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Je sais pas si la liste est complète.

* 1934 : Mauvaise graine
* 1942 : Uniformes et jupons courts (The Major and the Minor)
* 1943 : Les Cinq Secrets du désert (Five Graves to Cairo)
* 1944 : Assurance sur la mort (Double Indemnity)
* 1945 : Death Mills
* 1945 : Le Poison (The Lost Weekend)
* 1947 : La Valse de l'empereur (The Emperor Waltz)
* 1948 : La Scandaleuse de Berlin (A Foreign Affair)
* 1949 : Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard)
* 1951 : Le Gouffre aux chimères (Ace in the Hole ou The Big Carnival)
* 1953 : Stalag 17
* 1954 : Sabrina
* 1955 : Sept Ans de réflexion (The Seven Year Itch)
* 1957 : Ariane (Love in the Afternoon)
* 1957 : L'Odyssée de Charles Lindbergh (The Spirit of Saint Louis) [9],[10].
* 1958 : Témoin à charge (Witness for the Prosecution)
* 1959 : Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot)
* 1960 : La Garçonnière (The Apartment)
* 1961 : Un, deux, trois (One, Two, Three)
* 1963 : Irma la douce
* 1964 : Embrasse-moi, idiot (Kiss Me, Stupid)
* 1966 : La Grande Combine (The Fortune cookie)
* 1970 : La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes)
* 1972 : Avanti!
* 1974 : Spéciale première (The Front Page)
* 1978 : Fedora
* 1981 : Buddy Buddy

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Quelle liste! je n'ai vu que Certains l'aiment chaud , et La Garçonnière, et j'adore...
La fin de Certains l'aiment chaud est célèbrissime, mais elle fait toujours un effet incroyable! et j'aime bien ses personnages masculins un peu faibles au fond, timides et attendrissants (ds la Garçonnière, surtout), loin de l'image de la virilité triomphante mais sympas tout plein (je ne sais plus le nom de cet acteur d'ailleurs, le même ds les 2 films, qui incarne ce type de personnage)

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Preso en la carcel del amor oscura

Jacques Citron

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Alors ceux que j'ai vu il y a trop longtemps pour en parler:
Stalag 17
Témoin à charge
La Garçonnière
Irma la douce (faut que je le revois, j'avais trouvé ça magique)
Certains l'aiment chaud

Sinon, aujourd'hui, avant de revoir ceux là et d'en découvrir d'autres:

Ariane
en tête je crois, un film à l'image de Audrey Hepburn, beau, élégant et sensible. Découvert récemment et il ne s'arrête pas de particulièrement bien vieillir.

Boulevard du crépuscule
J'avais trouvé ça monstrueux, un film qui a inspiré beaucoup de cinéastes. Un film superbe sur hollywood, le cinéma, le temps, l'actrice.

Embrasse moi, idiot
Film très juste qui joue parfaitement avec les codes moraux du système hollywoodien et de ses représentations. Un peu poussif parfois sur la fin (que je trouve très prétexte) mais j'aime beaucoup. Puis y a Kim Novak, donc c'est un film magnifique.

Assurance sur la mort
J'adore, un film pionnier si on veut. Adapté de James Mc Cain, écrit par Raymond Chandler, comment ne pas faire un modèle du film noir avec ça. J'aime tout, c'est simple et profond. Le dernier dialogue me tue à chaque fois.

Sept ans de réflexion
Mouais pas fan, c'est sympa mais bon...


Cinéaste que j'aime beaucoup au final, souvent considéré comme un simple faiseur, pourtant plus ça va plus je trouve qu'il a un véritable regard sur ce qu'il filme. Faut que j'en vois d'autres.

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il est vachement en dessous de Lubitsch quand même.
d'ailleurs, son meilleur film (Ariane) est un hommage à Lubitsch.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Oui il me semble moi aussi, ce qui n'empêche pas d'apprécier son cinéma.

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moi aussi.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Ah, Lubitsch, Sérénade à Trois, super... et d'une audace, au final!

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Preso en la carcel del amor oscura

je ne crois pas, le comique de Lubitsch a pas mal vieilli à mon sens (à part To be or not to be) alors que Wilder a quand même réalisé des films qui continuent de succiter l'admiration part leur profondeur et leur modernité tels que Certains l'aiment chaud, Assurance sur la mort (apogée du film noir), Boulevard du crépuscule, et le très méconnu mais grand Gouffre aux chimères.



il arrive pas à la cheville de ceux cités plus haut

* 1942 : Uniformes et jupons courts (The Major and the Minor): comédie pétillante et subversive fort plaisante. Les filles y étaient jolies.
* 1944 : Assurance sur la mort (Double Indemnity): classique du film noir qui a mérite bien sa réputation
* 1945 : Death Mills: c'est quoi ce truc ???? jamais entendu parler...
* 1945 : Le Poison (The Lost Weekend): lourd.
* 1948 : La Scandaleuse de Berlin (A Foreign Affair): élégante comédie dans le Berlin en ruines de l'après guerre. gagnerait à être plus connue.
* 1949 : Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard): lourd, cadenassé, calculé dans le moindre de ses effets, la révision a été laborieuse.
* 1951 : Le Gouffre aux chimères (Ace in the Hole ou The Big Carnival): j'avais été scotché par la violence du pamphlet, Kirk Douglas y est énorme, je me demande si ça tiendrait à a revision ceci-dit. j'ai écrit une note sur mon blog quand je l'ai vu.
* 1953 : Stalag 17: chiant.
* 1954 : Sabrina: magique.
* 1955 : Sept Ans de réflexion (The Seven Year Itch): charmant
* 1957 : Ariane (Love in the Afternoon): super magique.
* 1958 : Témoin à charge (Witness for the Prosecution): film de procès pas pire pas mieux qu'un autre.
* 1959 : Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot): le classique surestimé par excellence. bon je dis ça je l'ai vu qu'une fois, j'étais peut etre dans un mauvais jour mais qu'est ce que je m'étais emmerdé. Je trouve Uniformes et jupons courts largement plus vivant.
* 1960 : La Garçonnière (The Apartment): chef d'oeuvre super tendre super drole et super lucide sur la solitude dans les grandes villes. Shirley Mac Laine comme les spaghettis: à croquer.
* 1961 : Un, deux, trois (One, Two, Three): comédie hystérique avec un James Cagney déchainé qui m'avait fendu la gueule mais que je ne sais pas si je supporterais une deuxième vision.
* 1963 : Irma la douce: y a le charme du Paris de studio, du couple MacLaine/Lemmon mais c'est beaucoup trop long, étonnamment mal écrit pour un Wilder.
* 1964 : Embrasse-moi, idiot (Kiss Me, Stupid): j'adore, très drole, piquant, subversif, bien foutu et avec Felicia Farr en plus.
* 1966 : La Grande Combine (The Fortune cookie): oubliable.
* 1970 : La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes): jamais compris l'engouement, c'est long et l'intrigue policière n'a aucun intéret.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

c'est clair, il m'a vachement déçu celui-là , vraiment pas drôle en plus.

En fait j'ai dû voir aussi Sunset Boulevard, mais ça paraît d'une autre inspiration, quelque chose de plus lourd, plus dramatique, pessimiste... comme si c'était de quelqu'un d'autre.

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Preso en la carcel del amor oscura

Tout à fait; "sur la solitude des grandes villes " et sur les abus d'un chef d'entreprise envers son personnel, thème d'actualité.

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Preso en la carcel del amor oscura

La vie privée de Sherlock Holmes: 5/6

Et voilà

Il se revendiquait carrément comme une disciple de Lubitsh même...

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