Forum de FilmDeCulte

Rien n'est interdit ici.

Et je soule tout le monde avec mes hashtags.

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Je me souviens de toi clamant que Twitter n'avait rien apporté et en servait à rien, enfin en substance.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Je suis pas loin de penser la même chose même si je suis inscrit sur Twitter depuis un an et demi.

Ce n'est qu'un réseau social de plus, qui a exacerbé ce que les autres (forums, Facebook) pouvaient avoir de pire, en forçant les internautes à se démarquer en 140 caractères maximum et donc à donner dans la provoc, la pose ou le bon mot (et faut reconnaître que certains sont doués pour cet exercice-là).

Je crois que déjà à l'époque, je disais que le seul véritable intérêt de la chose résidait dans ce qu'en faisaient certaines personnalités, pour communiquer sur leur travail. Et c'est ce qui m'a poussé à m'inscrire et à suivre ces personnes.

Après, ayant épuisé les sujets sur lesquels je me sentais de discourir longuement sur mon blog, ça me permet aussi de ventiler ce qui me passe par la tête sans polluer ma page Facebook de statuts qui n'intéressent personne. Là je pollue juste la TL de ceux qui ont choisi de me suivre.

Et les hashtags sur le forum, ça a surtout remplacé l'usage de l'italique en fin de message.

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Ok ok... il ne me reste donc plus à dire que : "ça va me saouler tes hashtags"

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Arrête, c'est drôle les hashtags.

#timeforbed

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Oui franchement pas ouf la reprise. Un chouïa déçu. Mais hâte de voir comment ça va évoluer.

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CroqAnimement votre

Ca se pose tranquillement, la série n'a jamais été très rapide. On a quand même quelques indices pour la suite.
Et la dernière scène, la dernière réplique, tuent.

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Le truc c'est que c'est un bon épisode en soi mais pour un épisode de reprise ça manque peut-être un peu de punch.

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CroqAnimement votre

La première séquence est géniale, le reste on a l'impression de revoir des scènes déjà vues maintes fois dans d'autres saisons - un personnage tente de convaincre un autre de reprendre le business, Walter essaie de s'attirer la sympathie Jessie, etc. - mais bon, c'est le premier épisode (mais d'une mini-saison...). La dernière scène est bien cash, la suite devrait être réjouissante, même si pour l'instant, j'ai dû mal à être à fond.

Moi je trouve ces deux nouveaux épisodes très satisfaisants, après la maestria affranchie de l'incroyable quatrième saison, Gilligan se rétracte sur l'intimisme et le désagrègement irréversible de la famille. Combien de scénaristes auraient tourné autour du pot pendant plusieurs épisodes avant de se faire affronter véritablement Walter et Hank, là la série est cash et respecte son public.

Comme on en sait déjà un peu plus avec les deux prologues des épisodes un et neuf, reste à savoir lesquels vont survivre, lesquels sont déjà peut-être morts. Ca génère une attention et une excitation du reculer pour mieux sauter qui s'oppose à la décharge d'adrénaline des saisons adorées par tous, mais ça n'en reste pas moins passionnant. Ca faisait longtemps que je n'avais pas attendu patiemment la livraison d'un épisode du lundi matin.

L'épisode 2 est génial, faut dire. Cette série va tellement loin, quand tu prends le temps de regarder en arrière, tu n'y crois pas, la progression a été imperceptible.

Pareil, pour un peu je revivrais presque la grande époque de The shield. On en est pas loin. Le seul truc qui me gave (et qui m'a toujours gavé), c'est

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Oui, moi aussi ça me fait penser à The shield dans le rythme, le ton, le bordel qui s'annonce.

J'adore ces deux premiers épisodes.

Moi c'est plutôt l'inverse. J'en viens à me demander si j'aurai pas arrêté de suivire la série si ce n'était la dernière saison...

Pas encore vu celui d'aujourd'hui cela dit (enfin justement, ça en dit long).

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Je rêve d'une fin à la Battlestar Galactica, bien prévisible (Walt meurt d'un cancer, Jesse va en prison, la famille déménage).

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique