Forum de FilmDeCulte

C'est moche. Mais bénéfice du doute quand même, j'aime bien ce que Stevie fait des CGIs en général.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

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J'ai kiffé comment Freddy se fait blaster

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

Il disparaît en nuage de monnaie.

Mine de rien, la bande-annonce me hante.

Mon rejet du départ était peut-être dû au fait que Spielberg utilise des outils que la nouvelle génération de réalisateurs utilise de façon très vulgaire. Du coup, quand tu vois autant de cgi chez Spielberg, hors contexte, tu associes ça aux mauvais coups des dernières années.

Plus j'y pense, plus le projet m'enthousiasme. Ça pourrait être la continuité parfaite de Jurassic Park et BFG, deux films qui plongeaient dans les simulacres de créateurs vieillissants. Et si Ready Player One était une plongée dans les bouteilles de rêves du Bon Gros Géant de Roald Dahl? Des bouteilles qu'il aurait négligé de sécuriser, comme John Hammond et son parc jurassique. James Halliday (le créateur du monde virtuel de RPO) sera peut-être une fois de plus un auto-portrait de Spielberg. Et le décès annoncé du personnage dans le synopsis pourrait marquer l'aspect testamentaire du film (Spielberg nous a légué dans les années 80 un univers foisonnant dont on ne s'est pas encore remis aujourd'hui. Et maintenant, à travers le regard spectral de Halliday, il pourrait en observer les conséquences. Il n'en tient qu'à nous de faire quelque chose de fécond de ce lègue). Je spécule comme un dingue, mais le projet est déjà hyper fascinant. Pas étonnant que le teaser réussit à me hanter, malgré le rejet total du départ. Quand il y a richesse, on peut finir par accepter les fautes de goût. Mais au final, ces fautes n'en seront peut-être pas.

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En gros ça s'annonce comme son film le plus bandant depuis longtemps, on est d'acccord.

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

Moi ce qui m'a notamment surpris dans cette BA et qui me hante encore, c'est la noirceur cauchemardesque des premières scènes dans l'OASIS, sur le champ de bataille là. On se croirait sur celui de War Horse justement. Choix esthétique plutôt inattendu.

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Grave






J'ai aussi été surpris par l'entrée dans l'Oasis (où Gandalf flotte dans les airs). On dirait Rouge City.

Et puis, j'aime la façon dont les policiers 101 se déplacent, en file, comme les hommes vêtus de rouge de Close Encouters.

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La beauté du Diable.

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Raidit Player One

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Nouveau trailer dimanche à 18h.

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C'est non.

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Netflix les gars, Netflix.

L'affiche est une version joliment '80s-isée (et avec visage apparent du comédien) de la couverture du livre (que je préfère parce qu'elle ne montrait pas le visage du héros et qu'elle n'avait pas cette jambe droite immeeeeeense là) :

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Lol. C'est comme les yeux de Gally.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Heureusement que c'est celle d'un homme et pas d'une nana, parce que sinon j'imagine même pas le shitstorm Twitter...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste