Forum de FilmDeCulte

de Pierre Salvadori

http://www.filmdeculte.com/entretien/pi ... vadori.php

Boris, tu es bon.

Très bonne interview... ça me gène toujours un peu le 'tu' aux gens qui sont interviewé mais bon, c'est quand même la grande classe vos interviews!

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"I'm so cool you could keep a side of meat in me for a month! I'm so hip I have trouble seeing over my pelvis!"

Oui, François Chalais peut aller se rhabiller, le pouilleux !


Ben Salvadori, le truc c'est que la première partie était vouvoyée, et puis avant la deuxième, on s'est vus à une soirée, et le matin de la deuxième partie on a pris un café avant une projo, et ça a fini en tutoiement.
Mais ça fait un point commun entre mes interviews pour fdc, en fait, vu que Sergi Lopez il tutoie tout le monde d'emblée, et Boukhrief on se connaissait avant *ma vie avec les stars du chobize, chapitre 1*

Humm, s'il n'était pas si tard j'irais lire ça de suite!



Re-hummmmm... Sergi Lopez, hein? Intéressant....

*parler cinoche, ça va bien 5 minutes, mais il y a des priorités dans la vie, tout de même*

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Ladyhawke.

Check, ayé.

Boris, je t'aime

Cible émouvante est délicieux de bout en bout (ahhhh, Rochefort taillant son bonsaï, l'esprit ailleurs... son expression lorsqu'il "revient à lui" et réalise qu'il a ratiboisé l'infortuné végétal!), Les apprentis c'est vraiment très sympathique.

Sinon, mon nounours adoré, les studios anglais auxquels Salvadori *fort beau mec au demeurant, il est libre?* fait référence, c'est Ealing Studios, pas Elling:



Non, excellente interview, vraiment, et en plus j'approuve totalement ce que dit Salvadori sur l'overdose de noirceur, ça gave.

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Ladyhawke.

Arrête grande folle, tu vas faire jâââser


Ouiiiiiiiiiii, je suis fou amoureux de tout ce qui fait ce film, dialogues et acteurs en tête.
D'ailleurs, dans le chapeau que j'avais écrit, il me semble que j'avais cité Cible Emouvante en premier parce que c'est vraiment son meilleur pour moi, mais ça été remplacé par Après Vous (sûrement parce qu'il n'y a pas de critique de Cible Emouvante sur le site, mais en fait je m'en fous, je laisse les pros faire les finitions).


Ah ben merci, je ne connaissais pas *et les correcteurs non plus, donc*. Ca sera rectifié, je pense.
Quand à la disponibilité du bonhomme, il était seul à Cognac, mais il m'avait l'air en charmante compagnie à Cannes, désolé
*par contre, Sergi, à Cognac comme à Cannes, avait l'air libre *


Ben merci beaucoup sweetie, tu reprends ce que tu veux, c'est pour moi.
Sinon, je préfère quand même celle-ci : http://www.filmdeculte.com/entretien/nicolasboukhrief1.php, parce que Boukhrief quoi, merde !
D'ailleurs, j'ai appris récemment qu'il est aux commandes du scénario de Silent Hill aux côtés de Roger Avary et Gans, et ça ça déchire veugra ! http://www.imdb.com/title/tt0384537/

Et dans l'cul surtout *hohohoho-hahahaha-huhuhuhu*

*Boris ne voit toujours rien venir... Salvadori ne tient pas l'alacool*

Je rejoins le fan-club des interviews de Boris, c'est frais, c'est décontracté, ça se lit vite. On a l'impression de lire une conversation entre potes. Pandi, ze friend of ze stars.

* c'était la minute-pommade du jour *

Une belle brochette de winners, incontestablement!

*laissons les jaloux parler, mon nounours, rendons-les fous en leur jetant à la figure notre bonheur insolent*

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Ladyhawke.

en fait, je n'ai pas eu de chapeau à l'intégration. J'ai dû le faire moi-même.

Je les avait envoyés séparément, ça a peut-être pas suivi. Mais c'est marrant, parce que ça commence dans le même esprit !

*farfouille dans sa boîte d'envoi*

Hop !

"Dès sa première oeuvre, Cible Emouvante, Pierre Salvadori fait mouche. Avec sa deuxième, Les Apprentis, il signe un film culte. Scénariste et dialoguiste de talent au ton décalé, directeur d'acteur hors pair, il excelle autant dans la comédie que dans le film noir. Avant d'attaquer son nouveau film avec Audrey Tautou et Gad Elmaleh, conversation sur son cinéma et le cinéma en général, lors de sa venue au dernier Festival de Cognac."

Et en bonus track, celui de Lopez :
"Quand Sergi Lopez déboule au cinéma en 1992 dans La Petite Amie d'Antonio de Manuel Poirier, c'est par pur hasard. Le prix Michel Simon qu'il rafle aussi sec n'en est pas un. De Western à Dirty Pretty Things, de Harry (qui lui vaut le césar du meilleur acteur) à Une Liaison Pornographique, l'acteur espagnol enchaîne les prestations inoubliables dans des films souvent loins d'être consensuels. Cet épicurien généreux à dernièrement remonté les marches de Cannes pour l'étonnant Peindre ou Faire l'Amour.
Rencontre avec le plus français des catalans, à l'occasion de sa présence dans le jury du dernier Festival de Cognac."

* non, non, je ne ferai pas de crise de jalousie, non *