, 1984) Petit j’avais bien aimé le passage où la meuf se déshabille. Sinon bof. 2/6
Marche à l'ombre (Michel Blanc, 1984) Sympa, sans plus. 3/6
Scout toujours... (Gérard Jugnot, 1985) Faiblard quand même. 3/6 gentil.
Sans peur et sans reproche (Gérard Jugnot, 1988) C’est là où le roi meurt en glissant sur une crotte de chien ? Je ne me souvient que de ça.
Mes meilleurs copains (Jean-Marie Poiré, 1988) Déçu, je m’attendais à tellement mieux. Bacri et Darroussin assurent, mais le scénar est pas jojo en fait. Tellement loin des Copains d’abord. 2/6
L'Opération Corned-Beef (Jean-Marie Poiré, 1990) Très crétin et très hystérique, mais totalement assumés. 4/6
Une époque formidable... (Gérard Jugnot, 1991) Adoré la première fois, déçu la deuxième. 3-4/6
Les visiteurs (Jean-Marie Poiré, 1993) Le dernier film potable de Poiré et Clavier. Gros potentiel comique chez Reno. Lemercier on-fire. Musique délicieusement kitsch. 5/6 Grosse fatigue (Michel Blanc, 1994) Bonne idée, mais ça s’égare assez vite. 2/6
FRANCIS VEBER La Chèvre (1981) Adoré enfant, un peu moins adulte. 4/6
Les Compères (1983) Les Fugitifs (1986) Mouais. 3/6
Le diner de cons (1998) Villeret au top. 5/6
MICHEL AUDIARD Le cave se rebiffe (Gilles Grangier, 1961) PV
Les Tontons flingueurs (Georges Lautner, 1963) Le côté culte m’a saoulé avant même que je le voie… c’est dommage, y’a de bons trucs quand même. 4/6
Les Barbouzes (Georges Lautner, 1964) Pour la scène totalement débile où ils se poursuivent en se jetant à travers les murs. 3/6
Ne nous fâchons pas (Georges Lautner, 1966) Le film préféré de JoeyStarr paraît-il. Un des meilleurs rôle des Jean Lefebvre, quand même ! 3/6
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages (lui-même, 1968) Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! (lui-même, 1969) Comment réussir quand on est con et pleurnichard (lui-même, 1974) PV
LES CHARLOTS Les Bidasses en folie (Claude Zidi, 1971) Les fous du stade (Claude Zidi, 1972) Les Charlots font l'Espagne (Claude Zidi, 1972) Le grand bazar (Claude Zidi, 1973) PV
Les Charlots contre Dracula (Jean-Pierre Desagnat et Jean-Pierre Vergne, 1980) C’est tellement naze que ça en devient fascinant ! Avec Dracula qui pique des crises sans raison en plein milieu d’une discussion (quand je dis sans raison, c’est que ça n’a même aucun rapport avec le scénario du film, comme si l’acteur était en totale roue-libre). Pas notable.
FERNANDEL Le Schpountz (Marcel Pagnol, 1938) Bien foutu, dialogues chiadés, la réflexion de Pagnol sur la comédie est pertinente. 4-5/6
L'Auberge rouge (Claude Autant-Lara, 1951) Du grand art ! Autant-Lara au top là ! 5/6
Le Petit Monde de don Camillo (Julien Duvivier, 1951) Ca repose, c’est gentillet et bien fait. 4/6 à tous.
Ali Baba et les Quarante voleurs (Jacques Becker, 1954) Mouiche. 1/6
La Vache et le Prisonnier (Henri Verneuil, 1959) J’avais aimé gamin, pas revu depuis.
COLUCHE Enorme déception quand même. Il n'a jamais été vraiment drôle au cinéma...
Inspecteur la Bavure (Claude Zidi, 1980) Bof. Je préfère largement « Les vécés étaient fermés de l’intérieur », dans le genre.
Le maître d'école (Claude Berri, 1981) Pour Balasko dépressive, et encore. 1/6
Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ (Jean Yanne, 1982) Super méga déception alors que ça aurait pu être un Astérix avant l’heure. 0/6
Banzaï (Claude Zidi, 1983) La Vengeance du serpent à plumes (Gérard Oury, 1984) 0/6 aux deux. Arnaques.
GRANDS REALISATEURS Jour de fête (Jacques Tati, 1947) 6/6 Chef d’œuvre.
Les vacances de monsieur Hulot (Jacques Tati, 1953) Le même en plus long. Un peu trop peut-être, en même temps c’est bien un film de vacances. 5/6
Mon oncle (Jacques Tati, 1958) Super touchant. 5/6
Tirez sur le pianiste (François Truffaut, 1960) Yoyo (Pierre Etaix, 1964) Bande à part (Jean-Luc Godard, 1964) Playtime (Jacques Tati, 1967) Baisers volés (François Truffaut, 1968) PV
BRUNO PODALYDES Versailles Rive-Gauche (1992) Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers) (1998) PV (mais ça ne devrait plus tarder)
Liberté-Oléron (2001) Beaucoup aimé. Podalydès est énorme. 5/6
Bancs publics (Versailles Rive-Droite) (2009) Mouais…. 1/6 J’espère que les prédécesseurs étaient quand même mieux.
