Forum de FilmDeCulte

Mais c'est tellement vrai ça.

Quand j'ai entendu ça de la gynéco lors de la préparation à l'accouchement, j'ai fait, mais dans les films avant de me rendre compte de ma connerie.

Un grillage qui d'ailleurs ne sert à rien puisque, la plupart du temps, la ruelle continue derrière.

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Tennis de Table Bordeaux

M'en parle pas, ça me rend fou.

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N'écoutez pas Film Freak

Pour moi c'est le vraiment truc pudibon américain de merde.

C'est inadmissible. Direct -1 sur la note finale.

Un truc auquel je pensais récemment et qui m'a marqué hier pendant la projo du Dernier Rempart ce sont les anecdotes utilisées dans les films américains pour justifier tel ou tel truc. Deux exemples :
- Dans Hapiness Therapy, le perso de Bradley Cooper passe plusieurs mois en hôpital psychiatrique pour quelque chose qu'il a commis. On ne sait pas ce que c'est au début, il y a un vrai suspense autour de son "délit" et quand finalement il nous le raconte c'est d'une banalité absolue digne d'une blague des Grosses Têtes :

- Dans Le Dernier Rempart, un jeune flic explique qu'il en a marre de cette ville où il se passe rien et où la seule chose excitante qu'il ait eu à faire la semaine précédente est d'être allé "déloger un chat coincé dans un arbre". Ou l'image la plus clichée qui soit dans la blague du flic inutile.

Ce sont deux détails bêtes (et je suis sûr qu'on peut en trouver plein d'autres) mais symptomatiques pour moi du manque d'imagination quand il s'agit de sortir un instant du film pour raconter autre chose.

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CroqAnimement votre

Deux très mauvais exemples, la vocation de ces anecdotes (déjà, les deux n'ont pas du tout la même fonction dans leurs scénarios respectifs) n'est pas d'être surprenante.

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Oui mais elles ont peut-être vocations à être crédibles et dans les deux cas ça m'a sorti du film tellement on avait l'impression que les auteurs avaient pris l'idée la plus évidente à laquelle on pouvait penser.

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CroqAnimement votre

J'ai pas lu l'exemple de HAPPINESS THERAPY car je l'ai pas encore vu, mais en ce qui concerne LE DERNIER REMPART, c'est clair que c'est de l'écriture ultra-flemmarde. Y a en effet d'autres manières plus réalistes de raconter l'ennui et/ou le désenchantement que, comme tu dis, en prenant l'exemple le plus eculé qui soit (ou alors il faudrait que les personnages blaguent dessus, qu'ils aient du recul sur le côté "image d'Epinal" de l'exemple cité).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Semi-d'accord sur happiness therapy :


Sinon, un cliché relou : le mec qui arrache à une autre personne un collier ou un truc autour du coup. D'un geste sec du bras, comme ça. Genre la corde/chaine est pas solide. Ya de quoi rompre le cou de la victime des fois.

Et les mecs qui sortent du lit juste après en caleçon, c'est juste pas permis

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Mais qui porte encore des caleçons en 2013 ?

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

?

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Quote oublié de Noisette 7

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

J'avais bien lu mais, quoi, tu portes des slips? Des strings?

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