Lors des compte-rendus de procès, on remarque qu'on en demande beaucoup trop, que ce soit les juges ou les journalistes (sans parler des commentateurs qui vont brandir le terme taqiya à tout va sans rien connaître par ailleurs de l'islam) à ces djihadistes repentis.
Extraits d'un article du Figaro :
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Dans la salle, où ont pris place plusieurs survivants de Charlie Hebdo, les parties civiles laissent poindre leur agacement: n'aurait-il pas pu agir ? User de son influence pour le détourner de ces idées radicales? «Je n'ai pas cessé d'avoir des discussions avec lui. J'ai même eu le courage de lui dire que j'étais contre ce que Mohamed Merah avait fait», se défend maladroitement Benyettou, qui décrit un Chérif Kouachi fermé à la discussion.
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Sur les bancs des avocats, certains expriment toutefois des doutes sur sa sincérité. «Vous pourriez être un faux repenti qui utilise la taqiya» (dissimulation), pointe Me Catherine Szwarc
Alors en fait le type, puisqu'il les a fréquentés à une époque et a fait figure de mentor, aurait dû dissuader les frères Kouachi de commettre leur attentat. Il se présente comme repenti ? Taqiya. Le mec a fait huit ans de prison ? On s'en branle, pas de réhabilitation possible.