Forum de FilmDeCulte

Bon, faudrait que jme fasse une rétro...

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fuck

supra fuck

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I think we're gonna need a helmet.

Argh !

Respect pour ce mec, découvert tout récemment par moi, brillant et intéressant.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

idem, je découvre l'oeuvre là...
12 Angry Men, Serpico, Après-midi de chien, Find me guilty, voilà où j'en suis... Sa filmo est impressionnante.

Les quatre que je connais de lui - et que je connais par coeur depuis mon enfance - sont à 6/6 : 12 hommes en colère, Un après-midi de chien, Network et Serpico.

Il faut absolument que je découvre le reste.

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I think we're gonna need a helmet.

Ah si j'ai vu aussi Le Crime de l'Orient-Express au casting 5 étoiles. Très sympathique, même si le bouquin n'est pas très cinématographique. 4/6

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I think we're gonna need a helmet.

J'aime un peu moins Network, mais c'est 6/6 pour les trois autres.
J'ajoute La Coline des hommes perdus, absolument immense. J'aime un peu moins Le Gang Anderson (4/6). J'aimerais bien voir Le Prince de New York et A bout de course.
Allez, en son honneur, je vais me faire The Wiz, ce soir.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Je viens de me commander quelques DVD d'occaz là : Le Verdict, Le Prince de New York, Network et A bout de course, justement.

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I think we're gonna need a helmet.

Le maxi-gavage que tu vas te prendre... J'adore ces 4 films.

A part 12 hommes en colère _que j'aime surtout pour Henry Fonda_ ses films me font un peu chier, ça tourne plutôt autours du 3/6 pour moi. Enfin bon, RIP quand même...

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N'écoutez pas Film Freak

Triste.

J'espère que ce RIP va donner envie à certains de découvrir le vrai chef-d'oeuvre de Lumet qui est "Prince of New York".

En attendant, la claque Un après-midi de chien - Serpico, à savoir la patte naturalisme sans être chiant, la volonté de sortir des studios et de filmer la rue, qui rejoint un pan du cinéma que j'adore (de Mean Streets à La Haine, en passant par Taxi Driver, French Connection et Do the right thing), c'est ce que je retiens en priorité de Lumet. Son apport à la mise en scène, plus que le découpage et la composition des plans, décevants chez lui (sauf dans 12 hommes en colère, très bien chorégraphié), c'est surtout cette tonalité, cette envie de filmer la rue, dans la rue, sur la rue. Après, j'ai aussi été marqué, forcément, par les compositions extraordinaires de Pacino, aussi intemporelles qu'avant-gardistes...

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I think we're gonna need a helmet.

C'est pour ça que j'ai toujours préféré Lumet à Coppola. Ses films se bonifient avec le temps grâce à cette authenticité-là, justement, alors que les Coppola commençent un peu à me soûler malgré leur "grandeur".