Forum de FilmDeCulte

Oui ça fait plusieurs années que ces histoires trainent. Là c'est une nouvelle vague visiblement due à sa dernière vidéo où il fait part de sa dépression, avec toute la pudeur que l'on peut imaginer de la part d'un youtubeur. Les victimes réelles ou supposées en ont sûrement eu leur claque et remettent un 1 euro dans la machine.

Sinon niveau contenu, propos etc. c'est abyssal, évidemment, une mise en scène de soi à la fois pénible et triste.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

Il anticipait, visiblement.

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huhu

Je savais que L'Harmattan faisait du compte d'auteur ou quelque chose de semblable et que c'était une arnaque.
Je découvre en me renseignant que c'est une entreprise bénéficiaire contrairement à beaucoup de maisons d'éditions.
En même temps, elle fait payer aux auteurs un certain nombre d'exemplaires (50 je rois), il n'y a pas de droit d'auteurs avant 500 exemplaires (les livres sont tirés à deux cents exemplaires au départ, c'est-à-dire que les auteurs peu ou prou en achètent déjà 25% avec 30% de remise certes), ils doivent présenter le texte prêt à éditer. Fascinant business model pour une maison qui se proposait de promouvoir les auteurs africains à sa naissance, dont un bon nombre s'est fait arnaquer mais peut-être certains autres en ont tiré une forme de légitimité.
La page wikipédia ou ce disclaimer de l'Harmattan guinée sont à se tordre, ou pas https://www.guinee7.com/lharmattan-guin ... e-dossier/

L'Harmattan=arnaque c'est un peu court, disons qu'en recherchant "maison d'édition" sur Google on trouve des attrapes couillons bien pire en terme d'édition à compte d'auteur, et les conditions contractuelles que fait L'Harmattan sont sur la place publique depuis quelques années.

Il y a quand même des directeurs de collection, et du suivi pour certains manuscrits, par exemple pour L'Harmattan BD, quasi le seul éditeur de bd africaines en France, Christophe Cassiau-Haurie bosse pour faire connaître et diffuser ces productions.

Ce que tu dis sur le modèle de L'Harmattan est vrai, on frise l'édition à compte d'auteur avec un achat obligé d'une partie du tirage que l'auteur doit se démerder pour revendre, aucune prise en charge de la promo le plus souvent, et des droits d'auteurs inexistants. Et ce sont des petits tirages de fichiers fournis par les auteurs, donc avec des maquettes et des fabrications des livres basiques. Mais pour de l'édition de textes d'essais en sciences sociales, c'est une société bénéficiaire, on peut dire que c'est rare (le plus souvent elles sont déficitaires pendant quelques années puis se font racheter par un groupe pour leur catalogue).

Les pratiques de L'Harmattan sont pas jolies-jolies mais je voulais mitiger ce bilan.

Et tu fais bien.
Le modèle économique est très malin, adossé à une histoire de près de cinquante ans : j'aime bien l'idée que ça joue 1) du principe démocratique "tout le monde a le droit d'être édité" (pourvu que vous preniez la peine d'effectuer le travail d'édition, achetiez 50 exemplaires quand même) 2) de l'ego des écrivains désireux d'être publiés. Sujet à creuser. Le France Loisirs de la sociologie africaine.

Je passe mon temps à écouter des podcasts ciné, mais jamais français.

En fait j’aime pas les gens qui parlent entre eux, or beaucoup de podcasts FR c’est ça.
J’ai l’impression que c’est comme un GRF nul et surtout que je pourrais faire mieux.

J’écoute que des podcasts avec des invités qui parlent de leur taf.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Mark Mothersbaugh, qui a fait la musique des premiers Wes Anderson, est en fait le mec de Devo.

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Bertrand Tavernier est vivant.

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Tu peux donner des titres ?

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- I wish that shotgun was my penis.
- If it were, you could call me Ernest Hemingway.

Le Q&A de Jeff Goldsmith avec des scénaristes-réal, les discussions Director's Cut de la DGA...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Merci, je ne connaissais pas Director's cut !

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- I wish that shotgun was my penis.
- If it were, you could call me Ernest Hemingway.

De quoi ridiculiser la CDM du Qatar, l'Arabie Saoudite frappe très fort.

J'avais entendu parler du concept délirant de The Line, mais ça a l'air sérieux et les travaux ont commencé.
Une ville toute en ligne de de 200 m de large, 500 m de haut pour 170 km de long prévue pour 9 millions d'habitants. Tout est hallucinant dans cette idée et je crois pas une seconde que ça ira pas au bout ou même à la cheville de ce qui est annoncé :

https://www.numerama.com/sciences/1156064-la-construction-de-la-ville-dystopique-the-line-a-bien-commence-en-arabie-saoudite.html

Oui c'est un vrai fantasme de SF visiblement aberrant sur plein d'aspects.

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CroqAnimement votre

On m'a raconté pour le fun que le prince voulait un lac gelé au coeur de la ville, car lors de sa visite à St-Pétersbourg il avait trouvé cela très joli. C'est tellement con que c'est impossible de savoir si c'est vrai ou pas.