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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 08:11 
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#03 - À quoi reconnaît-on Takahata ?

Difficile, dans l'Histoire du cinéma, de trouver réalisateur plus insaisissable qu'Isao Takahata. En partie parce qu'il ne dessine pas lui-même, chacun de ses films fut l'occasion d'une approche esthétique totalement différente, allant de la caricature (Mes voisins les Yamada) au réalisme (Le tombeau des lucioles), voire au naturalisme (Souvenirs goutte à goutte) cependant teinté d’un onirisme contradictoire, quand il n'a pas plus simplement tout mélangé en un film (Pompoko, où ces métamorphoses formelles se retrouvent au centre-même du récit). Idem pour la variété des supports adaptés (roman, manga, légende) ou pour les genres empruntés, multiples et pas forcément voisins (chronique familiale, conte, film de guerre social, burlesque, épopée de fantasy...). À cet éventail hétérogène, il faut rajouter enfin un documentaire en prise de vue réelles (L'Histoire du canal de Yanagawa), dernière pierre achevant de faire de cette filmographie un gigantesque point d'interrogation.

Sa carrière étant arrivée à son terme, on a désormais toutes les cartes en main pour essayer de comprendre ce qui meut le cinéma d'Isao Takahata. Pour certes en chercher les tendances, les motifs, pour en définir le style et les thématiques, mais aussi pour essayer de comprendre ce qui était au travail à travers cette œuvre, film après film, se cachant dans l'ombre de ces multiples digressions de surface.


+ Si besoin : la filmographie d'Isao Takahata.
> Sommaire


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 10:18 
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Je n'ai malheureusement pas trop le temps aujourd'hui (et c'est con, parce que j'adore Takahata), mais je pense que pour comprendre son cinéma, il faut aller chercher du côté d'un cinéaste qui l'a énormément influencé : Frédéric Back.

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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 11:21 
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Castorp a écrit:
Je n'ai malheureusement pas trop le temps aujourd'hui (et c'est con, parce que j'adore Takahata)

Pas grave si c'est pas aujourd'hui, le topic ne va partir nulle part !

Castorp a écrit:
mais je pense que pour comprendre son cinéma, il faut aller chercher du côté d'un cinéaste qui l'a énormément influencé : Frédéric Back.

Ah tiens, je savais pas du tout. Je vais en profiter pour regarder L'homme qui plantait des arbres cet aprem. J'avais lu aussi qu'il était question d'influences d'Iosseliani, mais je ne sais pas si c'était juste pour Souvenirs goutte à goutte, ou pour toute sa filmo (le seul film de d'Iosseliani que j'ai vu me laisse circonspect quant à ce rapprochement, donc je me demande s'il ne tient pas simplement à la description de la vie rurale qu'on retrouve dans Souvenirs).


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 12:51 
Ma prof de japonais adorait tellement ce cinéaste que chaque année on revoyait une bonne partie de sa filmo. En tout cas je l'ai connu très jeune lorsqu'on m'a offert en VHS Le tombeau des lucioles. Je crois que c'était la première et dernière fois que j'ai autant pleuré en regardant un film d'animation.


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 15:24 
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Buta connection, toujours assez bien foutu

http://www.buta-connection.net/studio/takahata.php

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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 17:05 
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Cantal a écrit:
googlisation

Le but c'est qu'on en discute, hein :mrgreen:


Je les pensais plus informatifs / moins analytiques que ça, Buta. C'est vraiment très bien leur dossier. Concernant la question qui nous intéresse, du coup j'y pêche ça :
http://www.buta-connection.net a écrit:
Depuis le début des années 80, les œuvres de Takahata s'ancrent toutes dans la représentation du Japon : les tribulations des habitants d'un quartier populaire à Osaka dans Kie, la vie d'un jeune musicien dans la campagne japonaise dans Gauche le Violoncelliste, les conséquences dramatiques des bombardements américains dans Le tombeau des Lucioles, le Japon rural ou et celui des années 60 dans Souvenirs goutte à goutte, les légendes et traditions, mais aussi l'urbanisme tokyoïte dans Pompoko, et la vie d'une famille contemporaine moyenne dans Mes voisins les Yamada. Un premier constat semble établir une certaine nostalgie de la part de Takahata. Loin d'être passéiste, il semble cependant regretter la perte des traditions japonaises au profit d'un matérialisme certain. Ses films permettent de faire revivre des oeuvres, des légendes, ou des valeurs simples, comme le sens de la famille, ou peuvent, au contraire, critiquer l'individualisme et l'égoïsme de certains de ses compatriotes.

+ L'idée d'un souci de réalisme poussé quelques soit l'esthétique, prouvé par les recherches démesurées (notamment liées au lieu) qu'il a besoin de faire avant d'engager chaque film.

Un des entretiens cités dans le dossier me semble pour le coup prépondérant, ou en tout cas très proche de ce que je ressens dans les films de Takahata :
http://www.buta-connection.net a écrit:
« Pour entraîner la conviction du spectateur, il est nécessaire de le placer devant des œuvres qui contiennent une forme de recherche de réalité, pas seulement sur le plan graphique mais dans le film tout entier : sa continuité, ses enchaînements, son scénario. Déjà au moment de Horus, j’avais une vision de ce que devait être le projet de toute mise en scène, qu’il devait avoir quelque chose de brechtien : ne pas entraîner complètement le spectateur dans l’univers du récit, mais conserver et mettre en œuvre une certaine distance entre le monde décrit et le spectateur. J’ai une série de réserves vis-à-vis d’une orientation qui plonge totalement le spectateur dans la fiction : pour moi le spectateur finit par voir le film avec un regard, un point de vue peu distant, peu lucide. Comme je travaillais dans des cadres réalistes, mes films avaient tendance à entraîner ainsi le spectateur. C’est une contradiction dont j’avais conscience depuis assez longtemps. »

Qu'ils lient à une mise en scène qui innove par son réalisme, mais là c'est un peu plus flou, je serai surpris que ça ne vienne que de lui :
http://www.buta-connection.net a écrit:
Dès Horus, Isao Takahata propose une mise en scène ambitieuse et innovante au service du réalisme. En effet à l’époque (et encore souvent aujourd’hui), la mise en scène des films d’animation se limite à construire l'espace autour du personnage central. Tout converge de manière artificielle vers ce dernier : paysages, cadres, personnages secondaires,… Dès Horus, Isao Takahata recherche quant à lui une impression de réalité par la mise en scène. Pour y parvenir, il déploie de nombreux procédés empruntés au cinéma live : le flou d’un objet au premier plan, le champs/contre-champs dans une scène de dialogue, des effets de perspective dans le décor, des travellings, des panoramiques, du hors-champs

Ca me semble justement être l'apport de l'animation japonaise (par manque de moyens) par rapport à l'animation occidentale de l'époque, non ? C'est vraiment lui qui a amené tout ça ? C'est pas déjà en marche avant son premier film ? Je suis circonspect. (et pour le coup, je ne suis pas certain que ça mène à plus de "réalisme", mais bon, on peut conférer au mot 36 définitions).


Ils concluent sur ça :
http://www.buta-connection.net a écrit:
Ainsi derrière une apparente hétérogénéité, la filmographie de Takahata est sous-tendue par une conviction forte : seule l’animation peut concilier poésie et réalisme et gagner ainsi l’adhésion du spectateur tout en le laissant libre.

Un point de vue que j'avais trouvé super intéressant, que peut appliquer à Bashir d'ailleurs.

Ça me rappelle une interview que j'avais lu de lui, quand je cherchais pour mon boulot les raisons des percées presque documentaires qu'on pouvait voir dans Souvenirs goutte à goutte. Je sais plus d'où vient cette citation (peut-être d'une ancienne page de Buta ?), mais elle n'a pas été modifiée :
Citation:
« Je suis convaincu que l'animation est le meilleur moyen de montrer le réel. Avec les prises de vues réelles, on ne peut pas montrer objectivement la réalité, parce qu'il y a nécessairement reconstitution, malgré les apparences. Le dessin animé, qui ne cherche pas à se cacher d'être une interprétation artistique, peut donc s'engager à montrer le réel »

Point de vue que je continue de trouver super intéressant (et qui, par le révélateur qu'est l'exception rare du documentaire animée, pourrait relancer pas mal de débats liés au doc).


Très bien ce petit dossier, mais je pense qu'il y a encore beaucoup de choses à sortir et à étudier ! Sur les thématiques, sur ce qui se cherche au fur et à mesure de la filmo, sur le style au détail...

Sinon :
Cantal a écrit:
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C'est quoi ?
(y va m'répondre "google"...)


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 18:51 
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#03 - À quoi reconnaît-on Takahata ?

Il est petit et il a les yeux bridés.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
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2. Die.
3. Rot.


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 19:17 
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The Scythe-Meister a écrit:
Citation:
#03 - À quoi reconnaît-on Takahata ?

Il est petit et il a les yeux bridés.

J'aurais du organiser un sondage en fait.


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 20:29 
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Elle est incroyable, cette couverture du Flaubert !

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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 22:44 
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Tom a écrit:
http://www.buta-connection.net a écrit:
Dès Horus, Isao Takahata propose une mise en scène ambitieuse et innovante au service du réalisme. En effet à l’époque (et encore souvent aujourd’hui), la mise en scène des films d’animation se limite à construire l'espace autour du personnage central. Tout converge de manière artificielle vers ce dernier : paysages, cadres, personnages secondaires,… Dès Horus, Isao Takahata recherche quant à lui une impression de réalité par la mise en scène. Pour y parvenir, il déploie de nombreux procédés empruntés au cinéma live : le flou d’un objet au premier plan, le champs/contre-champs dans une scène de dialogue, des effets de perspective dans le décor, des travellings, des panoramiques, du hors-champs

Ca me semble justement être l'apport de l'animation japonaise (par manque de moyens) par rapport à l'animation occidentale de l'époque, non ? C'est vraiment lui qui a amené tout ça ? C'est pas déjà en marche avant son premier film ? Je suis circonspect. (et pour le coup, je ne suis pas certain que ça mène à plus de "réalisme", mais bon, on peut conférer au mot 36 définitions).

Mouais ca n'est pas non plus le premier à avoir expérimenté des techniques de films "live". Disney avait déjà pas mal avancé sur ce terrain des Bambi en 42 avec sa fameuse camera MultiPlane :


Le plan d'ouverture qui déchire :
http://youtu.be/AbbcfMOG7Vs?t=1m19s


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 23:13 
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Mais là, l'article ne fait-il pas plutôt référence à des astuces (à ce qu'on présentait en tout cas habituellement comme des astuces, et non des choix) pour palier le manque d'images animées ? C'est à dire que le flou d'un des pans de l'image ne servirait pas à plus de réalisme (= illusion de profondeur, comme dans l'ouverture de Bambi) mais à amener une "mise en scène", une narration qui en passe autrement que par l'animation ?

L'exemple frappant que j'ai en tête, inimaginable en animation US, c'est le gros plan d'anime japonais qui s'arrête sur un héros au regard tendu (dans l'attente, dans l'écoute, dans l'émotion), et où à part quelque chose qui acte du temps (un léger vent dans les cheveux, une vibration de lumière dans l'oeil), l'image est fixe. Exemple : Ashitaka qui observe le Dieu de la forêt alors qu'il a la main dans l'eau (une scène composée de nombreux plans figés). Au final, c'est une configuration de mise en scène qui fait parler l'image, qui l'investit de richesse.

Alors que l'animation US m'a toujours semblée "toute-animée", chaque émotion figurée, mimée, matériellement incarnée et explicitement figurée, comme un pantomime ou une chanson de geste, approche dont ce genre de scène serait le summum :



En gros, je sens comme une opposition entre l'animation "additive" occidentale (ou l'animation fait exister le plan) et une animation "soustractive" japonaise qui émerge dans les années 70, où on transpose une partie des missions de l'animation sur la mise en scène, moins par choix que par nécessité.

C'est pour ça que je suis surpris de voir l'article conférer à Takahata ces innovations qui me semblent vraiment concerner une mutation très large de l'animation japonaise, très générale (au niveau national), très lente. Mais il faudrait regarder les dates précisément, avec ce qui se fait en même temps ou avant Horus.


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 23:46 
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Ah oui je suis tout à fait d'accord avec toi.

C'est clair que l'animation japonaise c'est construite à côté de l'animation américaine, dans un premier temps en tout cas. Et heureusement d'ailleurs parceque l'animation américaine s'est elle même enfermée dans son propres piège, ou chaque forme est obligée de rebondir et s'étirer pour n'importe quel mouvement. Le fameux "stretch and squash" érigé en règle immuable de l'animation qu'on t'apprends à l’école. C'est insupportable. Et on a le même problème en France. il n'y a qu'a voir le films d’étudiants (des Gobelins notamment) qui sortent chaque année.

Disons que les exemples de l'article que tu surlignes sont un peu flou et peu précis.


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MessagePosté: 05 Aoû 2014, 23:50 
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flatclem a écrit:
Et heureusement d'ailleurs parceque l'animation américaine s'est elle même enfermée dans son propres piège, ou chaque forme est obligée de rebondir et s'étirer pour n'importe quel mouvement.

Oui, y a une certaine impasse... Bon, c'est peut-être aussi parce que l'animation 2D là-bas, il reste pas grand monde pour la renouveler.

flatclem a écrit:
Et on a le même problème en France. il n'y a qu'a voir le films d’étudiants (des Gobelins notamment) qui sortent chaque année.

J'ai peut-être vu plus de courts de la Poudrière que des Gobelins, mais je trouve que c'est quand même un autre trip. Y a notamment tout un truc autour de la texture, de la recherche d'une patte visuelle, d'un style différent pour chaque film - un truc un peu plus abstrait qui me rappelle aussi l'animation des pays d'Europe de l'est. Bon après, comme on en parlait dans je sais plus quel topic l'autre jour, leur problème c'est qu'ils ont pas de réals dignes de ce nom... Ce sont des films d'animateurs.

flatclem a écrit:
Disons que les exemples de l'article que tu surlignent sont un peu flou et peu précis.

Oui, puis je pense qu'on pêche aussi un peu par notre méconnaissance (la mienne en tout cas) de ce qui se fait au Japon avant Horus. J'ai vu que Le serpent blanc, c'est peu pour faire une comparaison (et les souvenirs sont lointains).


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MessagePosté: 06 Aoû 2014, 00:27 
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Tom a écrit:
flatclem a écrit:
Et heureusement d'ailleurs parceque l'animation américaine s'est elle même enfermée dans son propres piège, ou chaque forme est obligée de rebondir et s'étirer pour n'importe quel mouvement.

Oui, y a une certaine impasse... Bon, c'est peut-être aussi parce que l'animation 2D là-bas, il reste pas grand monde pour la renouveler.

Je pense que pendant un temps l'animation 3d était censée représenter un certain renouveau mais au final c'est la même chose. A part les tentatives de

Parcontre, même si c'est un peu différent, il y a bien une "école" Ray Harryhausen / Phil Tippett dans l'animation américaine, généralement animation réaliste de creatures et aimaux, qui pour le coup ne s'applique pas forcemment a l'animation traditionnelle mais a fait avancer la mise en scène des films fantastiques.
A part les tentatives de Martin Rosen, ça n'a jamais trop pris je crois en animation (ça n'a plus trop de rapport avec Takahata du coup, désolé).


Tom a écrit:
flatclem a écrit:
Disons que les exemples de l'article que tu surlignent sont un peu flou et peu précis.

Oui, puis je pense qu'on pêche aussi un peu par notre méconnaissance (la mienne en tout cas) de ce qui se fait au Japon avant Horus. J'ai vu que Le serpent blanc, c'est peu pour faire une comparaison (et les souvenirs sont lointains).

Grave.


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MessagePosté: 06 Aoû 2014, 07:16 
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flatclem a écrit:
Je pense que pendant un temps l'animation 3d était censée représenter un certain renouveau mais au final c'est la même chose. A part les tentatives de

Quel suspense :D

Tom a écrit:
A part les tentatives de Martin Rosen, ça n'a jamais trop pris je crois en animation (ça n'a plus trop de rapport avec Takahata du coup, désolé).

Ah mais c'est pas grave du tout, au contraire, faut laisser vivre le topic !
J'aurais jamais fait le lien, tiens... Mais c'est vrai que ses animaux doivent toujours se fondre dans un cadre réaliste en prise de vue réelles, ça crée d'autres règles. C'est bien vu.


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