Forum de FilmDeCulte

Accompagnement musical pour un sondage en réalité augmentée : https://www.youtube.com/watch?v=zeA43GPbWeY

Allez-vous régulièrement ou non aux SPORTS D'HIVER ? Si vous n'y avez jamais été, en ressentez-vous un manque ou un complexe ? Si vous n'y allez plus, pourquoi ?

Préférez-vous plutôt le ski, le snowboard, le ski de fond, les raquettes, la luge, le traîneau à chiens ? Quel est votre niveau ?

Restez-vous sagement sur le domaine surveillé ou pratiquez-vous le hors-piste, le ski de rando voire le bivouac à 3000 m ?

Et la montagne le reste de l'année, ça vous gagne ou c'est pas votre truc ?

Je pense que c'est une histoire de famille. T'as une famille de skieurs ou pas, en gros.
Je ne suis pas dans une famille de skieurs.
Enfant, j'ai fait quelques fois du ski de fond, avec la famille.
Je compte mes expériences en ski alpin sur les doigts d'une main:
- la classe de neige, fin d'école primaire.
- une fois en famille, pour le fun, à Pâques, près du lac d'Annecy si je me souviens bien. J'avais genre 15 ans.
- une fois en tant qu'étudiant, embarqué par des potes.
- puis deux fois en tant qu'adulte-jeune-travailleur, là aussi avec plein de potes dans un grand chalet.

J'avoue grandement apprécier le ski alpin, mais bon mon niveau c'est plutôt Michel Blanc. Je suis nul mais je me suis toujours fort amusé, même dans mes galères (ne me lancez pas sur le sujet).

Une fois j'ai fait de la rando en raquette dans la neige, lors de mon voyage en Gaspésie. J'ai adoré.

Donc moi la montagne c'est surtput en été: chaque été, toute mon enfance, c'était de la rando et du camping dans les montagnes (Haute-Savoie, Alpes, etc.). J'ai également fait le GR20 en Corse, l'une des expériences les plus cools de ma vie.
Mais depuis que je suis avec ma femme - qui n'est pas du tout montagne à cause de sa santé - je suis passé du côté "mer", la Bretagne a remplacé la Montagne. C'est très bien aussi. Mais la Montagne me manque quand même, parfois.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Allez-vous régulièrement ou non aux SPORTS D'HIVER ? Si vous n'y avez jamais été, en ressentez-vous un manque ou un complexe ? Si vous n'y allez plus, pourquoi ?

Presque tous les ans de l'âge de 3 ou 4 ans jusqu'à la vingtaine - dernière fois en 1998. Depuis, rien, pour des raisons de coût (difficilement accessible durant mes années étudiant / jeune employé), puis pour des raisons de coût vs utilité : je ne souhaite plus faire de ski, je ne me sens pas de remonter là-dessus. J'avais un très très bon niveau et je skiais comme un timbré, à toute allure sur n'importe quelle piste, avec les risques que cela entrainait (souvenir d'une très sale chute en 1987 qui aurait pu être grave et m'a calmé pour quelques jours). Aujourd'hui, je me sens rouillé, moins à l'aise, et ça ne m'intéresse pas de skier pépère.
Le petit aimerait bien y aller. J'ai regardé quelques trucs genre UCPA, mais à chaque fois l'école de ski ne prenait l'enfant qu'à la demi-journée, donc je devais skier avec lui le reste du temps... Bref, j'ai laissé tomber.

Préférez-vous plutôt le ski, le snowboard, le ski de fond, les raquettes, la luge, le traîneau à chiens ? Quel est votre niveau ?

Ski et snowboard. Mais je n'ai jamais été très bon en snowboard (fracture du coccyx, d'ailleurs).
J'ai tenté aussi le mono-ski, mais ça ne m'a pas trop plu.

Restez-vous sagement sur le domaine surveillé ou pratiquez-vous le hors-piste, le ski de rando voire le bivouac à 3000 m ?

Je n'étais pas fan de poudreuse, donc plutôt les pistes, ou plutôt les bordures de pistes (j'étais un amoureux des tremplins formés en bordure).
Mes parents m'ont inscrit plusieurs fois à un "cours", en fait une équipe drivée par deux moniteurs aussi débiles que nous, qui nous ouvraient la voie sans jamais nous corriger. Avec eux, on partait à la journée, parfois en hors pistes, ou même tirés par des motoneiges... Vous n'imaginez même les trous qu'ils nous faisaient survoler à toute allure : notamment un espèce de tremplin naturel qui nous propulsait sur plusieurs mètres en survolant des rochers ! Là j'ai déclaré forfait...
Par contre, (contre leur avis, d'ailleurs) je me souviens avoir pris un mur de neige vertical qui m'a propulsé en l'air. Il s'agissait en fait d'une petite baraque entièrement couverte de neige. J'ai aterri sur le toit, que j'ai dévalé avant de tomber de l'autre côté de la maison ! Je pense avoir frôlé plusieurs fois, seul ou avec les moniteurs, l'accident grave. D'où mon vote pour "trop dangereux".

Et la montagne le reste de l'année, ça vous gagne ou c'est pas votre truc ?

Pas mon truc. D'ailleurs, les rares fois où je suis allé à la montagne l'été, j'ai préféré abandonné mes parents et partir skier un peu plus haut sur les restes de pistes encore ouvertes.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Allez-vous régulièrement ou non aux SPORTS D'HIVER ? Si vous n'y avez jamais été, en ressentez-vous un manque ou un complexe ? Si vous n'y allez plus, pourquoi ?

J'y suis allé 2 ou 3 fois enfants. Puis une autre fois à 25 ans avec ma femme et sa famille. J'aime la beauté de la montagne sous la neige mais peu le froid et surtout le monde des stations de ski. Et l'horreur sur les routes aussi.

Après le ski étant très accidentogène, avec le boulot cela a trop de conséquences si arrêt donc je n'y vais pas

Préférez-vous plutôt le ski, le snowboard, le ski de fond, les raquettes, la luge, le traîneau à chiens ? Quel est votre niveau ?

Niveau nul donc plutôt randonnée à ski ou luge.

Et la montagne le reste de l'année, ça vous gagne ou c'est pas votre truc ?

Là par contre j'aime beaucoup et je préfère la montagne l'été. plus libre d'aller ou tu veux, d'être plus tranquille, de voir de grands espaces. J'apprécie de plus en plus la moyenne montagne ( style auvergne, jura).
L'été prochain c'est Ariège.

Une fois en classe de neige en CM1, une fois en colo, vers le même âge.
J'étais pas doué du tout donc ça m'a pas emballé. Et puis tout l'attirail vestimentaire et les tire-fesses et tout, la flemme. C'est tout un boulot pour une descente de quelques minutes. Pire que les parcs d'attractions.
Jamais eu envie de recommencer. Et tant mieux vu le taro.

Et sinon, la montagne non couverte de neige, je trouve ça joli à regarder mais je suis pas randonneur ni doté d'un permis donc bon...

Pas mon délire du tout.

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pareil que ff, c'est vraiment un sentiment de flemme intense devant l'attirail, les questions pratiques, tout. les 3 fois où j'en ai fait j'ai trouvé juste insupportable. le pire c'est que j'ai un accès facile et gratuit à des hébergements dans des bonnes stations mais absolument aucune envie, et la mort de gaspard ulliel m'a beaucoup marqué et a fini de me convaincre que non vraiment ce sera sans moi.

en revanche l'été je suis un grand amoureux de la montagne, je suis un randonneur de niveau olympique (en revenant toujours à la maison le soir parce que je suis attaché à mon confort, mais je reflechis à des choses plus ambitieuses pour l'été prochain), c'est vraiment l'air que je respire et le sang qui coule dans mes veines.

Toujours trouvé cette chanson insupportable, et là, je remarque qu'en plus, y a pas une ligne sans une faute d'anglais, c'est hallucinant.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Jamais été bien fan, pour moi, c'est vraiment le Sisyphe des loisirs (en plus d'être ultra bourgeois).
Un peu pratiqué dans ma jeunesse mais j'ai jamais couru après.
Tu rajoutes à ça, comme déjà dit, la bagnole à équiper, le matos, les fringues, le logement, la foule et le budget à y consacrer et ça finit de me décourager.
Merci le réchauffement climatique qui va annihiler ce truc (avec quelques dommages collatéraux au passage).

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

Allez-vous régulièrement ou non aux SPORTS D'HIVER ? Si vous n'y avez jamais été, en ressentez-vous un manque ou un complexe ? Si vous n'y allez plus, pourquoi ?
J'ai vécu 3/4 mois dans les PO donc j'ai subi l'enfer des sports d'hiver. Je pense que ça répond à la seconde question.

Préférez-vous plutôt le ski, le snowboard, le ski de fond, les raquettes, la luge, le traîneau à chiens ? Quel est votre niveau ?
La luge, de loin, j'ai trouvé ça chanmé. Les raquettes, ça passe, mais je préfère la randonnée "normale". Le ski alpin, c'est sympa uniquement quand tu traces pour dévaler la piste, tout le reste est pour moi une torture (le tire-fesses, les remontées de pistes, la tenue de ski avec la combinaison, les boots et les fuseaux...). Le ski de fond, une vraie plaie.

