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BRUXELLES 19/03 (BELGA) = L'entarteur Noël Godin et ses "tueurs
à gags de l'Internationale Patissière" ont réussi samedi deux
"entartages" quasiment consécutifs du philosophe français
Bernard-Henri Lévy lors du Salon du livre à Paris, a-t-il annoncé
dimanche.
Ce double "attentat patissier", le septième visant "BHL", a été
confirmé par une journaliste de l'hebdomadaire français "Le Nouvel
Observateur", Anne Crignon, selon le site internet du magazine.
En pleine séance de dédicaces de son nouveau livre "American
Vertigo", "le célèbre écrivain n'a pu signer que quelques ouvrages
quand une véritable avalanche chantilly s'est abattue sur lui", a
revendiqué dimanche Noël Godin - en se déclarant "porte-parole de
Georges Le Gloupier", entarteur de nombreux "pompeux cornichons" -
dans un communiqué adressé à l'agence Belga.
Selon lui, Bernard Henri-Levy était pourtant arrivé au Salon du
Livre avec une escorte de quatre gardes du corps et s'était installé
dans un recoin contrôlé par la sécurité des lieux.
Noël Godin dédicaçait au même moment, non loin de là, son propre
livre sur "l'épopée anarcho-patissière".
Selon lui, "à 18h15 précises, aux cris de 'Gloup, Gloup, Gloup',
une quinzaine de guerilleros burlesques déferlent soudainement sur
le
stand et, passant à travers la haie des protecteurs de BHL,
réussissent à l'entarter de plein fouet".
"Au cours de la bagarre générale qui suit sur le stand, le
philosophe se prend une seconde tarte à la crème dans la figure
pendant que Noël Godin et ses complices entonnent leur chant de
guerre: 'Entartons, entartons les pompeux cornichons'", ajoute le
communiqué.
Selon Noël Godin, c'est la septième fois que Bernard-Henri Lévy
"est enseveli sous la chantilly par les tueurs à gags de
l'Internationale Patissière".
La journaliste Anne Crignon a confirmé au Quotidien permanent
nouvelobs.com que BHL avait été "aspergé de crème chantilly à deux
reprises".
A la deuxième agression, des "échauffourées" ont éclaté, d'une
part entre le staff de l'éditeur Grasset et les photographes, et
d'autre part, entre les "entarteurs" et le service de sécurité.
Dans la confusion, l'écrivain s'est éclipsé pour un second
nettoyage avant de quitter le salon du livre "entouré d'une
demi-douzaine" de gardes du corps, selon le site du NouvelObs.
Et donc je pense que il y'a un vrai malentendu entre eux deux...hum.