Forum de FilmDeCulte

20/20

WE GOT A WINNER

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Condamné à mettre un "man" à la fin de ta phrases comme sponge.

Sinon il me semble qu'elle avait le projet d'un film sur un hacker manifestement agent du FBI.

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CroqAnimement votre

Je m'incline.

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C'est devenu le Hacker d'Mann.

Magnifique !

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CroqAnimement votre

Je chante Alleluia!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ouuh pas mal.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Apparemment, elle se serait suicidée (je ne suis pas du tout sûr).

Triste

Elle était encore jeune, je ne réalisais pas qu'elle n'avait que 25 ans quand elle a fait "Jeanne Dielmann", et que "Je tu il elle" était postérieur.
Je n'ai pas tout vu d'elle (rien de ses documentaires), mais ces deux films m'ont plu. J'ai un souvenir encore vif de Jeanne Dielmann (le film comme la scéance) vu pourtant il y a près de 16 ans
Elle avait quand-même un talent rare pour mêler ce qui relève du dispositif et un romanesque plus réaliste et linéaire, et curieusement ce qui relevait du corps individuel et de la vérité sexuelle était placé du côté du dispositif (le romanesque étant plutôt le discours des autres - et parmi eux les pères: Proust, Conrad).
Même ses films ratés étaient intéressants ("Toute une Nuit", qui repose sur un concept improbable: changer d'acteur à chaque séquence, sans les faire se recontrer pour illustrer un sentiment sur la ville...mais le film m'a aussi agacé parce que je ne reconnaissais pas Bruxelles) et même la Folie Almeyer (la jeune femme du film revivait en errant dans la ville la même expérience d'enfermement et de confrontation à son propre corps que Chantal Akerman ell-même, je trouvais cela intéressant: le rapport au corps et à la féminité était le soubassement de l'espèce de désespoir cosmopolite, nostalgique et romantique que l'on trouve chez Conrad, où le corps intervient assez peu, dont l'étrangeté est recouvert sans être dilué par un autre desespoir ).
A la cinémathèque de Bruxelle, beaucouo de film d'elle passent, mais je n'ai pas envie de les vir, j'aurais l'impression d'un phagocytage charogniard.
J'ai lu qu'elle avait plongé au décès de sa mère et qu'elle était revenue seule d'un cure psychiatrique. Quelle tristesse de penser à l'état d'esprit dans lequel elle a dû vivre les jours qui ont précédé sa mort, que même une artiste majeure et reconnue, dont la sensibilité et la pensée transparaîssent dans ses films, puisse aussi connaître -et subir- une telle solitude (bien sûr ce n'est pas le public qui peut sauver de la solitude, et aujourd'hui encore moins qu'hier - la manière qu'elle avait de se raconter est tellement différente de ce qui prévaut actuellement avec le web).
Pensée à Serge Daney, qui aimait bien ses films et savait en parler.

Confirmé

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Elle est pas Maline, Akerman.

Lol.

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Le jour de votre mort, vous préférez que vos proches louent Jean-Marie Bigart, Patrick Sébastien ou Laurent Gerra?

Gerrakerman ??? *smiley qui pleure de rire*

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"PACIFIC RIM" Massinfect