Restez-vous sagement sur le domaine surveillé ou pratiquez-vous le hors-piste, le ski de rando voire le bivouac à 3000 m ?
Les deux, mais j'en ai fait avec le personnel de mon "pensionnat" (un établissement pour enfants malades) et un peu en cours d'EPS (ski de fond : l'horreur et patinage artistique, plus sympa ça) donc j'étais hyper encadrée pour le hors piste.

Et la montagne le reste de l'année, ça vous gagne ou c'est pas votre truc ?[/quote]
La montagne, c'est très cool je trouve, on y respire mieux, ça offre de beaux points de vue, on y croise une faune spécifique... La neige, moins. Mauvais souvenir des matins à 7h où tu dois enfiler ta combinaison de ski pour aller au collège Et les gens sont parfois un peu cons avec leur chauvinisme exacerbé selon mon ressenti.

J'y allais une semaine par an, enfant et ado, grâce à la famille de ma belle-mère (remariage de mon père), qui a un chalet dans une toute petite station des Alpes.
C'était vraiment cool, tant pour l'apprentissage du ski (j'ai toutes mes étoiles) que pour se faire des copains (il y avait des cousins, des cousins éloignés, des amis de la famille) et donc ça a beaucoup compté pour mes souvenirs d'enfance.
Je me suis mis au snowboard à l'adolescence parce que c'était la mode, et il se trouve que j'ai tellement accroché que je ne me suis plus jamais remis au ski. J'ai même jamais essayé les paraboliques, ça venait tout juste de sortir quand je me suis tourné vers la planche. Moi qui ai toujours été raide et peu technique sur les skis (j'ai commencé vers 9/10 ans donc un poil tard par rapport aux petits de cinq/six ans qui chopent tout de suite la technique), en snowboard je me suis trouvé à mon aise, et les sensations sont plus grisantes, on se balance d'avant en arrière, on se rapproche davantage de la pente, bref je kiffe. Seul défaut du snow, on galère parfois à rallier certains endroits puisqu'on n'a pas de bâton - il faut alors enlever une boot de la planche et pédaler tant bien que mal avec le pied...

Au pic de mon intérêt pour les sports d'hiver, j'y allais avec le lycée le samedi depuis Pau, sur une journée. Mais c'était genre 7-8 fois. L'ironie c'est qu'ayant habité à Pau avec ma mère, j'ai peu profité de la proximité des Pyrénées et c'est bien plus dans les Alpes que j'ai skié.

A l'âge étudiant puis adulte, le côté automatique de ces vacances s'est arrêté. J'y suis retourné quatre ou cinq fois avec des potes, mais comme je me suis éloigné de ces potes-là, l'opportunité s'est aussi éloignée avec le temps. Et ça ne me manque plus tant que ça. Oui, entre bons potes, ou avec la famille, c'est vraiment cool, mais ma compagne, mes amis, ma famille n'y vont pas ou plus. Et j'aime pas assez ça pour organiser ça de moi-même.

Et puis mine de rien les enjeux écologiques, de surtourisme, ça finit aussi par atteindre le sens de ce type de vacances, chez moi. Par contre, randonner l'été, avec ma compagne c'est un des trucs qu'on aime le plus faire.

Lol c'est vrai, je découvre aussi, on dirait une blague à ce niveau. Ca me rappelle ce sketch : https://www.youtube.com/watch?v=hxGNcMhiOro

Mon père y allait souvent, j'ai aussi de la famille qui est descendu du Nord à Lyon puis en Haute-Savoie (vers Annecy, et les Contamines, une cousine, instit dans la région, avait épousé un moniteur UCPA ; les Bronzés et le personnage de Popeye sont en-dessous de la réalité de cet univers...) , mais souvenirs un peu lourds voire carrément traumatisants, avec lui il fallait avoir très vite un niveau de compétition dans n'importe sport que ce soit (y compris et surtout planche à voile, ski, pas l'idéal de Belgique, je me demande s'il l'a remarqué) sous peine de gueulantes (climat digne de Liberté-Oléron de Podalydès, en pire en fait...), alors que l'on ne pratiquait que pendant les vacances (peut-être lié au fait qu'il venait d'un milieu ouvrier, modeste sans être miséreux, et a vécu une promotion sociale, source de pression qu'il s'ajoutait lui-même puis diffusait vers les autres, plutôt que d'émancipation). L'objectif était avant tout une forme de prestige symbolique (vis-à-vis de sa famille) plutôt que de plaisir, j'ai décroché quand mon frère s'est fracturé.

Par contre j'ai fait pas mal de vélo dans les Alpes en été (montée du Galibier, de l'Izoard, pas mal parcouru les Bauges), à Annecy et Embrun, un peu dans le même climat familial (cela a crisé quand j'ai demandé un jour de repos après avoir monté le Galibier, j'ai du me taper le lendemain Embrun-Vars ou l'Echalp au pied du Mont-Viso A/R , le mec nous préparait littéralement pour le Tour de France - hé non tes fils n'ont pas fait Polytechnique et ne sont pas devenus Richard Virenque non plus, étonnant ?), mais pour le coup j'appréciais le défi physique et le rapport au paysage (de préférence seul).Lorsqu'elle est bien comprise cette pratique invite à doser son effort et à ne pas partir trop vite, y compris dans un sens moral et symbolique.

