Forum de FilmDeCulte

Comme tous ces cinéastes de cette génération (je serais tenté de dire comme tous les cinéastes ), Lautner a eu son sommet vers la quarantaine (en gros 1966-1976, Ne nous fâchons pas, tous les films avec Mireille Darc, Mort d'un pourri) et après ça part en couilles (les belmonderies débiles, Aldo Maccionne dans le cow-boy, etc, etc).

Après, ça reste du Lautner, faut quand même pas déconner, en matière de sommet on n'est plus proche de la montagne de Lure que du Mont Blanc.

Mis à part le fait qu'ils sont morts à quelques jours d'intervalle, mettre en parallèle Lautner et de Villiers reste un peu improbable car s'ils appartiennent à la culture populaire tous les deux, ils n"évoluaient pas dans le même bouillon. Les films de Lautner sont tous publics; les SAS de de Villiers visent un public moins large et, malgré leur succès, sont restés quelque peu confidentiels.
Ce qui explique, pour moi, l'attitude des médias.

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

On écrit vraiment des papiers sur tout... Angle débile

J'avais pas noté qui était l'auteur de ce papier.

Entre 120 et 150 millions d'exemplaires, j'appelle pas ça confidentiel

Je suis d'accord mais relis ma phrase et tu verras peut-être pourquoi j'ai dit confidentiel (et ça n'est pas péjoratif )

sinon, et d'après toi, qui sont les lecteurs des SAS ?

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Douglas Sirk

Moi

SAS c'est comme le fast-food : un peu écoeurant, répétitif, mauvais pour la santé, mais qu'est ce que c'est bon

...donc un mec
De Villiers écrivait des histoires de mecs pour des mecs; des histoires pour le grand public mais qui n'étaient pas pour tous publics.
D'où le confidentiel

Lol, ta définition des SAS

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