BERTRAND BLIER Les Valseuses (1974) Aimé ado pour le côté irrévérencieux et surtout sexuel de la chose. Revu adulte, j’ai trouvé ça quand même assez daté (surtout le côté sexuel d’ailleurs) 3/6
Calmos (1976) Préparez vos mouchoirs (1978) Notre histoire (1984) Merci la vie (1990) PV
Buffet froid (1979) Pour avoir offert un super rôle à son père, encore une fois absolument énorme dans ce film. Après, comme souvent chez Blier, ça verse dans l’absurde et ça ne raconte pas grand-chose. 3-4/6 gentil.
Beau-père (1981) Le seul Blier qui m’ait vraiment ému (et je ne savais même pas que c’était de lui). 5/6
La Femme de mon pote (1983) Très naze. Pas drôle. 1/6
Tenue de soirée (1986) L’impression que Blier ne sait pas trop quoi raconter, encore plus que d’habitude. Reste les acteurs, impressionnants quand même. 2-3/6
Trop belle pour toi (1989) Vu mais plus de souvenirs.
DIVERS La guerre des boutons (Yves Robert, 1961) Excellent souvenir.
Cartouche (Philippe de Broca, 1962) Mouais. Ca a vieilli. 2-3/6
L'homme de Rio (Philippe de Broca, 1964) Les Tribulations d'un Chinois en Chine (Philippe de Broca, 1965) Ca par contre c’est toujours aussi frais. 5/6
Le cerveau (Gérard Oury, 1969) Ouch… 2/6
Le magnifique (Philippe de Broca, 1973) Pas si mal, en fait. 3-4/6
Le grand blond avec une chaussure noire (Yves Robert, 1972) Bof. A part la scène du concert, pas d’autre souvenir de trucs qui m’aient fait rire. 2/6
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (Jean Yanne, 1972) PV
Mais où est donc passée la septième compagnie ? (Robert Lamoureux, 1973) Bien naze quand même. Le deuxième est le meilleur. Bien naze aussi, mais momentanément « touché par la grâce » on va dire, comme lors de la scène d’évasion avec les matelas. 2/6 pour le premier, 3/6 pour le deuxième, 0/6 pour le dernier.
Un éléphant, ça trompe énormément (Yves Robert, 1976) Bon, c’est toujours mieux que « Mes meilleurs copains ». C’est culte pour beaucoup, mais ça me dépasse un peu. Même si j’adore Guy Bedos là-dedans. Faudrait que je le revoie. Et que j’en profite pour voir la suite aussi.
Nous irons tous au paradis (Yves Robert, 1977) Le Sucre (Jacques Rouffio, 1978) PV
Les sous-doués (Claude Zidi, 1980) Les sous-doués en vacances (Claude Zidi, 1982) Le premier était naze mais touchant quand même, avec de bons passages (la machine à apprendre les leçons, et puis toutes les tricheries mises au point). Le deuxième était juste naze je crois. 3/6
L'as des as (Gérard Oury, 1982) Oury se fait vieux, là. 1/6
Les ripoux (Claude Zidi, 1984) Sympa, surtout la première partie. 4/6
La vie est un long fleuve tranquille (Etienne Chatillez, 1988) Jamais accroché. Inutilement cruel. 1/6
Tatie Danielle (Etienne Chatillez, 1989) Je préfère largement, sans savoir pourquoi puisque les deux sont construits dans la même veine. L’histoire est plus aboutie, quand même. 4/6
La totale (Claude Zidi, 1991) M’en souviens plus.
Génial, mes parents divorcent ! (Patrick Braoudé, 1991) Le film parfait pour tous les CM1-CM2 du monde. A l’époque on croyait que Braoudé était un cinéaste de talent. Dingue qu’il n’ait jamais confirmé. 5/6
C'est arrivé près de chez vous (Rémi Belvaux - André Bonzel - Benoît Poelvoorde, 1992) Faudrait que je le revoie, grave. Mais j’avais adoré.
La Cité de la peur (Alain Berbérian, 1994) Les Trois frères (Les inconnus, 1995) Le Pari (Les inconnus, 1997) Trois films cultes quand j’étais ado (et 4 avec Les Visiteurs, oui j’assume). Je connaissais toutes les répliques et les gags par cœur. 6/6 (sauf Le Pari, 4/6 je dirais)
La Tour Montparnasse infernale (Charles Nemes, 2000) M’en souviens plus. Débile comme quand on laisse Eric et Ramzy en roue libre. Mais y’avait quand même des trucs qui m’avaient fait rire.
Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (Alain Chabat, 2001) Adoré au ciné. Le meilleur Astérix (en même temps c’est pas dur). 5/6
Podium (Yann Moix, 2004) Nuuuuuuuul. Mais c’est toujours mieux que Cineman. 1/6
Camping (Fabien Onteniente, 2006) Nuuuuuuuul. Mais Dubosc est toujours mieux que dans Cineman. 1/6
OSS 117 : Le Caire, nid d'espions (Michel Hazanavicius, 2006) J’adore ! Faut que je revoie la suite. 5/6
Bienvenue chez les Ch'tis (Dany Boon, 2008) Moyenasse. 3/6
_________________ "Les chances sur un million, elles se réalisent neuf fois sur dix".
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