Sim a écrit:
Juan a écrit:
Léo a écrit:
Sim a écrit:
"On comprend pourquoi les marins voulaient conserver intact leur service public et refusaient coûte que coûte toute idée de privatisation" indique le journal citant le responsable marseillais.
Un journaliste qui relaie de tels propos est vraiment une ordure. Et un danger.
Ah bon ? Il relaie des propos c'est tout, c'est son boulot. En quoi c'est une ordure et un danger ?
son travail est aussi de vérifier ses sources ce qu'il n'a peut etre pas fait
1. tu n'en sais rien.
2. il raporte des propos. La source, c'est la personne qui parle et qui donne un avis.
Sim a écrit:
Dans un cas aussi épineux, et pour ce sujet, il me semble vital de se blinder a ce niveau là avant de relayer l'information. Le "tous pourris" est trop proche et difficile à effacer meme si les faits s'avèrent faux.
Encore une fois, qu'est-ce qui vous permet de dire qu'il n'a pas vérifié ses informations. Y'en a encore une couche ce matin, les faits sont connus depuis longtemps par la presse Marseillaise qui ne pouvait pas donner l'info puisque personne ne parlait avant.
Donc, il faudrait peut-être éviter de penser que les journalistes font systématiquement mal leur boulot, Le Parisien ou pas Le Parisien.
Et enfin, rapporter des propos n'a rien d'anormal, il ne cautionne pas. L'info c'est "selon la nouvelle direction, il y a des vols à la SNCM, voila ce qu'en dit M. X, un responsable". Il ne porte aucun jugement, il souligne juste que les salariés sont soupçonnés de. Si le journaliste ne peut dire, ça, il n'y a plus aucun fait divers qui va pouvoir passer en presse tant que l'affaire n'aura pas été jugée.