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He pays penance to the air above him

N.O. - The Him

Putain...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ayant surtout vécu dans des régions qui contiennent "Alpes" dans leur nom, il y a une forte culture du ski et de la montagne autour de moi où on peut même se faire une sortie dans la journée si on a le courage.

Commencé tôt et jusqu'à 16 ans, je faisais grosso modo une semaine par an entre la famille et les colos. Mais jamais été accro non plus et encore moins casse-cou. Plus tard, manque de potes pour organiser de vraies vacances donc en moyenne depuis l'âge adulte, je me suis contenté de caler une ou deux journées par an et ça me suffit largement. Je m'éclate toujours, mais je suis rincé à la fin et je n'arrive même plus à imaginer comment j'ai pu faire ça durant des semaines entières.
J'ai pas un niveau terrible, juste ce qu'il faut pour passer sur toutes les pistes et me faire plaisir mais je pense que j'ai une technique dégueulasse car j'ai pas été très loin dans les étoiles et j'en fais pas assez souvent pour progresser. C'est la raison pour laquelle je reste au ski et ne passe pas au snow car le réapprentissage me saoûle d'avance en plus de la peur de me faire mal. Jamais trop tâté du hors-piste non plus car je suis une flippette et le ski dans la poudreuse m'amuse pas particulièrement.
Récemment, je m'y suis remis un peu plus avec un pote et a vraiment m'éclater, ma fille a commencé aussi, mais j'ai de plus en plus sentiments ambivalents.

La première chose c'est que j'ai un collègue qui a été tué comme ça dans un accident. On n'était pas vraiment proches car on se connaissait depuis peu mais on travaillait ensemble, on était voisins, on avait le même âge, des enfant du même âge qui vont dans la même école, bref la même vie. Ca aurait pu être moi et je continue à voir sa famille ce qui ne permet pas de l'oublier. Il portait un casque, il était arrêté tranquillement en bout de piste quand un ado lui a foncé dedans alors qu'il pouvait le voir de loin, comme la gopro a permis de le prouver. C'est arrivé quelques jours après la mort de Gaspard Ulliel. Tout ça n'a pas réussi à me détourner des pistes. Mais la dernière fois que j'en ai fait avec ma fille, j'ai ressenti le risque venant des autres comme jamais, je ne sais plus si je suis devenu parano ou si les gens sont vraiment de plus en plus cons. On dit aussi que l'avènement des casques et des skis paraboliques a surtout eu pour effet d'augmenter la vitesse et le danger.

L'autre chose, c'est le réchauffement climatique. Je fréquente surtout les stations les plus proches de chez moi et donc les moins élevées où la différence climatique en 10 ans est criante, c'est même là qu'elle est le plus visible je pense. D'un côté, je me dis qu'il faut en profiter tant qu'il reste de la neige, de l'autre que ça ne vaut pas l'investissement de mettre les enfants sur des skis car ils n'en profiteront plus. C'est un avis partagé par plein de parents autour de moi, y compris des montagnards pur jus. D'ailleurs aujourd'hui, plus personne n'évoque le ski sans se désoler du cataclysme en cours pour les stations.

L'été, j'adore aussi. C'est même ma destination de prédilection pour faire de la rando et s'élever au-dessus de la foule sur les côtes. Par contre, il y a quelques années, j'ai tenté la haute-montagne avec un guide sur un glacier à 4500 m et tout le délire. Absolument détesté cette expérience où la mauvaise acclimatation me rendait malade, à se lever à trois heures du mat' pour marcher des heures durant en file indienne au milieu d'un trainée ininterrompue d'alpinistes dans des paysages de mort, à enjamber des crevasses sans fond quand on arrive à peine à marcher avec des crampons, tout ça pour arriver chancelant à un sommet où des alpinistes pro viennent te bousculer et te rappeler ton statut de touriste. Pris aucun plaisir, d'la merde.

Il suffit que l'on en parle sur ce forum pour qu'un nom enterré dans le passé (entre Kurt Cobain, Bérégovoy, Antoine de Caunes et Radovan Karadizc) resurgisse dans l'actualité, un peu après Zelenski, Trump et Poutine quand-même : Edgar Grospiron a.k.a Brice-de-La-Clusaz, à présent chef de la commission "les J.O à Saint-Jorioz".
Je pensais à lui récemment comme symbole-résumé de ces vacances de merde.

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He pays penance to the air above him

N.O. - The Him