La Chair Passée la fascination devant le corps démentiel de Francesca Dellera (qui fait penser à la Ornella Muti de La Dernière femme), il ne reste plus grand chose si ce n'est les sempiternels questionnements de Ferreri sur l'homme, la femme, le sexe, la bouffe... C'est pas inintéressant, surtout pour celui qui découvre Ferreri, mais on a un peu l'impression que le cinéaste tourne gravement en rond depuis trente ans. Bon, j'aime bien Castellitto, qui est très drôle ici. 2/6
Break-up, érotisme et ballons rouges Evidemment, le film précédent fait mal quand on voit cette merveille d'inventivité qui alterne n&b et couleurs, s'imprègne de son époque, joue en permanence sur la bande-son, et offre un rôle réjouissant à Mastroiani. 5/6
Top évolutif :
1. Dillinger est mort (Dillinger è morto) 2. La Grande Bouffe (La grande abbuffata) 3.Break-up, érotisme et ballons rouges 4. La Dernière Femme (L'ultima donna)
A partir de là, l'ordre est plus flou :
5. La Petite Voiture (El Cochecito) 6. Le Mari de la femme à barbe (La donna scimmia) 7. La Semence de l'homme (Il seme dell'uomo) 8. L'Appartement (El pisito) 9. Rêve de singe (Ciao maschio) 10. Pipicacadodo (Chiedo asilo) 11. Conte de la folie ordinaire (Storie di ordinaria follia) 12. I Love You 13. Journal d'un vice 14. Le Harem 15. La chair 16. Y'a bon les blancs ? : Touche pas à la femme blanche ! (Non toccare la donna bianca!)
_________________ Que lire cet hiver ? Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander) La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)
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