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Série FX en 8 épisodes signée d'un certain Christopher Storer, réal et producteur de moult comedy specials.

Et pourtant ce 8x26 dans les coulisses d'une sandwicherie de Chicago est tout sauf une comédie: stress culinaire, abrasivité des rapports humains, frictions, hurlements, plans épaule, générique en Arial blanc sur fond noir. C'est pas du tout du Top Chef.

Il y a pourtant une humanité et une fragilité assez séduisante qui se dégage des trois premiers épisodes que j'ai regardé. Je sais pas encore où ça va aller, et c'est parfois fatigant dans le shouting match permanent, mais le cast est plutôt bon et la B.O. cartonne.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

D'accord sur ses qualités certaines mais j'ai laissé tombé la série après le premier épisode à cause de ca. L'impression que dans la tête des scénaristes "faire dire les plus de saloperies possible aux personnages" (d'une manière gratos la moitié du temps en plus) est égal à "dialogues jouissifs et intelligents".
Ca s'améliore, ou se justifie, peut être plus par la suite .. mais j'ai pas la motivation pour continuer.

Encore une série qui aurait pu être un film. D'ailleurs quel était ce film en plan séquence sorti cette anné sur le même thème?

En attendant, ça se regarde très bien pour l'atmoshphère électrique en cuisine et le cast attachant, mais ça raconte quoi? L'enfer de la restauration un peu à la Urgences, mais avec des sandwiches c'est tout de suite plus limité et c'est vrai que le concours d'insultes peut vite fatiguer.

Vu deux épisodes hier soir. Bien aimé le premier, moins le deuxième mais c'est sympa, un peu épuisant même si ça se pose un peu plus dans le deuxième ep. L'acteur principal a une vraie gueule. Ca sent la petite série sympa sans plus.

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CroqAnimement votre

THE CHEF / BOILING POINT. Topic créé par moi bien sûr.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Passé le premier épisode en mode "regardez comme on est des ouf, regardez comme on monte nos images de malade", j'ai trouvé ça plutôt sympathique, même si oui l'avalanche de fuck à chaque phrase est souvent relou.
Ça passe vite, ça avance, et les deux derniers épisodes sont vraiment vraiment bien.
D'ailleurs je ne comprends pas ce que œil de lynx a pas compris...

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Netflix les gars, Netflix.

C'est pas que j'ai pas compris, mais j'y crois pas une seconde.

Et ça tranche totalement avec le réalisme de l'ensemble.

Ah bah ça m'a pas choqué.

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Netflix les gars, Netflix.

Enfin terminé hier soir, j'ai trouvé ça inégal et parfois relou, le genre de série pourtant courte mais où tu as l'impression qu'il y a des épisodes superflus (l'anniversaire là...) mais au final j'ai été touché par les excellents persos principaux (et casting parfait) et la fin de saison a quelque chose d'enthousiasmant (même si le deux ex machina sorti de NULLE PART il est costaud à avaler), je serai là pour la S2 à priori. Le summum du 4/6 et c'est quand même un peu surcoté.

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CroqAnimement votre

Pas mal, écriture minimaliste et montage frénétique et habité qui surligne avec plus ou moins de subtilité ce que vivent les persos.

Dans ses meilleurs moments, c'est du O. Russell du riche, et dans les pires, du O. Russell du pauvre.

Sympa.

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Cela semble tellement ironiquesnow rider 3d

AH tiens j'avais pas vu ce topic. J'ai justement terminé ça ce WE.
C'est vrai que faut un peu s'accrocher au début, ça gueule tout le temps quoi, mais on finit par s'attacher vraiment à ces personnages, même le connard de cousin. Et en fait tout se déploie dans la saison 2 que j'ai trouvé captivante, avec ce compte à rebours mais surtout des variations dans les épisodes. Le dernier épisode est franchement super cool, et puis cette scène de fin sur Half a World Away de R.E.M., bordel j'en avais les frissons et les larmes aux yeux, et je voulais serrer tous les personnages dans mes bras.

Bref très content de l'avoir vue.

Et oui, la BO cartonne, avec tout ce que j'aime, Wilco (Chicago oblige), Pearl Jam, R.E.M, plein de trucs super cool...

Je conseille.

A noter, quelques guest-stars dans des petits rôles, plus (Jamie Lee Curtis) ou moins (Olivia Colman) marquants.
Oliver Platt est parfaitement casté, et Ayo Edebiri (apparemment co-productrice) est une vraie découverte.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"